Rumeurs
#1
Voici l'arrivée du sujet des rumeurs !
Racontars et potins de tavernes de toutes les sortes. Certains sont vrais et d'autres sont faux. N'hésitez pas à contacter votre MJ pour en savoir plus et interroger du monde mais apprenez à discerner les rumeurs infondés de celle ayant une part de vérité.
Sauf si vous souhaitez voir les gens écarquiller les yeux en demandant où l'on peut chasser les éléphants roses nains.
#2
Au nord, un jarl du Markenseim se serait révolté contre le jarl de Björnhill. Une guerre civile se prépare entre le jarl Broder Aaren et le jarl Stirling Fradjornson.
#3
Un Thing capricieux aurait fondé son village au nord de l'Ingemann.

(Un Thing est un chef de clan Agar)
#4
Les tavernes des ports sont traditionnellement les plus animées. Brassant des flots ininterrompus de marins, à terre pour quelques heures ou quelques jours, les nouvelles y vont bon train. Les événements des quatre coins du monde y sont discutés, généralement avec un recul et une sagesse tout relatifs.

Dans une ville aussi bourdonnante qu'Yris, dont partent et où arrivent des centaines de navires chaque jour, où les marchands sont – dans certains quartiers – plus nombreux que les habitants, les bruits courent et se répandent bien plus vite encore. Rapidement amplifiée et déformée, la moindre rumeur se propage à travers les ruelles de la ville basse comme un feu de paille. En particulier, les Quais de Basalte* sont un vivier permanent de on-dit, dont l'exactitude n'est pas toujours avérée, loin s'en faut. Rien de ce qui s'y dit n'est jamais certain, et la sagesse populaire dit que si la Tour de l'Orbe est l'endroit idéal pour trouver du feu sans fumée, les multiples tavernes crasseuses des Quais de Basalte sont la preuve qu'il peut y avoir de la fumée sans feu.

Cependant, si chaque information qu'on peut y entendre mérite d'être vérifiée, on peut être certain que celles qui sont vraiment dignes d'intérêt y seront discutées tôt ou tard. Et le plus souvent, plus tôt que tard. Autant dire que de tels établissements sont fréquentés avec assiduité par les informateurs de la couronne, dont le travail le plus pénible consiste alors à démêler le vrai du faux.

Peut-être êtes-vous un de ces informateurs. Peut-être êtes-vous un marin, de retour au port après un long voyage par-delà les mers. Peut-être êtes-vous un simple client. Qui sait, vous êtes peut-être même le tavernier ! Toujours est-il que si, pour une raison ou pour une autre, vous êtes Aux tétons de Nogon ce soir-là (d'aucuns verraient dans le nom de ce tripot une appellation sacrilège, mais le nom qu'il portait avant que le clergé du dieu de la mer ne demande à ce qu'il soit changé vous ferait relativiser la portée du blasphème), alors peut-être surprendrez-vous quelques bribes de la conversation que tiennent les deux marins assis au comptoir.

– Tu t'souviens d'l'archipel qu' Le Majestueux a découvert au sud y'a deux mois ?
– Un peu que j'me souviens ! Ce trouduc de Tavrin Callas nous a cassé les couilles avec ça pendant tout le temps qu'il a passé à terre. J't'offre de quoi te payer une passe avec Bouton d'Or si tu trouves un seul mec dans tout l'Basalte* qu'est pas au courant qu'il était à la vigie et qu'il a été l'premier à en voir les côtes !
– Ouais. J'imagine que Bouton d'Or attendra avant de me rencontrer… Mais j'comptais pas parler d'Tavrin à vrai dire. T'as pas entendu parler d'la dernière lubie des Arnaqueurs** ?
– Encore un truc pour se remplir les poches ? Même ceux qui ont déjà deux couilles en or cherchent de quoi s'en payer une troisième !
– Tout juste. Ils veulent établir un comptoir commercial sur place.
– Pourquoi foutre ? Y'a personne là-bas.
– Justement, ils veulent que des gens aillent y poser leur cul. Une colonie là-bas, ils d'vraient pas avoir d'mal à obtenir l'aval de son Altesse. C'pas comme si y'avait beaucoup d'moyens d'grappiller des terres, coincés qu'on est entre les Elfes et un putain d'marais.
– En parlant d'marais, t'as entendu c'qu'est arrivé à c'pauvre Trebor Fargin ?
– Ouais, c'est moche putain ! J'peux pas dire que c'était un pote, mais y'a des façons plus agréables de crever.
– Ouais ! Tavernier, deux bières !
– A la mémoire de Trebor, probablement pas l'plus beau ni l'plus futé d'entre nous !
– Qu'Anastraph ne s'arrête pas à ça, et le laisse courir la gueuse pour toujours dans son Jardin !








