26-08-2011, 01:08:51
***Suivant les indications de la mystérieuse inconnue le guerrier se dirigea alors vers le point de rendez-vous, prenant soin de faire un détour vers la cascade la plus proche de l'itinéraire pour y faire une toilette. C'est en milieu d'après midi qu'il arriva à la cabane attenante à un chêne majestueux, un chêne dont l'une des branches servait de support à une balançoire cette même balançoire qui berçait une silhouette. Cette silhouette, de dos, se balançait langoureusement, le mouvement induit faisant épouser à la robe légère qui habillait celle-ci les courbes d'une poitrine et de hanches prononcées. Une partie des réserves de Diarthot furent chassées par ce ballet enivrant qui s'offrait à lui. Restant silencieux il s'approcha de la belle pour venir s'arrêter légèrement en retrait d'elle. Celui-ci s'efforça de ne pas regarder Louheä, fixant l'horizon, laissant son imagination se délecter des premiers instants de cette rencontre.
Alors que les minutes s'écoulaient, laissant part belle au concerts mélodieux d'un couple de mésanges à tête bleue, Louheä prit la parole ***
Nous voici côte à côte, dans ce jardin d'abondances.
Ne-vas tu pas m'approcher ?
***C'est alors qu'il se tourna vers elle, masquant son malaise derrière un sourire. En effet celui-ci avait été choqué par le visage de Louheä, non pas qu'il fut hideux, bien au contraire, mais les traits juvéniles de son visage le laissaient momentanément pantois. Incapable d'estimer son age il déposa alors une bise sur le dos de la main de la jeune fille en se présentant puis essaya de sonder celle-ci.***
Si mon œil ne me fait pas défaut, tu es bien audacieuse pour ton age.
***Pour seule réponse elle saisit la main de Diarthot et la conduisit dans sa poche surprenant de nouveau le jeune homme, tout étonné de se faire ainsi balader par une jouvencelle.***
Sens-tu ? Maints trésors habitent mes habits. Des bijoux, des coupes, quelques parchemins volés ou encore des friandises.
***Ne sachant que répondre, complètement désarçonné il répondit la première chose qui lui vint à l'esprit, quelque peu gêné de se retrouver la main dans la poche d'une ado.***
Hehe, au poids de cette seule poche j'espère que je ne fais pas parti des victimes passées ou à venir. Malheureusement je ne suis qu'un simple guerrier sans autres possessions que mon armure et mes armes j'espère que tu n'est pas trop déçu.
Puis-je observer cette armure qui a tant de valeur a tes yeux
***Les yeux de la jeune fille étaient pleins de malice et Diarthot se demanda un instant ci celle-ci n'avait pas remarqué les gouttes d'eau qui perlaient encore au bout des ses longues mèches, laissant penser que la chemise sous son armure puisse épouser le torse musclé du jeune homme. S'il n'était pas toujours tourmenté par la jeunesse de son interlocutrice il aurait été certain de son coup, après tout il s'était habitué à le faire, sauf que le retrait de son armure était habituellement à son initiative. Cessant de cogiter il retira alors son armure, faisant apparaître une ample chemise en lin, et proposa à la jeune femme de la soupeser. ***
Elle n'a de valeur que par le fait qu'elle protège ma vie, les ornements ne sont la que par simple caprice de son créateur. Les apparences sont parfois trompeuses, prends cette armure, elle n'est pas plus lourde qu'un manteau d'hiver.
***Louheä s'écroula sous le poids de l'habit de métal.***
Pas plus lourde qu'un manteau d'hiver ? C'est toi qui le dis !
***L'elfe tenta de se relever, mais en vain.
Le guerrier récupéra l'armure et la déposa à ses pieds puis proposa son bras à la frêle jeune femme afin qu'elle se relève plus aisément. Celle-ci se redressa lentement en prenant appui sur le bras du guerrier puis trébucha, d'une manière suspecte aurait pu dire des observatrices jalouses, pour s'effondrer à bras ouverts sur le jeune homme. C'est ainsi que Diarthot se retrouva une main sur l'épaule l'autre au creux des reins, corps collé et visage à quelques centimètres de celui de la jeune fille réveillant en lui les sens qui l'habitaient au premiers instants de la rencontre. Comme hypnotisé par Louheä, celui qui aimait et contait comment il se jouait des jeunes bourgeoises se retrouvait pantin en face d'une gamine. Il émergea une dizaine de secondes plus tard, la pensée du mot gamine le ramenant à ses doutes et redressa alors complètement la jeune fille avant de reculer d'un pas. Louheä qui avait sans doute cru l'affaire pliée pendant un instant ne put cacher sa frustration, remonta sur le siège en bois et commença à se balancer énergiquement.***
Tu devrais faire attention, cette balançoire n'est plus toute jeune.
