06-12-2013, 14:03:48
@quoth
tu vas me taper dessus, mais j'ai commencé quelques lignes de « De battre mon cœur s'est arrêté », et j'ai... arrêté (par manque de temps aussi)
(attention, ce n'est pas une critique dans l'absolu, c'est juste l'expression de mon goût personnel vis à vis des fautes, du style, etc en regard de la longueur globale du récit)
Hobbes l'avait lâché dans sa « chambre ».
La famille Goupil et son clan avait toujours été abrité (avaient été abrités ? Quoi que je résumerai en le clan des Goupils ...) dans la ruine d'un ancien manoir (le vocabulaire du « manoir » ne sonne pas vraiment bien dans l'univers d'Andoras à mon goût, non ?), ou tout du moins ce qui en restait. Ils étaient assez riches pour des pauvres, mais pauvres pour des riches (j'aurais retiré le « assez » pour garder un équilibre). C'était (Ce n'est plus le cas ?) tout le paradoxe de la chose qui choquait tant les hélions et fasciner (fascinait) les autres hommes-bêtes, trop bêtes ou ignorants (répétition de deux synonymes ?) pour se rendre compte que la grande porte de l'entrée (d'entrée) n'était qu'une tapisserie pour cacher les vilaines choses qui avaient toujours habités ici et là (C'est le clan la vilaine chose ??). Quoth savait, elle. Elle avait toujours vécu ici. Elle en avait surpris des choses, de son (sa) curiosité morbide.
Donc voilà, personnellement, j'aurai vu ça comme:
« La clan des Goupils était riche pour les pauvres, mais pauvre pour les riches. Il s'était de tout temps abrité dans les vestiges somptueux d'une autre civilisation, peut être un ancien châtelet au vu de son imposante structure, mais d'un délabrement à faire fuir les sangliers. Ce paradoxe choquait les visiteurs Hélions et fascinait leur voisinage Hommes-Bêtes, mais tous étaient trop sots pour se rendre compte que la tapisserie déchirée tendue au travers de la majestueuse porte d'entrée n'était qu'un cache-misère pour détourner les passants des riches corruptions que recelait le lieu.
Quoth savait, elle. Elle avait toujours vécu ici. Elle en avait surpris des secrets, grâce à sa curiosité morbide. »
tu vas me taper dessus, mais j'ai commencé quelques lignes de « De battre mon cœur s'est arrêté », et j'ai... arrêté (par manque de temps aussi)
(attention, ce n'est pas une critique dans l'absolu, c'est juste l'expression de mon goût personnel vis à vis des fautes, du style, etc en regard de la longueur globale du récit)
Hobbes l'avait lâché dans sa « chambre ».
La famille Goupil et son clan avait toujours été abrité (avaient été abrités ? Quoi que je résumerai en le clan des Goupils ...) dans la ruine d'un ancien manoir (le vocabulaire du « manoir » ne sonne pas vraiment bien dans l'univers d'Andoras à mon goût, non ?), ou tout du moins ce qui en restait. Ils étaient assez riches pour des pauvres, mais pauvres pour des riches (j'aurais retiré le « assez » pour garder un équilibre). C'était (Ce n'est plus le cas ?) tout le paradoxe de la chose qui choquait tant les hélions et fasciner (fascinait) les autres hommes-bêtes, trop bêtes ou ignorants (répétition de deux synonymes ?) pour se rendre compte que la grande porte de l'entrée (d'entrée) n'était qu'une tapisserie pour cacher les vilaines choses qui avaient toujours habités ici et là (C'est le clan la vilaine chose ??). Quoth savait, elle. Elle avait toujours vécu ici. Elle en avait surpris des choses, de son (sa) curiosité morbide.
Donc voilà, personnellement, j'aurai vu ça comme:
« La clan des Goupils était riche pour les pauvres, mais pauvre pour les riches. Il s'était de tout temps abrité dans les vestiges somptueux d'une autre civilisation, peut être un ancien châtelet au vu de son imposante structure, mais d'un délabrement à faire fuir les sangliers. Ce paradoxe choquait les visiteurs Hélions et fascinait leur voisinage Hommes-Bêtes, mais tous étaient trop sots pour se rendre compte que la tapisserie déchirée tendue au travers de la majestueuse porte d'entrée n'était qu'un cache-misère pour détourner les passants des riches corruptions que recelait le lieu.
Quoth savait, elle. Elle avait toujours vécu ici. Elle en avait surpris des secrets, grâce à sa curiosité morbide. »