22-01-2012, 20:44:50
Face à la réaction du Thain, le souffle de ferdung se stoppa dans sa gorge, et il déglutit avec difficulté.
"Mais quel imbécile, pourquoi t'as plaisanté avec lui ...
-Rah, mais je sais pas, il avait l'air détendu, et prêt à partager avec son peuple une quête"
Tandis que la tempête faisait rage sous son crâne, que la tension croissait, les voix de sa tête se disputaient toujours:
"Fuis !
-non, sa réaction est disproportionné, défie-le en combat !
-rah, on est mal !! "
Le souffle coupé, par le Thaïn qui se montrait dans sa grandeur, et surtout par les regard navré des conseillers ou méprisant et vigilant des gardes, Ferdung ne fléchit cependant pas ... Il avait son honneur, et il n'avait pas insulté le nain qui lui faisait face.
Au-delà de la fonction, Ferdung se mit à voir le nain qui lui faisait face. Après 10 secondes de silence assourdissant, Ferdung discernait le nain qui portait la nation à bout de bras. Ce même nain qui portait de grand souci. Ce même nain qui se sentait peut-être insulté et qui se levait comme seul un nain peut le faire.
Alors Ferdung se mit à estimer le Thaïn, bien qu'une voix en lui soufflait:
"Il a quand même pris une remarque légère pour une insulte, ça doit être un pet-sec !"
Face à ce débat intérieur, Ferdung, au bout d'une ou deux éternités dit d'une voix clair et posé:
"Ferdung ..."
Puis, son regard toujours planté dans les prunelles du Thaïn, tout en sachant qu'il risquait l'opprobre en défendant son honneur sur une simple remarque, il attendit la réprimande du Thaïn.
"Pourquoi tu lui as pas demandé le sien ... !?
-mais nous, tu aurais du te répandre en excuse !
-NON ... tu ne fléchira pas, tu es un NAIN !"
"Mais quel imbécile, pourquoi t'as plaisanté avec lui ...
-Rah, mais je sais pas, il avait l'air détendu, et prêt à partager avec son peuple une quête"
Tandis que la tempête faisait rage sous son crâne, que la tension croissait, les voix de sa tête se disputaient toujours:
"Fuis !
-non, sa réaction est disproportionné, défie-le en combat !
-rah, on est mal !! "
Le souffle coupé, par le Thaïn qui se montrait dans sa grandeur, et surtout par les regard navré des conseillers ou méprisant et vigilant des gardes, Ferdung ne fléchit cependant pas ... Il avait son honneur, et il n'avait pas insulté le nain qui lui faisait face.
Au-delà de la fonction, Ferdung se mit à voir le nain qui lui faisait face. Après 10 secondes de silence assourdissant, Ferdung discernait le nain qui portait la nation à bout de bras. Ce même nain qui portait de grand souci. Ce même nain qui se sentait peut-être insulté et qui se levait comme seul un nain peut le faire.
Alors Ferdung se mit à estimer le Thaïn, bien qu'une voix en lui soufflait:
"Il a quand même pris une remarque légère pour une insulte, ça doit être un pet-sec !"
Face à ce débat intérieur, Ferdung, au bout d'une ou deux éternités dit d'une voix clair et posé:
"Ferdung ..."
Puis, son regard toujours planté dans les prunelles du Thaïn, tout en sachant qu'il risquait l'opprobre en défendant son honneur sur une simple remarque, il attendit la réprimande du Thaïn.
"Pourquoi tu lui as pas demandé le sien ... !?
-mais nous, tu aurais du te répandre en excuse !
-NON ... tu ne fléchira pas, tu es un NAIN !"