* Hrp : j'aimerais étoffer un peu les descriptions des villes. Leur donner un peu plus de consistance. Créer des quartiers, des lieux d'intérêt, que sais-je encore. Peut-être serai-je amené à proposer aux autres MJ de vilains crobards avec des plans que j'aurai dessinés avec mes pieds ! D'ici-là, j'aimerais proposer quelques dénominations pour le port d'Yris. Le port proprement dit. J'aimerais le diviser en trois parties :
Les Quais de Basalte : la plus grande partie du port. Le quartier le plus populaire et le plus vivant. Surnommé « Le Basalte » par la plupart des marins et des résidents du quartier.
Les Quais d'Ivoire : la partie riche du port. Où on ne trouve que les négociants les plus fortunés et les navires les plus luxueux.
Les Quais de Fer : zone réservée à la marine militaire d'Yris.

** Hrp : Sobriquet courant au sein des équipages de navires marchands, « les Arnaqueurs » est une déformation des Armateurs. Le surnom désigne la Guilde des Armateurs d'Yris. Une corporation riche et puissante, propriétaire de la quasi-totalité de la flotte marchande talienne, et contrôlant par extension le commerce maritime talien.
#5
Un humain aurait été aperçu maniant une étrange arme noire. Le bureau des enquêtes magiques s'intéresse à l'affaire.
#6
Les dieux en soient remerciés, toutes les tavernes ne sont pas aussi miteuses qu'Aux Tétons de Nogon, qui à vrai dire est loin d'être la plus sale des Quais de Basalte. Evidemment, la qualité des établissements de ce type est souvent liée à la richesse des quartiers au sein desquels ils se nichent. En ville du moins.

A la campagne, les choses sont souvent plus compliquées. A vrai dire, la comparaison n'est pas forcément pertinente, car les paysages ruraux du pourtour de la Baie de l'Epervier comptent davantage d'auberges que de tavernes, le pemeglur moyen recherchant généralement de quoi s'enivrer avant de regagner ses pénates tandis que le pemeril – s'il ne refuse évidemment pas une bonne occasion de boire – se retrouve plus souvent en quête d'un repas chaud, voire d'une chambre pour la nuit.

Quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse d'une auberge, d'une taverne, d'une gargote, d'une hôtellerie ou de tout ce que vous voudrez, on constate généralement à richesse égale une bien meilleure qualité du service dans les établissements ruraux que dans ceux bondés des grands centres urbains.

Typiquement, si le propriétaire de L'Auberge de la pierre levée n'est guère plus fortuné que le tenancier des Tétons de Nogon, force est de lui reconnaître que son établissement semble bien plus fréquentable. Petite hôtellerie de campagne bâtie sur la route d'Asteras entre Yris et Blancastel, L'Auberge de la pierre levée propose aux voyageurs fatigués des repas consistants et des chambres accueillantes. Très fréquentée en raison de sa position géographique, elle fait salle comble chaque soir, et veille à ce que les clients profitent d'un spectacle de qualité aussi souvent que possible, en offrant aux ménestrels désireux de s'y produire un bon dîner et une bourse bien remplie.

