Faol'Kaldora - Concours d'odes
#1
Un placard expliquant les règles du concours d'odes trônait près de l'entrée du temple.

Citation :Bienvenue au concours d'odes à Aletheria

Ici seront affichées les différentes compositions des participants au concours d'odes à notre déesse.
Le concours est ouvert à tous, et y participer n'exclus pas une participation à l'épreuve du champion ou au tournoi de chasse.

Voici les quelques règles à suivre :

- Toutes les odes rendant grâce à notre déesse sont acceptées.
- Une seule participation par personne. Tout contrevenant se verra disqualifié.
- Les participations hors-concours sont autorisées.
- Les compositions pourront être reçues ici durant toute la durée des festivités. Les participations prendront fin avec l'épreuve du champion.

Tous ceux désirant prendre part au concours devront laisser ici-même leur nom ainsi que le texte participant.
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#2
Au troisième placard qu'il lut, Le Loup s'inscrivit aussi. Il n'était pas particulièrement poète mais pensait qu'il serait blasphématoire que de ne pas tenter cette épreuve, même s'il était sûr de ne pas gagner.
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#3
Enthousiaste, Barkant se mit à la tâche immédiatement. Tout en faisant les cents pas, il murmurait pensivement des rimes et ponctuait ses aller et retour par de grandes rasades de vin.
Au bout d'un certain temps, il prit une plume et un vélin de qualité pour rédiger quelques courtes phrases, puis se dirigea vers la prêtresse et demanda la permission de clamer son poème .

D'une voix claire et haute, il s'adressa aux quelques personnes présentes, essayant de ne pas buter sur les mots il articula avec prudence :

**Ô Aléthéria que ta splendeur soit louée,
Toi à qui je dois la vie,
Tu es la source de toute Magie,
Par ta grâce je suis émerveillé.

Ô, Mère de tout les centaures,
Tu scintilles dans les cieux,
Ton pâle visage mystérieux,
Ta peau d'argent aux reflets d'or.

Toi qui me sourie chaque soir,
Je m'accroupis dans ta lueur,
Hypnotisé par ta splendeur,
Je ne peux détourner mon regard.

Ta forme mélancolique,
Que tu sois rousse,
rouge ou noire,
Me rend nostalgique.

Belle et changeante tu es,
pleine ou mince comme un cil,
vêtue de ta cape de nuit,
décorée de mille étoiles.

Que maudit soit ton frère,
Misérable soleil orgueilleux,
Astre maudit et vaniteux,
Qui crée l'ombre et bafoue la lumière.

Toujours, Ô Lune tu m'étreins,
A jamais mon coeur t'appartient,
Et je prendrai tout les chemins,
Pour ne pas m'écarter du tien.

En ce jour heureux de Faol'Kaldora,
Ton apaisante lumière me berce,
Semblable à de douces caresses,
Je sent mon âme monter vers toi.
**
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#4
Bellérophon était encore un jeune centaure, les épreuves de chasse et de lutte ne pourraient jamais le voir triompher en raison de son cruel manque d'expérience. En revanche, un concours d'ôde, ça c'était à sa portée.

Après que le précédent candidat eut fini sa déclamation, il se lança :

Aléthéria, bienveillante protectrice,
En ce jour nous t'honorons,
De nos odes à foison,
Toi qui nous donna la vie jadis.

De ton éclat lunaire,
Venant de tes lointains cieux,
Tu brilles de mille feux,
Et dans la nuit nous éclaires.

Dispensant sur nous ta bonté,
Ô, reine de Kaldor,
Ton cœur est d'or,
Et ne cesse de nous aimer.

Sous tes cheveux d'argent,
Tes yeux iridescents,
Bénissent tes enfants,
Et tous leurs descendants.

