13-01-2018, 17:26:50
Israfel avait songé saluer Selinde et la remercier en bonne et due forme plus tard dans la soirée, quand le temps et quelques verres lui auraient redonné un peu de courage. Mais il semblait que les femmes s'étaient passées le mot pour le prendre de court ce soir-là. L'elfe se coula naturellement dans une attitude de courtisan et s'inclina devant la talienne avant de lui faire un baisemain.
« Un plaisir partagé, Dame Belroza. »
Le mande-orage accueilli la question avec un petit sourire amusé. La roturière était sagace et avait touché un point sensible, mais il n'en laissa rien paraître. Au contraire, la taquinerie de la demoiselle l'amusait.
« Hélas, ma Dame, c'est une bien longue histoire que celle-ci et je ne voudrai pas vous ennuyer. Disons simplement que j'étais censé être accompagné et que ma cavalière n'a pas pu venir. Mais il y a suffisamment de belles demoiselles ici pour que je trouve quelqu'un à faire danser. »
Il reprit un air plus sérieux, presque solennel, avant de poursuivre.
« Je suis heureux d'avoir l'occasion de vous parler. Vous m'aviez secouru il y a peu près de Kandrian, et je n'avais pas eu l'occasion de vous en remercier. Je suis votre obligé. »
Conscient que la conversation devenait un peu trop sérieuse pour les festivités, Israfel rendit son sourire malicieux à Selinde et changea de sujet.
« … Mais vous n'êtes pas accompagnée non plus, si j'en crois les annonces de l'intendant. Peut-être êtes-vous venue avec votre guilde ? Pour avoir connu quelques demoiselles en armure, je serai impressionné si une si jolie robe était toute la protection dont vous avez besoin pour assurer notre sécurité. »
« Un plaisir partagé, Dame Belroza. »
Le mande-orage accueilli la question avec un petit sourire amusé. La roturière était sagace et avait touché un point sensible, mais il n'en laissa rien paraître. Au contraire, la taquinerie de la demoiselle l'amusait.
« Hélas, ma Dame, c'est une bien longue histoire que celle-ci et je ne voudrai pas vous ennuyer. Disons simplement que j'étais censé être accompagné et que ma cavalière n'a pas pu venir. Mais il y a suffisamment de belles demoiselles ici pour que je trouve quelqu'un à faire danser. »
Il reprit un air plus sérieux, presque solennel, avant de poursuivre.
« Je suis heureux d'avoir l'occasion de vous parler. Vous m'aviez secouru il y a peu près de Kandrian, et je n'avais pas eu l'occasion de vous en remercier. Je suis votre obligé. »
Conscient que la conversation devenait un peu trop sérieuse pour les festivités, Israfel rendit son sourire malicieux à Selinde et changea de sujet.
« … Mais vous n'êtes pas accompagnée non plus, si j'en crois les annonces de l'intendant. Peut-être êtes-vous venue avec votre guilde ? Pour avoir connu quelques demoiselles en armure, je serai impressionné si une si jolie robe était toute la protection dont vous avez besoin pour assurer notre sécurité. »