28-05-2015, 18:54:35
La Corbic écarquilla les yeux, regardant cette foule de décérébrés. Fallait-il donc être autant et réfléchir si peu à la fois ? La nécromancienne se pinça les lèvres, avançant d'un petit pas vers Dhos et, levant la main, une bourrasque de vent balaya vivement le cadavre du laborantin sur le côté, avant même que les viscères ne touchent le cristal.
D'un petit air hautain et supérieur, Quoth persifla à l'intention de tous :
"Ne voyez donc vous pas que ce cristal est habité par quelque chose de malfaisant, et qu'à lui donner du sang, de l'énergie, vous ne le tuez pas, mais vous le rendez plus puissant encore ?"
Elle s'avança de nouveau, d'un air désabusé et supérieur.
"Bande d'ignares. Ne savez-donc vous pas que ce qui vainc à plus forte raison la mort, c'est la vie ? Que ce qui nettoie le sang, c'est les larmes ? N'avez-vous donc jamais eu Estalia dans votre coeur ?"
Son discours était dur et cinglant, il était vrai, mais elle s'en fichait à présent.
On pourrait bien lui reprocher plus tard de dévorer des cœurs ou de se baigner dans du sang, nul ne pourrait au moins l'accuser d'avoir conduit Sarifa et tout Babylios à sa perte.
D'un ton autoritaire, Quoth s'adressa finalement à Vezin au masque d'os :
"Soigne-le. Pour lutter contre ce mal, il faut purifier cette chose avant qu'elle n'est la force de s'en libérer."
On aurait bien pu se demander pourquoi elle ne le faisait pas elle-même, mais cette réponse resterait en suspens... pour le moment.
D'un petit air hautain et supérieur, Quoth persifla à l'intention de tous :
"Ne voyez donc vous pas que ce cristal est habité par quelque chose de malfaisant, et qu'à lui donner du sang, de l'énergie, vous ne le tuez pas, mais vous le rendez plus puissant encore ?"
Elle s'avança de nouveau, d'un air désabusé et supérieur.
"Bande d'ignares. Ne savez-donc vous pas que ce qui vainc à plus forte raison la mort, c'est la vie ? Que ce qui nettoie le sang, c'est les larmes ? N'avez-vous donc jamais eu Estalia dans votre coeur ?"
Son discours était dur et cinglant, il était vrai, mais elle s'en fichait à présent.
On pourrait bien lui reprocher plus tard de dévorer des cœurs ou de se baigner dans du sang, nul ne pourrait au moins l'accuser d'avoir conduit Sarifa et tout Babylios à sa perte.
D'un ton autoritaire, Quoth s'adressa finalement à Vezin au masque d'os :
"Soigne-le. Pour lutter contre ce mal, il faut purifier cette chose avant qu'elle n'est la force de s'en libérer."
On aurait bien pu se demander pourquoi elle ne le faisait pas elle-même, mais cette réponse resterait en suspens... pour le moment.