Et durant toute cette nuit,
Pour la Faol'Kaldora,
Nous, enfants des bois,
Venons te dire...
"merci"
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#5
Lors des festivités dans Naël'kaldora Esus put voir que l'on avait installé trois placards visant à annoncer et à organiser 3 événement-concourt en l'honneur d'Aletheria. L'un d'eux attira son attention, il annonçait un concourt d'ode à la gloire d'Aletheria. Esus, ayant vécu le plus clair de sa vie dans la forêt, loin des villes et ses enseignements, n'avait jamais su comment composer une ode et ne s'y était jamais essayé. Mais il voulait tout de même afficher un poème pour montrer sa ferveur envers la Grand Déesse.
Esus décida donc avant de repartir dans la forêt d'afficher le poème qu'il avait entendu étant jeune d'un mystérieux centaure à la robe blanche immaculée.

Citation :Aletheria, ma force,
Toi qui nous montre la voie,
Je te dédie ce poème,
Déesse en qui je crois,
Car du satin étoilé,
Où tu nous as donné vie ,
Tu as su dispenser,
Ta clarté bénéfique,
Simple croissant,
Ou face sphérique,
Tu ne suscites que sérénité,
Et rêves mirifiques,
Beauté immortelle,
Entends mon appel,
Continue de briller,
Et lorsque le temps sera venu,
Où je redeviendrai poussière,
Que ma chair et mon sang,
Nourriront la terre,
Recouvre ma tombe,
De ton ombre protectrice,
Pour que je puisse jouir à jamais,
De ta lumière salvatrice.
Au moment de placarder et de relire son poème, Esus eu une petite pensée pour les centaures morts de la mains des sylvains, ce disant qu'ils reposaient en paix car Aletheria viellait sur eux.

HRP: hors-concours
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#6

Le tournoi de chasse venait de prendre fin, Arteo était encore sensiblement ensanglanté. Il arriva devant le tableau ou les gens avaient écrit leur ode.
Le centaure fouilla dans son inventaire et ne retrouva plus son ode . Il décida alors de noter son note en essayant de retrouver l'ode avant la fin du tournoi du champion
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#7

Le centaure était revenu au temple afin de parler avec le Chaman. Lors que la conversation était fini, Arteo s'arreta devant le temple et essaya d'y déposer son texte discrètement. Mais en regardant autour de lui, il vit le roi, la reine, leur fils, et le Chaman. Tant pis, pour la discrétion, en espérant que cela plaise à la déesse.


Oh Aletheria ,
Déesse tant convoité
Pour une beauté jamais égalé
Toi qui guide mes pas


Astre de bonheur, qui a vu tant de malheur
Tu as séchée bien des pleurs
Au cœur de la tourmente, je me tourne vers toi
Implorant ta clémence, tu ravives ma foi


Mère indispensable, tu veilles sur moi
Dans mon sommeil, me berçant contre toi
Dans la nuit noire, le soir,
Tu es ma lueur d'espoir


Moi Arteo, à cette heure
À jamais ton fidèle serviteur
Je te dédie ce poème
En espérant que tu l'aimes
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#8
En repartant le centaure vit un message au sol, ce dernier avait du tombé du panneau ou alors il n'était pas arrivé à destination. Apres une rapide lecture, le message était bien une ode à Aletheria mais ne venait pas d'un centaure. après tout, le règlement n'interdit pas aux sylvains d'y participer.
Arteo placarda le message.


Citation :Ôde à Aletheria.

Quand le soir tombe sur la plaine,
Je crois bien qu'un astre s'élève.
De douces couleurs sereines,
Descendent de vos froides lèvres.

Déesse bafouée, tous les soirs pourtant,
J'aperçois votre robe de satin blanche.
Vous qui jadis avait subi votre amant,
Vous êtes devenue la déesse franche.

Aletheria, sainte patronne violentée,
Vous qui d'un œil gardé tout Pelethor,
Et ceux qui de vos larmes sont nés,
Ces enfants que l'on appelle Centaures,

J'ose et j'espère, moi, elfe sylvaine,
Croire que bientôt, nos deux nations,
S'allieront et, alors, enfin sereine,
Je m'allongerais sous vos yeux vagabonds.

Yava la Rousse
HRP: n'étant pas une centaure, le concours est compté en tant que Hors Concours.
EDIT: en attendant une réponse de l'anim, j'ai enlevé le nom de l'elfe, je ne pensais pas qu'il y aurait une telle réaction, mais je comprend très bien RP parlant.

