de la forêt d'emeraude à la cité d'or
#1
Citation :HRP: Ce topic est un topic essentiellement Role-Play.
Il va permettre de représenter l'arrivée des premiers hommes bêtes dans le désert de Salith, puis dans la cité du Cheikh' Thufir Jabbar.
Cela peut donner de jolies rencontres plateaux et offrir de belles opportunités cocasses, nos peuples respectifs sont tout de même assez différents au niveau des us et coutumes.
Ce topic est libre pour qui voudrait RP. Voilà !
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#2
[Image: babylios.jpg]


à boire !

La traversée du désert fut des plus pénibles, plusieurs jours durant, bléssé et épuisé après l'agression surprise d'un bandit coriace sur les berges de la Loreline, Baba n'avait du sa survie qu'à la vivacité de sa course, habité comme a son habitude par l'esprit du lièvre lorsqu'il était en danger.
Se remettant avec difficulté des coups violents que lui avait administré le malandrin, avec satisfaction il arriva enfin en vue de la grande cité des Hélion, Babylios la magnifique.
Les hauts remparts d'où s'échappaient ici et là les flèches et les toitures dorées de quelques bâtiments richement décorés ne manquèrent pas de le surprendre, c'était là le spectacle le plus invraisemblable qu'il lui ai été donné de contempler.

La gorge nouée, aussi sèche qu'un rectum de blaireau, il se dirigea en clopinant vers l'entrée ouest de la cité.

A cette entrée de la ville quelques gardes filtraient les allées et venues de quelques chariots tirés par des créatures de bat étranges, et permettre le flot continu d'une populace affairée pour la plupart au cheminement d''eau et de fruits, sans aucun doute les trésors le plus précieux de la perle du désert.
De prime abord ce qui frappa le guérisseur c'est que ces humains étaient vêtus de belles mises aux couleurs chatoyantes et qu'il ne semblait pas y avoir de mendiants ou de campement de malades aux pieds des remparts.

Discrètement, se fondant dans la foule le visage dissimulé par sa lourde capuche, il se fit à peine remarqué et longea les ruelles étroites et ombragées jusqu'à une petite place où il se jeta sur la fontaine qui trônait en son centre.
A grandes gorgées il bu à s'en faire péter l'estomac, il manqua même de s'étrangler; jamais pareille soif ne lui avait desséchée autant le gosier, sa bouche était gercée et la déshydratation lui embrouillait l'esprit, il sentait son sang épaissit frapper ses tempes avec la cadence d'un percussionniste frénétique.

Puis, il s'arrêta un instant pour prendre ses marques et épousseter tant bien que mal ses haillons, il avait l'air plus misérable que le dernier des mendiants de la cité, il était peut être la seule âme miséreuse d'ailleurs, tout le monde semblait propre et bien nourri.
S'enquérant de la route à prendre pour trouver la grande bibliothèque auprès d'un garde bavard et visiblement amusé de voir un habitant de Jada, il ne releva pas les quelques quolibets douteux qu'ils lui furent adressés. La méfiance était de mise.

Il est vrai que vêtu de loques usées, des traces de sang séchés qui maculaient sa tunique miteuse, les pieds aussi crasseux que ceux d'un gobelin, il n'avait pas vraiment fier allure... on aurait pu lui donner l'aumône sans discuter tellement il faisait peine a voir.
Sa peau brulée par le soleil et sa maigreur de serpent, ses ongles longs et fendus, il tenait plus de la bête que de l'homme et dénotait considérablement vis à vis des tenues délicates et des soieries que portaient les plus humbles des habitants.

on verra plus tard pour les emplettes se dit il, sa soif de savoir était plus grande que l'intérêt que lui suscitait les étals des souks. Il déroba un fuit juteux sur une charrette, le vendeur fit une grimace de dégout mais n'osa pas interpellé le voleur.
L'odeur que répandait baba associé à son sourire décharné devait faire office d'armure dans ces quartiers où la richesse s'étalait sans pudeur et où les individus mettaient un point d'honneur à exhiber leurs bijoux.

