23-01-2012, 15:05:10
Pendant ces éventements, Barnek tentait tant bien que mal de se frayer un chemin vers la salle du trône.
Pardon, s'il vous plaît ... laissez passer ! Enfin, laissez un passage au moins ! Mais, laissez passer bon sang de mauvais sang ! On vous à élevez dans une fange à cochon ?
Mais non pas vous, lui là avec ses oreilles décollées et son air niais.
Rouspétât t'il en écartant de ses bras un passage étroit entre les nain.
MERCI !
Grogna le vieux nain en crachant un dernier nuage de fumé de son cigare avant d'éteindre celui-ci sous sa botte encore recouverte d'une légère pélicule de neige.
Il continua à maugréer plus doucement :
sup
La tension dans la salle était montée d'un cran quand le Thain avait menacé Ferdung, ce qui eu pour effet de suspendre les murmures du maître des runes pour que celui-ci prête attention à la situation.
Quand la tension se relâcha enfin après la boutade du souverain et que la foule en profita pour soulager son appréhension par une léger brouhaha, Barnek prit la liberté de se rapprocher davantage du seigneur des lieux.
A ce moment Merc'dhes entra en piste :
Roi, je suis Barnek Mornepierre et votre malice est à la hauteur de votre grande sagesse ! Certains jeunes nains devraient s'inspirer de cette dernière pour adapter leurs paroles aux meilleurs circonstances. Car si celles-ci sont mal choisies elles peuvent mener bien plus rapidement qu'on nl'pense sous une avalanche de problèmes rocailleux.
Termina il en foudroyant Merc'dhes et broyant son cigare maintenant éteint dans la paume de sa main.
C'est une grande fierté que d'venir ici pour servir not'royaume.
Fini t'il en souriant aimablement au Thain, inclinant légèrement la tête pour témoigner de son respect.
Pardon, s'il vous plaît ... laissez passer ! Enfin, laissez un passage au moins ! Mais, laissez passer bon sang de mauvais sang ! On vous à élevez dans une fange à cochon ?
Mais non pas vous, lui là avec ses oreilles décollées et son air niais.
Rouspétât t'il en écartant de ses bras un passage étroit entre les nain.
MERCI !
Grogna le vieux nain en crachant un dernier nuage de fumé de son cigare avant d'éteindre celui-ci sous sa botte encore recouverte d'une légère pélicule de neige.
Il continua à maugréer plus doucement :
sup
La tension dans la salle était montée d'un cran quand le Thain avait menacé Ferdung, ce qui eu pour effet de suspendre les murmures du maître des runes pour que celui-ci prête attention à la situation.
Quand la tension se relâcha enfin après la boutade du souverain et que la foule en profita pour soulager son appréhension par une léger brouhaha, Barnek prit la liberté de se rapprocher davantage du seigneur des lieux.
A ce moment Merc'dhes entra en piste :
Citation :« - Bonjour les hommesBarnek grinça des dents et était ostenciblement consterné. Merc'dhes avait beau être une magnifique créature, son langage manquait cruellement de tact. Et tutoyer le Thain pour lui parler comme on parle à un vulgaire compagnon de beuverie n'était ni très protocolaire ni surtout très malin après que celui-ci ai calmé les ardeurs d'un premier nain.
Elle en profita pour glisser un clin d'oeil au Thaïn.
- Saut l'thaïn, quel canon ... j'suis bien contente d'avoir un chef comme toi, ça donne envie ... de se battre bien sûr. Bon c'est pourquoi faire que tu nous as rameuté ici? »
Roi, je suis Barnek Mornepierre et votre malice est à la hauteur de votre grande sagesse ! Certains jeunes nains devraient s'inspirer de cette dernière pour adapter leurs paroles aux meilleurs circonstances. Car si celles-ci sont mal choisies elles peuvent mener bien plus rapidement qu'on nl'pense sous une avalanche de problèmes rocailleux.
Termina il en foudroyant Merc'dhes et broyant son cigare maintenant éteint dans la paume de sa main.
C'est une grande fierté que d'venir ici pour servir not'royaume.
Fini t'il en souriant aimablement au Thain, inclinant légèrement la tête pour témoigner de son respect.