Édit: ok je conserve le message tel quel.
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#9
Afiralia désespérait.
Ses essais d'odes à la gloire de la déesse menaient sans cesse à l'échec, et elle ne comptait plus le nombre de feuilles saturées de mots et d'idées et raturés.
A la base la druidesse peinait à avoir confiance en elle, et le fait que le concours soit officiel et publique, et que certaines odes déjà avaient été écrites et présentés au concours, aidait guère à apaiser et à dissiper son stress.

Sans cesse la centaure se remettait en question, ce qui faisait qu'elle n'était jamais satisfaite de son travail.
De plus, l'ode devait être dédiée à Aletheria, ni plus ni moins !
Jamais elle ne pourrait lui dédier un texte bâclé, imparfait et aux rimes sonnant fausses.
Elle préférait mieux ne pas participer plutôt que de faire honte à la déesse.

Soupirant, désespérée face à son indécision, Afiralia retourna sur la place pour voir si de nouvelles odes avaient été présentées, et également pour relire les anciennes, et pour se faire à l'évidence qu'elle ne ferait jamais le poids face aux autres concurrents et se persuader qu'abandonner était la meilleure solution.

Cette pensée se fit de plus en plus présente au fur et à mesure qu'elle lisait les nouveaux textes.

A la fin du dernier, son choix était fait: inutile de batailler en vain, elle, la centaure qui n'en était plus tout à fait une depuis son accident de métamorphose, ne pouvait rivaliser avec le génie poétique des autres candidats.

Totalement découragée, elle allait se retourner et s'éloigner vers l'arène pour assister au tournoi du champion qui touchait à sa fin quand soudain, un détail qu'elle avait négligé se rappela à son esprit.

Intriguée, la centaure retourna près du panneau, et examina avec plus d'attention le dernier texte, et en particulier sa signature.

"Yava la Rousse" ? Elle ne connaissait aucun centaure qui possédait pareil nom.
De plus l'écriture était étrange, et ne correspondant en rien à celle d'un centaure.
Yava la Rousse.
Yava.
Yava.

Ce nom n'appartenait-il pas...

Une elfe sylvaine ?!

Afiralia se figea, de stupeur mais aussi d'horreur.
L'incompréhension tout d'abord, vient embrumer son esprit avec de multiples interrogations.
Mais la colère ne tarda pas à prendre le relais.

Dans un geste furieux, la druidesse arracha la feuille sur lequel était écrit l'ode de l'elfe sans autre forme de procès, et se mit à galoper à toute allure vers la lisière de la forêt, bousculant d'autres centaures au passage tellement que sa rage l'aveuglait.

Sortie de la ville et arrivant à l'ombre d'un bosquet, elle jeta le pauvre parchemin malmené sur le sol, et le bombarda de rayon lunaire, sans pitié ni remord.

Pourquoi ?!
Pourquoi une sylvaine avait écrit une ode à Aletheria ?
Et comment ? Comment avait-elle su pour le concours, et comment son texte avait-il pu être placardé avec les autres sans que personne ne s'en rende compte ?!

Afiralia poussa un cri de frustration alors qu'elle augmentait le rythme des faisceaux.

Il n'y avait pas de doute, ces maudits sylvains se moquaient encore d'eux !
Leur cruauté et perfidie étaient sans limite. Voici à présent qu'ils venaient les narguer en leur faisant croire qu'ils vénéraient la même déesse qu'eux ?
Foutaises !
Calomnies !

N'ayant plus de mana pour achever son œuvre fumante qui n'était déjà plus qu'un vulgaire tas de cendre, la centaure piétina avec fureur ce qui pouvait rester du texte profane.

Les elfes sylvains n'avaient pas le droit de vénérer Aletheria ! Ils ne méritaient pas pareille considération !
De quel droit ils le pourraient ? Ils n'étaient pas des enfants de la Lune ! Ils n'étaient pas nés des larmes de la déesse après l'affront que lui avait fait le soleil ! Ils ne pourront jamais comprendre sa tristesse et se peine !
Jamais ! Jamais ! Jamais !

Que les elfes sylvains aillent se faire torturer par les démons pour l'éternité dans leur plan incandescents !
Qu'ils soient tous maudits !