C'est un lieu de transit, tant pour les personnes que pour les informations, qui toutes s'y croisent. Les rumeurs d'Asteras font ici escale avant de reprendre la route pour être murmurées sur les quais d'Yris. Les bruits nés à Yris, pareillement, y trouvent de nouvelles oreilles pour être répandus encore davantage sur les terres elfiques. Et à ce mélange déjà bien fourni viennent s'ajouter d'autres on-dit, issus d'autres provinces alentours.

Comme celui qui semblait tant préoccuper les trois hommes installés à la table la plus proche de l'entrée. Deux voyageurs venus de Nymeria qui retrouvaient ici un lointain cousin, et qui semblaient tout excités par les nouvelles qu'ils avaient entendues en chemin. Un colporteur à cheval qui les avait dépassés et avec qui ils avaient partagé un morceau de pain et du poisson séché sur le bord de la route. Un colporteur venu de Malefosse, et qui leur avait affirmé avec le plus grand sérieux qu'un serf du Caldrasir avait découvert un écaille de Skilithe en travaillant au grand nettoyage des douves du château de Malefosse.

Un écaille de Skilithe, vous vous rendez compte ?
#7
Un pyromancien affirme avoir affronté en duel un sorcier de glace capable de déchaîner des flammes glacées.
#8
-"Encore une caravane de disparue."

Telle était la plainte d'un homme accoudé au comptoir d'une taverne respectable. Lui-même était loin d'être miteux, avait un petit air excentrique avec ses habits colorés.

-"C'est presque impossible de commercer avec les elfes au nord dernièrement. Entre les tempêtes de neige, les barbares sauvages, et les bandits, mes caravanes se font dévaliser une fois sur deux, sans parler des fois où d'honnêtes hommes ne reviennent pas."
-"L'inquisition cherche furieusement ce qui passe là-bas." ajouta un homme à côté, un peu plus âgé, et moins excentrique.
-"Que diable irait faire l'inquisition là-bas !"
-"Ce qu'ils savent faire." ajouta un troisième compère, qui parlait avec le ton calme d'un homme mûr mais avec des traits juvéniles, "Chercher des démons."

Le premier marchand tapa du poing sur la table :
-"Des démons ! Les elfes en font tout un flan, mais personne n'en voit des démons !"

-"Détrompe-toi" rétorqua le semi-elfe, "Cela fait quelques semaines que j'entends parler de flammes bleues et d'armes noires."
-"Rien d'exceptionnel ! Et ce n'est que des rumeurs."
-"Peut-être, mais cela fait un mois que nos problèmes empirent et c'est à partir de là qu'on a commencé à entendre parler de ces rumeurs. Quelque chose a du arriver le mois dernier. Ou avant."
-"Cela ne correspond pas au moment où un Jarl s'est fait charcuter par les soudards de Rygen ? C'est peut-être juste des combats de clans pour les territoires." commenta l'aîné de la conversation, essayant de se rassurer. L'idée d'une simple guerre civile était préférable.
-"Possible."
#9
Le clan Skylar basé à Herrkliff aurait été massacré par une guilde Agar de chasseurs de démons trop "zélé". Une rescapée apeurée et glacée aurait été retrouvé errante dans l'Ingemann.
#10
Un autre survivant du clan aurait réussit à rejoindre la ville et prévenir les autorités Agars. Le nom de l'égide de Myrinn semble revenir pour désigner les fautifs.
#11
La garde talienne tente d'étouffer une rumeur qui circulent à Yris sur un éventuel enlèvement d'une caldras. Les suppositions vont bon train sur les auteurs de l'affront : famille rivale, indépendantistes taliens ou même des hauts elfes détestant les vies trop éphémères. Malheureusement, aucun Caldras n'a mentionné la disparition, la rumeur repose sur des commérages.

Quelques jours plus tard, des annonces orales ont été faites dans toutes les tavernes populaires de la capitale : les racontars de vieux loups des mers sur un navire abordé par des pirates exigeant une rançon sont totalement infondés et dénués de preuves.
#12
Des Agars auraient été aperçus à la frontière nord, qui semblaient rentrer chez eux en marche forcée.

