La Confrérie du Roc recrute
#1
Affichée sur un panneau sur la Grande Place de Karad Zirkomen, vous pouvez voir un parchemin frappé d'un sceaux inconnu, représentant une pierre ornée de runes. En vous rapprochant, vous pouvez lire ceci:


Citation :Fraan Braglen!

Une nouvelle institution vient de naître chez le Nain. Notre glorieux Thaïn Grunïn le Porte-Flambé vient d'annoncer officiellement la création de la Confrérie du Roc. Cette Confrérie, au service exclusif du Conseil Khazad, est chargée du développement économique de notre Royaume en collaboration avec la Confrérie des Haches et la Corporation des Pioches.

Afin de mener à bien notre lourde tâches et nos nombreux projets, nous en appelons à tous les volontaires. Nous recherchons des Nains motivés, disciplinés et prêts à mettre leur vie au service de la grandeur de notre peuple. Nôtre rôle va de la recherche de ressources à la sécurisation de notre territoire, en passant par la construction de nouvelles infrastructures économiques et, si le Conseil nous le demande, le contact avec nos voisins Centaures. Il va sans dire que nos membres doivent respecter le code de l'Honneur Nain, nous ne recherchons pas de brutes sans cervelles.

Chaque membre a le devoir de participer au remplissage du trésor de la guilde, et ce par le biais d'une cotisation modique mais surtout en reversant une partie des gains obtenus lors des missions de la guilde. Ce trésor de guilde sera utilité pour l'acquisition de matériel pour l'ensemble des membres et pour l'aide de nos compagnons les plus faibles.

Tout Nain intéressé est invité à envoyer une missive privé au chef de la Guilde Hagnûr Krajnisson et à son intendant Parnel.

Les Compagnons du Roc
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#2
Merc'dhes se dirigeait en direction des portes de la ville lorsque sa route croisa un panneau sur lequel trônait un parchemin dont l'écriture l'attira. Une écriture fine et appliquée dont elle parcouru les lignes durant quelques minutes, déchifrant comme elle le pouvait les mots écrits ...

- Disciplinés ... mmmh, c'pas pour moi c't'histoire !

Tournant les talons elle lâcha cependant.

- Faudra quand même qu'j'aille les voir un jour c'est p'tit gars.
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Atteindre :