Jamais elle ne relaisserait pareille horreur se reproduire, jamais !

Elle le savait, elle en avait la preuve à présent: elle avait eu tort d'avoir espérer, ne serait-ce qu'un instant, que certains d'entre eux étaient différents.
La centaure se rappela alors la métaphore du roi à propos des sylvains lors de son entretien avec ce dernier il y a quelques jours à propos de la libération de Shelka.
Voici qu'avait été le propos du monarque ce jour-ci, mot pour mot :
« Il y a des fruits délicieux et d'autres rongés par les vers. Je crains malheureusement une invasion de vers chez eux, même s'il reste des sylvains dignes de respect. »

Maintenant elle en avait la certitude.
Ils étaient tous pourris. TOUS ! Jusqu'au dernier !
Et elle n'allait pas laisser cette épidémie de vers infecter ronger le verger de son peuple.

Haletante suite à ce déversement de fureur, Afiralia reprit peu à peu son souffle en fixant la zone noircie, seule preuve restante de l'ode de l'elfe.
Le regard de la centaure était froid mais aussi décidé.
Pour réparer l'affront qui venait d'être fait à Aletheria, elle n'avait d'autre choix que de lui écrire une ode suffisamment élogieuse et reconnaissante pour qu'elle oublie cette meurtrissure faite à son honneur, aussi sans tarder, et après s'être appliqué à disperser aux quatre vents les cendres du texte de « Yava la rousse », elle retourna au pas vers la ville, bien déterminée à poser une fois pour toutes les vers et rimes qui plairont à sa déesse et qui lui feront, du moins elle espère, oublier ce fâcheux « accident ».
Cependant elle ne s'arrêtait pas là, car ce n'était pas suffisant.
Le problème était plus complexe encore, et elle le résoudrait définitivement… A commencer en trouvant le centaure qui avait commis l'acte odieux d'accepter ce texte blasphémateur et de l'avoir placardé parmi les autres, comme si cela était naturel.
Le coupable ne perdait à rien pour attendre.





HRP: malgré l'acte de mon personnage, je propose cependant pour qu'Arteo conserve intact son message, pour que le travail de Yava ne soit pas vain et que nous puissons tous en profiter.
Ce n'est pas parce que mon personnage s'oppose à la présence de l'ode que je n'ai pas droit de savourer les rimes de Yava.
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#10
C'était le grand jour.
Son texte était enfin terminée.
Elle ne pouvait plus faire marche arrière.

Elle resta quelques secondes à contempler le tableau. Ce tableau, celui qui avait hanté ses nuits pendant la durée des festivités.
Mais à présent elle était sereine.
Qu'importe si son texte remportait ou non le concours, au moins elle avait accompli son objectif, celui d'écrire une ode à Aletheria avec tout l'amour et la dévotion qu'elle lui portait.

Aussi d'un simple geste elle placarda son texte et partit rejoindre Arteo et certains de ses camarades de l'Irih Aletheria afin de mener une bataille où elle éliminera sans pitié les ennemis de sa déesse et lui fera honneur, même si son propre sang devait couler.
Car elle était centaure, mieux: elle était une fille d'Aletheria.


Citation :Ô Aletheria, des ténèbres tu es apparue,
Je craignais de t'avoir à tout jamais perdue,
Apaisant toutes nos craintes, tu te dévoiles,
Timidement, une jambe nimbée d'un voile,
Tu rallumes nos flammes, réponds à nos prières,
Et j'attends d'admirer ce visage si fier.

Ô Aletheria, tu ne cesses de me faire languir,
Dans l'océan indigo de la nuit je te vois luire,
Et ton visage suffit à apaiser mon cœur.
Dans mes ténèbres, tu es source de chaleur,
Libératrice des tourments, tu m'as montrée le chemin,
A présent j'attends, j'attends de te revoir demain.

Ô Aletheria, inlassablement tu te révèles à moi,
Un regard protecteur tu poses sur moi,
Enfin, tes yeux s'ouvrent et m'ensorcellent
Ton visage gracieux respire la bonté et l'amour si réel,
Et triomphe des ombres malveillantes pour me contempler,
Je ne peux plus attendre, tu m'as envoûtée.