***Évidemment la remarque indélicate ne fit que transformer la frustration de la jeune fille en colère, celle-ci amplifiant encore les mouvements de balancier....jusqu'à la chute. Diarthot ne put qu'observer le plongeon, étant trop loin pour intervenir. Il se précipita alors vers elle mais celle-ci avait perdu connaissance. Il la transporta alors dans la cahute puis la coucha, la bosse sur l'arrière du crane de la jeune fille semblant être bénigne. Il veilla ensuite la jeune femme jusqu'au petit matin, s'assurant de son réveil et filant avait qu'elle ne soit totalement réveillée.***
Alors que les minutes s'écoulaient, laissant part belle au concerts mélodieux d'un couple de mésanges à tête bleue, Louheä prit la parole ***
Nous voici côte à côte, dans ce jardin d'abondances.
Ne-vas tu pas m'approcher ?
***C'est alors qu'il se tourna vers elle, masquant son malaise derrière un sourire. En effet celui-ci avait été choqué par le visage de Louheä, non pas qu'il fut hideux, bien au contraire, mais les traits juvéniles de son visage le laissaient momentanément pantois. Incapable d'estimer son age il déposa alors une bise sur le dos de la main de la jeune fille en se présentant puis essaya de sonder celle-ci.***
Si mon œil ne me fait pas défaut, tu es bien audacieuse pour ton age.
***Pour seule réponse elle saisit la main de Diarthot et la conduisit dans sa poche surprenant de nouveau le jeune homme, tout étonné de se faire ainsi balader par une jouvencelle.***
Sens-tu ? Maints trésors habitent mes habits. Des bijoux, des coupes, quelques parchemins volés ou encore des friandises.
***Ne sachant que répondre, complètement désarçonné il répondit la première chose qui lui vint à l'esprit, quelque peu gêné de se retrouver la main dans la poche d'une ado.***
Hehe, au poids de cette seule poche j'espère que je ne fais pas parti des victimes passées ou à venir. Malheureusement je ne suis qu'un simple guerrier sans autres possessions que mon armure et mes armes j'espère que tu n'est pas trop déçu.
Puis-je observer cette armure qui a tant de valeur a tes yeux
***Les yeux de la jeune fille étaient pleins de malice et Diarthot se demanda un instant ci celle-ci n'avait pas remarqué les gouttes d'eau qui perlaient encore au bout des ses longues mèches, laissant penser que la chemise sous son armure puisse épouser le torse musclé du jeune homme. S'il n'était pas toujours tourmenté par la jeunesse de son interlocutrice il aurait été certain de son coup, après tout il s'était habitué à le faire, sauf que le retrait de son armure était habituellement à son initiative. Cessant de cogiter il retira alors son armure, faisant apparaître une ample chemise en lin, et proposa à la jeune femme de la soupeser. ***
Elle n'a de valeur que par le fait qu'elle protège ma vie, les ornements ne sont la que par simple caprice de son créateur. Les apparences sont parfois trompeuses, prends cette armure, elle n'est pas plus lourde qu'un manteau d'hiver.
***Louheä s'écroula sous le poids de l'habit de métal.***
Pas plus lourde qu'un manteau d'hiver ? C'est toi qui le dis !
***L'elfe tenta de se relever, mais en vain.
Le guerrier récupéra l'armure et la déposa à ses pieds puis proposa son bras à la frêle jeune femme afin qu'elle se relève plus aisément. Celle-ci se redressa lentement en prenant appui sur le bras du guerrier puis trébucha, d'une manière suspecte aurait pu dire des observatrices jalouses, pour s'effondrer à bras ouverts sur le jeune homme. C'est ainsi que Diarthot se retrouva une main sur l'épaule l'autre au creux des reins, corps collé et visage à quelques centimètres de celui de la jeune fille réveillant en lui les sens qui l'habitaient au premiers instants de la rencontre. Comme hypnotisé par Louheä, celui qui aimait et contait comment il se jouait des jeunes bourgeoises se retrouvait pantin en face d'une gamine. Il émergea une dizaine de secondes plus tard, la pensée du mot gamine le ramenant à ses doutes et redressa alors complètement la jeune fille avant de reculer d'un pas. Louheä qui avait sans doute cru l'affaire pliée pendant un instant ne put cacher sa frustration, remonta sur le siège en bois et commença à se balancer énergiquement.***
Tu devrais faire attention, cette balançoire n'est plus toute jeune.
***Évidemment la remarque indélicate ne fit que transformer la frustration de la jeune fille en colère, celle-ci amplifiant encore les mouvements de balancier....jusqu'à la chute. Diarthot ne put qu'observer le plongeon, étant trop loin pour intervenir. Il se précipita alors vers elle mais celle-ci avait perdu connaissance. Il la transporta alors dans la cahute puis la coucha, la bosse sur l'arrière du crane de la jeune fille semblant être bénigne. Il veilla ensuite la jeune femme jusqu'au petit matin, s'assurant de son réveil et filant avait qu'elle ne soit totalement réveillée.***