Se mêlant aux ombres fraiches, il passa à proximité du grand palais qu'il admira un instant avant de s'éloigner en boitant pour monter les marches qui le menèrent dans le temple du savoir, la plus grande bibliothèque d'Ecridel; son coeur battait la chamade alors qu'il pénétrait enfin dans l'enceinte du bâtiment.
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#3
La jeune Corbic passa la rivière après la mort de la seconde salamandre. Un dernier coup eut suffit à la faire taire, un dernier coup donnait par le vieux Malthael. C'est en silence que la Camarilla, cet étrange cortège d'hommes, gagna l'autre flanc et s'abrita pour la nuit, tremblant dans le froid, suant au matin sous le soleil brûlant du Désert de Salith.
C'est à ce moment là, au loin, que Quoth distingua les traits sombres d'une hélion. C'était le bon moment pour envoyer un oiseau. Elle se tourna vers Baen'Oak et lui indiqua d'envoyer un oiseau. Le druide s'exécuta, aussi un corbeau silencieux s'éleva dans les airs quelques secondes plus tard, tenant dans sa patte un message.

" Le Clan de la Camarilla est là.
Nous venons à des fins diplomatiques.
Puissiez entendre le chant de nos frères comme un grand salut. "


La Corbic s'arrêta, cachée derrière un long vêtement, ample et clair. Ses yeux céruléens auraient brûlé sous le soleil, mais ils étaient assez bien cachés pour s'éviter les affronts du jour.
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#4
Julanr avançait dans le désert depuis déjà quelques jours. Elle avait récolté quelques ressources et surtout croisé un groupe d'Hommes-Bêtes qui se dirigeaient vers Babylios. Elle ne pensait pas en trouver d'autres dans le désert à vrai dire. Et pourtant. Alors qu'elle venait de cueillir une hellébore, seule plante qui avait poussé dans les environs, elle aperçut au loin un Homme-Bête. Elle s'en rapprocha alors un peu et l'entendit dire, pour résumer, qu'il venait pour visiter Babylios. Elle s'en doutait bien, ils n'allaient pas visiter le désert !
Juste à la suite de cet éclat de voix lui parvint un corbeau tenant un message. Elle remercia la bête par habitude et lut le message, puis s'approcha finalement du groupe qui venait chez eux.

" Salutations Camarilla. J'espère que vous avez fait un bon voyage... Je m'appelle Julanr Lahad, et je fais partie de l'Ordre de Solaris.
Si vous le permettez je peux vous accompagner jusqu'à Babylios.
"

Elle gardait un port fier et promenait des yeux curieux sur les différents Hommes-Bêtes qui se trouvaient là.
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#5
Le voyage jusqu'aux abord de Babylos fut pour la Camarilla une expédition légèrement mouvementée. Nombreux sont les bandits, ou créatures hostiles du désert ayant tenté de s'en prendre à la petite expédition et nombreux sont-ils à s'en être mordu les doigts (après que les hommes bêtes leur ont consciencieusement mordu les leurs).
L'opération menée par la Camarilla avait rendu le Goupil un véritable Reinhard de désert.

Celui-ci, à peine effleuré par la rigueur du climat, marchait en tête avec Quoth. Un enthousiasme avait habité le fils Goupil depuis leur arrivée dans le désert, une euphorie qui tendait vers une frénésie muette que calmaient quelque peu les divers combats qu'offrait leur route.

Ainsi, plus que jamais, Reinhard prenait du plaisir à voir s'envoler ses flèches, à les entendre siffler comme de gros insectes et à ressentir jusqu'au fond de lui l'ivresse de la chasse, la peur de leurs proies, périssant sous les crocs des chasseurs.
Quand Julanr Lahad s'approcha de leur troupe, le jeune homme se dégagea souplement d'une lourde cape couverte de sable ayant préservé ses tâches de rousseurs de terribles brulures.


