26-05-2015, 21:54:09
Que pouvait-on déduire des expériences décrites par Sarifa ? Un compte rendu plus détaillé serait préférable pour une analyse plus poussée mais il fallait se contenter de ce que l'on a. Les pensées se bousculaient dans la tête de Malak'a
La porte de la cage empêche un lien assez mystérieux entre l'inconnu lambda et la lame qui contient une partie de son énergie. L'arme risque de perdre toute stabilité si on la sort de la cage. Je peux conclure que l'équilibre alchimique est instable, et pour l'instant existe grâce à cette cage.
Dans le cas où l'équilibre est rompu, c'est-à-dire si le pouvoir de la cage est annihilé, alors l'individu lambda récupère la totalité de ses pouvoirs et peut aspirer des personnes par simple contact, ne laissant qu'un tas de poussière et... une banshee ?
Cette expérience me montre le lien entre l'individu lambda et les esprits maléfiques : l'équation semble simple, un être vivant = une banshee, un être sans âme. Peut-on conclure que l'individu lambda aspire les âmes par simple contact ne laissant qu'une coquille vide ?
Sans pouvoir répondre à cette question, je peux tout de même justifier deux observations :
1) les banshees ne semblent pas sous contrôle de l'individu lambda;
2) Elles obéissent à la même fonction primaire que leur créateur : aspirer les âmes.
L'équilibre est maintenu grâce à la cage qui détourne les flux de mana les plus faibles, comme ceux générés de façon passive par les êtres vivants et les objets enchantés.
Une idée émergea et la jeune femme continua sa réflexion à haute voix.
Le procédé chimique semble simple, l'individu lambda cherche sa partie manquante, et des êtres vivants, comme les monstres qu'il a créé par simple contact. Il suffirait de détourner son attention pour permettre à Maîtresse Sarifa de s'échapper avec la lame.
Nous constatons que les banshees sont toutes attirées ici, grâce à la présence de nos âmes. Mais cela semble insuffisant pour l'individu lambda. Il faut donc le captiver avec des moyens plus énormes, plus ... vivants ? Et à distance. Des sorts, des potions à lancer ? En rapport avec l'âme ?
En combinant avec un manteau de protection répondant aux mêmes critères que la cage, il serait possible de faire sortir l'arme de ce laboratoire.
Maîtresse Sarifa, quel procédé alchimique avez-vous utilisé pour fabriquer la cage ? Et comment pourrions-nous le reproduire avec le matériel présent dans cette salle ?
Ses yeux brillèrent de convoitise en prononçant la dernière phrase. Elle rêvait de réaliser ses propres expériences dans ce lieu extraordinaire. Sans attendre de réponse, elle poursuivit.
Il faudrait à distance bombarder l'individu lambda de fragments d'âme à l'aide de sorts ou de potions. Savez-vous comment on peut fabriquer de telles potions ?
Un résultat expérimental était nécessaire avant de poursuivre.
Que se passerait-il si l'individu lambda réussissait à étancher sa soif ?
La porte de la cage empêche un lien assez mystérieux entre l'inconnu lambda et la lame qui contient une partie de son énergie. L'arme risque de perdre toute stabilité si on la sort de la cage. Je peux conclure que l'équilibre alchimique est instable, et pour l'instant existe grâce à cette cage.
Dans le cas où l'équilibre est rompu, c'est-à-dire si le pouvoir de la cage est annihilé, alors l'individu lambda récupère la totalité de ses pouvoirs et peut aspirer des personnes par simple contact, ne laissant qu'un tas de poussière et... une banshee ?
Cette expérience me montre le lien entre l'individu lambda et les esprits maléfiques : l'équation semble simple, un être vivant = une banshee, un être sans âme. Peut-on conclure que l'individu lambda aspire les âmes par simple contact ne laissant qu'une coquille vide ?
Sans pouvoir répondre à cette question, je peux tout de même justifier deux observations :
1) les banshees ne semblent pas sous contrôle de l'individu lambda;
2) Elles obéissent à la même fonction primaire que leur créateur : aspirer les âmes.
L'équilibre est maintenu grâce à la cage qui détourne les flux de mana les plus faibles, comme ceux générés de façon passive par les êtres vivants et les objets enchantés.
Une idée émergea et la jeune femme continua sa réflexion à haute voix.
Le procédé chimique semble simple, l'individu lambda cherche sa partie manquante, et des êtres vivants, comme les monstres qu'il a créé par simple contact. Il suffirait de détourner son attention pour permettre à Maîtresse Sarifa de s'échapper avec la lame.
Nous constatons que les banshees sont toutes attirées ici, grâce à la présence de nos âmes. Mais cela semble insuffisant pour l'individu lambda. Il faut donc le captiver avec des moyens plus énormes, plus ... vivants ? Et à distance. Des sorts, des potions à lancer ? En rapport avec l'âme ?
En combinant avec un manteau de protection répondant aux mêmes critères que la cage, il serait possible de faire sortir l'arme de ce laboratoire.
Maîtresse Sarifa, quel procédé alchimique avez-vous utilisé pour fabriquer la cage ? Et comment pourrions-nous le reproduire avec le matériel présent dans cette salle ?
Ses yeux brillèrent de convoitise en prononçant la dernière phrase. Elle rêvait de réaliser ses propres expériences dans ce lieu extraordinaire. Sans attendre de réponse, elle poursuivit.
Il faudrait à distance bombarder l'individu lambda de fragments d'âme à l'aide de sorts ou de potions. Savez-vous comment on peut fabriquer de telles potions ?
Un résultat expérimental était nécessaire avant de poursuivre.
Que se passerait-il si l'individu lambda réussissait à étancher sa soif ?