Trop pleutres pour venir affronter des Taliens ou satisfaits de leurs pillages réussis ?
#13
Une petite troupe de brigands agars se rassemblerai pour piller Tilador
#14
La garde talienne ne pouvait contenir les rumeurs répandues dans Yris sur une caldras aperçue avec des agars.

Est-ce la vérité ou une interprétation d'ivrognes colporteurs ?
#15
Des marchands évitant Tilador par souci de survie, ont du soigné à l'est de la ville des gardes blessés employées par un Caldras. Leur mission demeurait secrète...
#16
Les yeux levés vers le firmament, il se murmure qu'un peu partout sur Ecridel, l'on peut apercevoir de splendides trainées lumineuses parcourir le ciel.
#17
Un frisson. Un frisson à nouveau. Araëlle avait de nouveau tressailli, et à la vue des réactions des autres élèves de l'Académie de Magie d'Asteras, elle n'était pas seule dans ce cas. Ses camarades aussi avaient du la sentir.

Ce n'était pas la première fois qu'elle avait cette curieuse sensation, cette indisposition dans les flux arcaniques, comme le seraient des encyclies à la surface de l'eau. Elle était comme une ondulation sauvage et indomptable qui modulait la magie pure, la rendant temporairement instable.

Nul ne savait d'où venait cette perturbation, mais pour quiconque né avec le Don, elle était bien réelle.
#18
Depuis que le ciel s'est curieusement animé, s'ornant de traits lumineux semblables à des étoiles filantes, les rues de la capitale Talienne sont le théâtre d'un spectacle peu courant où divers prêcheurs s'égosillent dans une rhétorique apocalyptique. Avec leurs sermons dogmatiques, ils invitent la populace à craindre le courroux des Dieux et à prier avec ferveur pour son salut.
#19
Alors que les superstitions religieuses naissaient à chaque coin de rue, les météores qui n'avaient de cesse de parcourir le ciel d'Ecridel suscitaient également l'intérêt des érudits de tout ordre. Celui des adeptes des sciences stellaires notamment.

Les diverses sectes et organisations d'astronomes et autres alchimistes s'étaient rassemblés partout dans les terres du Concordat, de jour comme de nuit, dans l'excitation de la découverte scientifique. Après tant d'heures passées les yeux rivés sur l'oculaire de l'imposant télescope qui trônait au centre de l'observatoire royal d'Yris, les quelques savants du monarque émirent bien des hypothèses pour percer les secrets de ces corps célestes. L'une d'elle, la plus crédible à leurs yeux, supputait que ces derniers seraient des flèches que la déesse Nikléa aurait tiré, scintillant sur le voile de nuée de Tétuana. Vestiges de son crime millénaire contre Ikhâr ou nouvel adversaire divin ?

Mais tous ne semblaient pas partager cette théorie qui renforcerait bien trop facilement l'unité autour du clergé et de la royauté, en des temps troublés.
#20
“Je t'jure, Josie, je l's ai vues ! Elles sont tombées du ciel ! P'reil que P'pa après une cuite. Comme ça !

J'marchais dans la forêt. M'man voulait des morilles. Alors moi, quand je l's ai vues tomber, je m'suis caché dans un vieux terrier -ça puait le goupil crevé et M'man m'a tiré l'oreille quand je suis rentré-. Pas idiot l'Enio. Je voulais pas finir écrasé par une étoile.”


C'est ainsi que le petit Enio, simple garçon de ferme à Kandrian, raconta le récit de sa mésaventure à sa cousine, marchande d'épices exotiques au port d'Yris, qui, ravie de la partager à sa clientèle friande de mystères, n'en perdit pas une miette. Avec son humeur bavarde, l'anecdote aura tôt fait de faire le tour du Concordat en quelques jours seulement.
#21
Stupeurs et inquiétudes parmi les marins d'Yris !