- Enchanté dame Julanr, je suis Reihnard Goupil, héritier du clan des Goupils et je mène la Camarilla. Nous avons traversé votre désert pour atteindre cette magnifique cité. Je souhaite y déposer un modeste cadeau pour votre brillant Cheikh' et peut être rencontrés certains des membres de votre ordre. Je suis persuadé que nos échanges s'avéreront … enrichissants.
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#6
En s'approchant lentement du groupe, Julanr détailla les deux Hommes-Bêtes les plus proches, et qui semblaient rester ici, tandis que les autres repartaient. L'un était massif, barbu et hirsute. Il correspondait sans doute à l'Homme-Bête typique que s'imaginait certains Hélions qui n'en avaient jamais vu. Elle était plus habituée à tout ce qui touchait au peuple allié, elle n'aurait cependant pas su dire à quel totem il appartenait.

L'autre venait de se découvrir de sous la longue cape qu'il portait, certainement pour se protéger du soleil. Et oui, même pour le peuple Hélion, le soleil se montrait déjà dur, alors pour un peuple habitué à la forêt ! Il avait l'air agile, contrairement à son camarade. Et malin. Avec ses cheveux roux, elle ne doutait pas de ce qu'il était lui. Un renard. Il se présenta comme le chef de la Camarilla. Elle l'écouta l'air un peu ailleurs, en train de se demander s'ils n'avaient donc pas de signes montrant leur animal totem. Et aussi sur le "magnifique cité" qu'il venait de prononcer en parlant de Babylios. Celle-ci était certes belle vue de l'oeil étranger, mais un peu moins de ceux qui y vivaient. La presque quarantenaire ne pouvait s'empêcher de penser aux quartiers qu'il vallait mieux éviter... Elle se reprit et sourit pour lui répondre.

" Je ne sais pas si l'on sera prêt à vous recevoir au palais, mais je ne doute pas que les membres de l'Ordre seraient intéressés par une telle rencontre. "

Sans laisser le temps à Reinhard de répondre face à elle, elle leur fit signe de la suivre, ne voulant pas perdre son temps en plein désert, et se mit en route vers sa cité adorée.
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#7
Anwaar était rentré fourbu et perclus de la première expédition de l'Ordre. Les enfants étaient tellement fougueux. Ce genre de voyage n'était plus pour lui. Son dos et sa tête lui rappelaient à chaque instant.

Le messager l'avait trouvé tout logiquement au temple, se prélassant loin des cris de sa femme et sa fille. La première voulait le voir. Le messager n'avait pas été très clair, mais apparemment on avait perdu des hommes-bêtes dans Babylios ou ils s'étaient perdus dans Babylios. Le jeune homme n'avait pas l'air rassuré. Une chose était certaine, on le priait incessamment sous peu maintenant tout de suite de les retrouver.
Aussi Anwaar, en bon mari soucieux de ménager la chèvre et les chameaux, s'extirpa-t-il de son divan pour repartir à la chasse. Retrouver les sithis ne fut pas trop difficile. Ils avaient semé une piste de rumeurs et d'enfants aux yeux écarquillés sur leur passage. Près de la caserne, une petite foule s'était formée, quelques gardes tentaient tant bien que mal de maintenir la situation, bien qu'ils ne semblaient pas savoir réellement quoi faire. La venue des habitants de la forêt intriguait toujours les badauds et la marmaille.

« Shalam amis de Korri, bienvenue à Babylios ! »

Anwaar s'avança vers le centre de la foule, s'aidant de sa haute stature pour dégager la place. Deux sihtis se trouvaient près d'un garde. Il ne lui avait pas fallut plus de quelques secondes pour distinguer les puissants jadiens parmi la foule bigarrée des hélions. La situation semblait un peu tendue et le garde ne savait plus sur quel pied danser. Les deux voyageurs faisaient de leur mieux pour apaiser les plus suspicieux.