Ô Aletheria, enfin te voici dans toute ta splendeur,
Vois ces larmes accueillir ta pâleur,
Et saluer ta beauté, ta pureté et ta noblesse,
De tes rayons, tels des doigts délicats, tu me caresses,
Le temps n'est plus, et mon cœur s'est arrêté,
Enfin, enfin toute entière je peux t'embrasser !


Aletheria, par ton éclat et ton élégance,
Tu défies l'astre solaire et combats sa déchéance,
Vile source de lumière profane et maléfique,
Dont triomphe sans peine ton aura si magnifique.
Tu es souveraine de cette immensité infinie,
Et moi, ta fidèle servante, je t'offre ma vie.
Comme tous les centaures lors de la Nox'Alba,
Je t'accorde, sans geindre, toute ma foi.


Ô Aletheria, pourquoi t'éloignes-tu ?
Cherches-tu à échapper à ma vue ?
Ne m'abandonne pas, source de vie,
Ais pitié de ma peine, je t'en supplie !
J'ai comme un mauvais présage,
Comment supporter la disparition de ton visage ?

Ô Aletheria, s'approche l'inévitable.
Penses-tu que je sois capable
De voir disparaître ta divine lumière ?
Dépitée, je ne peux être fier,
Le désespoir s'empare de mon cœur,
Profitant de ma détresse et ma stupeur.
Tes rayons peu à peu disparaissent, je crie :
Que dois-je faire pour stopper cette tragédie ?

Ô Aletheria, symbole de ma vertu,
Avec ma joie, tu as disparu.
Les ténèbres s'emparent des cieux
Et je te cherche dans ce néant.
Quel centaure peut être heureux
Lorsque ta disparition le hante ?
Pourquoi te caches-tu pour pleurer ?
T'avons-nous impunément offensée ?

Mais mes larmes peuvent se sécher,
Comme celles que tu viens de verser,
Aletheria, à présent je comprends ton acte,
D'un moment de solitude tu avais besoin,
Tu nous as caché ta peine avec soin,
Pour éviter notre chagrin, tu as rompu le contact.


Mais ta peine et tes larmes nous pouvons partager,
Mon amour pour toi peut tout supporter !
Si trop lourd est le fardeau de la honte,
Donne le moi, et seule je le surmonte,
Si cela peut m'épargner ton regard triste.
Que recommence ce ballet qui nous émerveille,
Qu'éternellement, j'admire ton nouvel éveil.
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#11
Le Loup était pitoyablement sans aucune inspiration. Il avait beau e creuser la tête, rien ne venait (ou des absurdités qu'il n'aurait pas osé montrer.

Le temps passait et il s'énervait de ne pas être à même de sortir un texte digne de la déesse qu'il admirait tant.

Le concours n'était pas encore terminé, peut être aurait il le temps et l'inspiration pour publier à temps, un texte valable.... Mais il en doutait.
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#12
[hrp]Tu nous laisses jusqu'à la fin du WE ? Big Grin[hrp]
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#13
HRP: Vous avez déjà eu plus d'un mois, mais je suis d'accord de vous laisser le week-end.
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#14
hrp: allez Le Loup et les autres, on y crOit Smile.
Pas obligé de fairE l'ode du siècle, l'important c'est de participer.
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#15
Le Loup n'était pas un poète, loin s'en fallait. Mais il se devait, comme tout bon centaure, participer au concours d'odes de Faol'Kaldora.

Un peu honteux, il vint, à la dernière minute, afficher son travail.

Citation :Oh notre Aletheria
Qui illumine la nuit
Grâce à la douce aura
Dont l'argent est le fruit

Sur les Centaures tu veilles
Leur apportant la Foi
Leur vie tu ensorcelles
En protégeant nos bois

Au guerrier tu apportes
Les armures et les armes
Ce, afin qu'ils remportent
En ton nom des faits d'armes

Aux mages tu fournis
Tes sorts, Aletheria,
Des protections aussi,
Ainsi que du mana

Pour Faol'Kaldora
Tout le peuple est présent
Partageant avec toi
Ta gloire, pour un moment.
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#16
La grande prêtresse remis la masse d'Aletheria à Val'Kyria, la nouvelle championne, et laissa la centaure vaquer à ses occupations.