Ceux-ci auraient littéralement perdu le Nord lors de l'usage de leurs boussoles. L'instrument, habituellement des plus fiables pour s'orienter en mer, se voit indiquer durablement l'Est.
#22
[Image: 8ZukaBe.png]

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Extrait de L'Yris du Jour, journal satirique et monarchique.
#23
Des loups plus féroces et plus imposants qu'à l'ordinaire auraient été aperçus aux alentours de Kandrian.
#24
La reine Ashtalia d'Alcascyr fulmine d'avoir perdu Tilador, mais elle ne peut se permettre la guerre ouverte et semble organiser ses forces en espérant que de nouveaux champions se distinguent.
#25
Alors que d'effroyables rumeurs font état de la présence de démons et de holdars entre Kandrian et Nim Duin, les citadins aisés d'Astéras se réjouissent à la perspective de grandes festivités. En effet, l'héritier de la prestigieuse Maison Rian'cir serait sur le point de se marier.

L'Intendant de cette noble famille croulerait sous les faireparts à envoyer à tous les représentants de l'aristocratie du Concordat. Du petit noble sans terre aux lignées les plus influentes, tous seraient conviés. Il serait également à la recherche de mercenaires pour garantir la sécurité de toute cette glorieuse assemblée.
#26
On raconte que le nord est en train de connaître le dénouement de son instabilité politique. Un Jarl émergera vainqueur et de lui dépend le futur de la guerre entre les royaumes du nord et le Concordat.
#27
La situation à Asteras serait des plus tendues à la cour royale. L'aristocratie, endeuillée par la récente tragédie de ces noces sanglantes, exigerait la tête des coupables dans les plus brefs délais. De nombreux propos virulents, motivés par la perte de proches et d'amis, sont échangés à l'encontre des hautes autorités jugées, à tort ou à raison, responsables de l'insécurité ambiante.

Afin de calmer les esprits et de rassurer la noblesse, la reine Ashtalia d'Alcascyr aurait tenu un discours émouvant rendant un hommage touchant aux victimes, tout en réaffirmant fermement sa volonté de traîner les coupables devant la justice elfique.
#28
Le temps passait, mais les fugitives restaient toujours introuvables. Les maigres indices laissés n'avaient fait que mener la Garde d'Asteras dans l'impasse la plus totale. Un tel échec n'était pas sans conséquence pour le sommet de la hiérarchie, qui se trouvait alors incapable d'en justifier auprès des familles influentes des victimes. Les grognements se faisaient de plus en plus entendre à la cour elfique.

Les quartiers plus populaires n'étaient en reste. Le mécontentement montait, installant un climat délétère propice à l'apparition d'émeutes que les autorités peinaient à stopper sans effusion de violence.

S'il était vrai que la peur gangrenait la population depuis Tilador, et à présent, cet attentat au sein même d'Asteras, il aurait été bien difficile d'imaginer que la colère du peuple menacerait la gouvernance de la Reine Ashtalya d'Ascacyr aussi durement. Il se murmurait que les meneurs étaient financés dans l'ombre...
#29
Les derniers événements, - le mariage chamboulé et la fuite des responsables - alimentaient la ville d'Asteras en potins, et sur la place du marché comme dans les tavernes les plus miteuses, on colportait toute sorte d'idée folle.

Mais la dernière rumeur en date ne manquait pas de croustillant. Mendiants, soiffards et autres rôdeurs nocturnes auraient aperçu une inquisitrice - reconnaissance par les blasons - agonisante remonter la cité d'Asteras jusqu'au temple de Fryelund. On raconte que le sang versé par cette demoiselle en détresse aurait pu alimenter tout un tonneau et sa pâleur entrait en compétition avec celle de la lune.

Si la nouvelle date de quelques jours, bien des personnes l'auraient aperçue près du temple, guérie de toutes ses blessures. Savoir quel châtiment elle avait subi, personne ne saurait dire, mais les mots "holdar" et "nain" auraient été prononcés lors pendant les sommeils agités de sa convalescence.


Atteindre :