« Permettez-moi de vous servir de guide durant votre séjour dans la cité.Mon nom est Anwaar Lahad. »

Le devoir de l'Ordre s'applique à tout Babylios après tout, soupira intérieurement le sorcier.
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#8
Reinhard aimait assez la compagnie des enfants. Après tout il n'avait pas complètement cessé d'en être un, il restait en lui une espièglerie, un tempérament de chat sauvage que les années n'avaient pas réussi à dresser.

En marchant, faisant virevolter un couteau qui jadis appartenait à son oncle, Reinhard jonglait et faisait tournoyer la lame entre ses doigts agiles plus rapidement que les battements d'aile d'un oiseau pour attirer l'attention de la marmaille. Spectacle son et lumière le poignard affolé murmurait un tintinnabulement agréable à l'orteil et son manège n'avait de cesse que d'affoler les reflets d'un soleil si dur qui tombaient sans pitié sur le désert.

Tout à coup, la lame sursauta et alla se figer dans un coin sombre d'une ruelle proche ou un rat venait de traverser pour la dernière fois ce qui fut son domicile. Traversé de part en part il s'éteint instantanément.

Cependant, si le spectacle avait fait briller des étoiles dans les yeux de quelques enfants, la population adulte n'avait été que plus inquiétée. Après tout la silhouette de Baen, l'homme bête au totem d'ours qui l'escortait avait de quoi renforcer cette anxiété qu'amènent avec eux les étrangers.

Le fils Goupil ignorait pourtant superbement cet état de fait. La foule pouvait gronder ou montrer les crocs, Reinhard ne ressentait qu'une sensation de défis, d'opportunités et d'ambitions que dégageait toute la nouveauté et exotisme de cette cité.

À l'approche de Anwaar, la tentions latente si dissipa et les fauves présents dans les rues de Babylios redevinrent des êtres humains, ou presque. Ôtant le couteau du corps du rat, Reinhard lui adressa un salut en portant le poing sur le cœur et en s'inclinant légèrement. En se redressant, il nettoya la lame sur un morceau de tissu qu'il portait à la ceinture et qui n'en était vraisemblablement pas à son premier nettoyage. Le tissu sanglant disparaissant sous la cape du fils Goupil, celui-ci s'adresse au nouveau venu.


- C'est un grand honneur que de rencontrer les fils Babylios. Je suis Reihnard Goupil et nous vous suivrons. Voici Baen'Oak, un totem d'ours. Taciturne et ennuyeux, mais efficace.

En marchant, suivant le Hélion, Goupil s'adressa à lui, curieux et poli à la fois.

- Votre peuple est éloigné du nôtre, la route est longue entre nos clans et les nouvelles des vôtres n'arrivent que rarement. Quelles sont les nouvelles sous le soleil de Salith ?
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#9
Anwaar hocha la tête à la présentation des hommes-bêtes. Il n'aimait pas vraiment ce terme, il le trouvait insultant. Puis on ne se comporte pas de la même façon avec un égal qu'avec une bête. Il respectait un chameau pour son utilité et en tant qu'être vivant, créature de Solaris, mais il n'avait aucune intention de parler avec lui. Sa femme aurait sans doute su quoi faire, elle savait toujours quoi faire.

« L'honneur est pour nous. Je vous présente les salutations de l'Ordre de Solaris. »

Il examina rapidement les deux visiteurs. Le premier avait quelque chose de frivole et de félin à la fois. Il y avait de la grâce et de la dangerosité dans tous ses mouvements, jusque dans sa voix. L'autre était beaucoup plus grand et bien plus réservé. Son comparse l'avait présenté comme le totem ours, Anwaar ne savait pas très bien ce que ça signifiait, néanmoins, il y avait bien quelque chose de l'ours dans cet « homme ». Peut-être une aura de calme et de dangerosité latente.

« Oui, il est difficile de traverser rapidement le désert. C'est aussi un avantage parfois. Les nouvelles sont lentes. On ne prend la peine de n'envoyer que les informations utiles. Peu de choses passionnantes ici, la vie se déroule selon les saisons et les naissances. Les enfants grandissent et remplacent les vieux briscards, quand les p'tits cochons ne les mangent pas. »


Il fit une pause et leur indiqua le chemin du souk.