Maintenant que l'épreuve du champion était officiellement terminée, il était temps de mettre également un terme au concours d'odes. La dévote s'approcha donc de l'affiche et y griffonna que les inscriptions étaient maintenant clôturées. Elle récolta ensuite tous les textes à la gloire d'Aletheria qui étaient placardés là et rentra dans le temple.
Les prêtresses allaient maintenant lire chaque ode et délibérer pour choisir celle qu'elles préféraient et qui rendait le mieux grâce à la déesse-mère de tous les centaures.


HRP: Vous l'aurez compris, les participations au concours d'odes sont maintenant closes. Les résultats seront affichés d'ici une semaine au plus tard.
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#17
Bien que loin de la capital et en train d'explorer une sombre caverne, Esus se demandait si le concourt d'ode à Aletheria avait prit fin et si son poème avait plu à Aletheria et à sa grande prêtresse. Esus était aussi impatient de rentrer à Naël'Kaldora pour y lire les textes qui avaient été accroché après son départ pour les plaines de Karios et surtout pour lire le texte vainqueur, jugé le plus glorifiant pour Aletheria par la grande prêtresse.

HRP: ça fait plus d'une semaine ^^, pas trop le temps en ce moment ?
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#18
HRP: Les votes sont en cours, c'est pas toujours facile d'avoir du temps pendant cette période.
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#19
HRP: petite question mais nos anims sont en vacances? Si oui, savez vous quand ils reviennent?
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#20
Hrp: il me semblait que le gagnant du concours avait été inscrit sur le journal Telemagique d'Ecridel, mais maintenant le nom n'y est plus. Enfin si j'ai bien lu, le nom n'était pas sur malgré le nombre de votes qu'il/elle avait reçu.
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#21
[HRP : Les maitres du jeu centaures sont actuellement en vacances, le résultat du concours d'odes est reporté à une date ultérieure. Nous faciliterons la remise des récompenses. ]
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#22
Ajila a dit le Le 25-08-2012 à 15:43:20
Citation :HRP: Tyrzak est indisponible jusqu'au 4.
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#23
Après maintes délibérations de leur conseil clos, les prêtresses semblèrent s'accorder sur les résultats du concours. Un texte sortait particulièrement du lot, celui d'une jeune centaure prénommée Afiralia, dont la ferveur envers la déesse n'avait d'égal que la beauté de l'ode qu'elle avait rédigée.

Une prêtresse se chargea d'aller afficher le texte de la gagnante au milieu du temple pendant que les autres s'affairaient à emballer soigneusement la cape pour en faire un colis à envoyer à Afiralia, ainsi que d'autres paquets plus modestes contenant les lots de consolation des autres participants.

Mais la prêtresse chargée de placarder l'ode oublia bien vite sa tâche quand elle découvrit le temple en proie aux flammes et ses sœurs qui pleuraient sur les corps sans vie d'autres dévotes ainsi que celui de la grande prêtresse de leur ordre.
Laissant choir le texte sur le sol, la centaure se précipita auprès des autres prêtresses afin de les aider à sauver celles qui pouvaient encore l'être.

Après le capitaine de la garde Démoléon, c'était la Grande Prêtresse qui retournait dans les bras blancs d'Aletheria. Les autorités centaures semblaient s'amoindrir à chaque nouvelle lune.
Même si ce jour marquait officiellement la fin des festivités exceptionnellement longues et somptueuses de la Faol'Kaldora, il resterait surtout gravé dans les mémoires des Des'Thlin pour les larmes versées sur les corps des leurs.
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#24
bon, ce n'est pas vraiment le moment pour ça étant donné que nous bataillons contre le démon à la sortie est de la ville, mais je tiens à adresser mes sincères félicitations à Afiralia .
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#25
Bravo Afiralia, ton texte est excellent !
Et bravo aux autres participants pour le plaisir donné lors de la lecture.
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Atteindre :