Veni vidi vici
#1
Une belle ballade dans les montagnes nous avait ouvert l'appétit....c'est pourquoi j'ai émis comme proposition au reste de la famille d'aller pêcher quelque brochets...

En redescendant, on a croisé un semblant de route éparse parsemé d'orties fraiches, jamais ouvrage n'avait été aussi mal agencé...Cela ne pouvait être entretenu que par des longues oreilles.

Baldr mon frère m'expliqua qu'on était en plein territoire elfique et que la route menait à Tilanor .....

"écoute frère j'irai bien tester leur taverne a ces longues zoreilles et dire deux mots à leur architecte/jardinier sur la façon de construire du durable"

Le lendemain, on rentrait en famille fièrement dans la ville elfique: quelle tristesse!!! Personne pour nous accueillir..... juste une taverne morne et triste........... des gardes qui ne nous même on pas vu passer et pas un petit elfe pour déclencher une bagarre ou une tourné générale.

" Franchement j'ai connu des postes de gardes en haut des pics Ingemann ou ils y avaient plus d'ambiance...."


Baldr me regarda et me dit "au fait pourquoi on est venu ici ?"

Je lui répondis en regardant à l'horizon une maison en paille :" Pour la gloire , la fièvre du combat et montrer ce que c'est qu'une infiltration réussi!!!"

Mimir éclata de rire et me dit : "Et c'est pour ça qu'Heimda est train de pisser sur leur route ?"
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#2
Veni, vidi, vicci, erratum de guerre

Les combats faisaient rage dans la grotte. A chaque squelette de givre qui tombait, un autre venait le remplacer. Heureusement que la tactique des Muspellheim était au point : des guerriers qui échangeaient leur place de 1ère ligne fréquemment, un mage qui ne cessait d'améliorer leur puissance et 2 arbalétriers, dont une cousine, qui achevaient la besogne et renseignaient le groupe.
Puis, à un moment où les lignes ennemies commençaient à faiblir, notre éclaireur partis devant afin de voir si le nombre n'allait pas nous écraser. Continuant à achever les quelques survivants avec sa fratrie, Heimda perçut un bruit sourd qui provenait d'une forêt enneigé dans la caverne. Car dans ces bois, inutile de se servir de la vue car on y voyait absolument rien. Craignant pour la vie de Baldr qui pouvait se trouver seul face à l'ennemi, Heimda alpagua son frère Tyr, tout en lui lançant quelques sorts pour tuer plus rapidement :

Plein nord, dans la forêt, créatures à tuer, vite Baldr est en danger !

Le guerrier fonça dans les bois tout en hurlant de rage. Si un seul d'entre eux osait ne serait-ce que toucher à un cheveu de son frère... Le son se répercuta dans la grotte et fut interrompu par les violents et rapides coups de hache qui s'abattaient sur l'ennemi.

Alors que Tuisto et Mimir achevaient le dernier squelette, Tyr revint vers eux la mine déconfite :

- Heimda, c'était pas un squelette
- Ah bon, mais c'tait quoi alors ?
- Tu te souviens que Laaji nous suivait à l'extérieur ? Et bien il nous a suivis aussi à l'intérieur.
- Merde on a tué un nain ? Enfin, un nain…
- Ouaip, il t'avait mal parlé de toute façon ? On mettra ça sur le compte des haches perdues !
- T'as raison. Bon allez, c'est pas tout ça mais faut rejoindre Baldr maintenant. En route !.
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