« Peut-être souhaitez-vous un rafraichissement après la longue route ? La plupart des guildes sont de sorties en ce moment, les paysans et les chameliers se plaignent de monstres dans les collines et quelques fous fanatiques nous obligent à régler leur problème rapidement. Néanmoins, si vous souhaitez rencontrer les guildiens, nous pourrons sans doute arranger ça. Et vous, quelles nouvelles apportez vous de Korri ? »

Anwaar s'adressait aux deux sithis alternativement. Le premier semblait le plus bavard, mais il ne voulait pas froisser le second.
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#10
[Image: 61qvh8h2.jpg]


Il fallu un moment pour que le regard desséché du guérisseur s'habitue à la pénombre de l'endroit, il n'y avait que quelques lampes de suif et de trés fines lucarnes pour éclairer les allées encombrées de la plus grande bibliothèque du monde connus.

D'après la légende, on pouvait y trouver n'importe quelle information à condition de savoir la trouver dans ce maelstrom de milliers livres rangés sur des étagères colossales de plusieurs mètres de hauts; Mais aussi d'antiques parchemins : par dizaines de milliers ils étaient organisés dans des jarres et occupaient le moindre interstice de disponible.
Tous une aile de la bibliothèque était consacrée aux vélins de tous les cuirs imaginables et rédigés dans toutes les langues; mais également des tablettes d'argiles dont certaines faisaient la taille d'un homme, des caisses entières d'écorces peintes, même des lamelles de bambou finement tressés ou des cylindres de bois de liège sculptés...Ce que cherchait Baba devait se trouver dans une vitrine; il entreprit de fouiller l'endroit, ce qui lui prendrait surement des jours..

L'intérieur de la bibliothèque était immense, ici et là s'affairaient quelques pages en robe de lin, quelques érudits traducteurs et de talentueux enlumineurs travaillaient sur de gros ouvrages de cuir marron qui reposaient lourdement sur d'imposants pupitres de marbre gris, tels des pavés de viande sur une pierre de chauffe.

Silencieux comme le serpent et essayant de réduire sa silhouette au fur et a mesure de son avancement dans ce lieu chargé d'histoire où régnait en maitre le silence de la connaissance; Baba s'aperçut que son ventre commençait à le tirailler, ici pas de chasseurs pour ramener du gibier à la tribu, pas de restes à grappiller .... il fallait payer sa pitance, mais la vie avait l'air particulièrement chère dans la perle du désert.
Tout en songeant à la fraicheur de sa forêt natale, Baba s'épouilla un instant pour y trouver quelques parasites dans ces cheveux gras,... déçu, à peine un pou ou deux à faire croquer sous sa dent.
C' est une véritable armée de grenouilles qui commençait à chanter à l'unisson dans son estomac, qu'à cela ne tienne, plutôt que de ressortir, il déchira le coin d'un rouleau de papier et commença a le chiquer pour pouvoir le déglutir.
-" ça fera bien l'affaire, je suis si proche du but " songea t il tout en débouchant sur une allée ou était exposée les sculptures et les rares 'écrits' Gobelinoïdes recensés, une chance de tomber dessus si rapidement se félicita t il...

restait à trouvé la bonne maintenant, et la recopier, ou même la prendre pour l'étudier plus tard ..

A ce que l'on en savait, les gobelins n'utilisaient pas l'écriture à proprement parler, mais plutôt une forme de sculpture faites à partir de leurs excréments séchés et maladroitement montés en cylindres plus ou moins droits. Ces derniers étaient grossièrement gravés et peints, puis ornés de restes d'animaux ou de cailloux.
Celui qu'il cherchait devait avoir la longueur d'un bras d'enfant et de grosses molaires y étaient imbriquées à son sommet... restait à savoir si les informations qu'il possédait étaient exactes.

Baba cherchait la description de la méthode qui permettait aux gobelins de dresser les trolls ...
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