Gal'bar Pied-de-feu
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Alors que les neiges descendent du Septentirion pour recouvrir progressivement les plaines, ne manque de sortir de sa cachette, chaque année et à la même période, un Korrigan. Cette étrange créature n'a jamais été une menace pour qui que ce soit, sauf pour ceux qui viendraient le déranger par hasard... Rien à voir donc avec celui qui a fait trembler elfes et nains durant l'ère Antique.
La raison de son apparition aux différents peuples est la suivante: se tirant quelques jours de sa solitude et béhabitude volontaire dans laquelle il se plonge la plus grande partie de l'année, cherchant à sortir de sa torpeur et se dégriser, car quand on est dans cet état là, on est pire qu'avec une gueule de bois, et on devient aussi très, très suceptible.
Or, il n'y a pas mieux que des histoires drôles pour remédier à cela.
Vous l'aurez donc compris, Gôr'kh adore les histoires drôles, et en même temps que les premières neiges, il apparaît ici et là sur Ecridel, un peu partout à la fois. grâce à la magie ancestrale de son peuple ou un tour de passe-passe, ceci dans le but de réclamer son lot de contes hilarants et désopilantes, à qui voudrait bien tenter sa chance... Mais attention, le vieux Korrigan est devenu au fil des siècles un expert en la matière, on ne peut le faire rire simplement avec une vanne sortie du fond d'une taverne. Et ceux qui seraient assez fous et audacieux de tenter ceci se retrouveront bien vite avec un doigt en plus (ou en moins selon son humeur), une frénétique et instoppable envie de danser, un lacet inouable, ou une stérilité malvenue pouvant durer très, très longtemps... Bref, la punition du korrigan est sans égale quand il entend une blague médiocre, et vaut mieux donc y réfléchir à deux fois et s'entraîner avant de tenter sa chance.
Cependant, ceux qui arriveraient à l'amuser, le faire sourire, voir même rire... se verrait alors récompenser... Mais de quoi ? Aucune idée, mais c'est un korrigan, et il n'y a pas mieux que ces petits êtres en terme d'inventivité et de fantaisie pour inventer des récompenses (ou dans le pire des cas, une punition)... Malheureusement pas toujours bénéfiques.
Pour relever le défi de Gôr'kh, rien de plus simple: il suffit de réciter en criant dos au vent à cloche pied et un doigt dans le nez son histoire... Et patienter sans bouger que vienne la réponse du Korrigan (ce qui au passage demander beaucoup de temps).
Avec pas de chance, la foudre s'abattra sur vous, avec un peu de chance vous vous en sortirez peut-être avec une crise d'acnée et d'asthme, et avec beaucoup de chance (et de talent) peut-être pourrez vous recevoir un présent du korrigan... Mais pour le savoir, rien ne vaut mieux que d'essayer !
Consignes HRP:
-Cette animation est un concours d'histoire drôle. Pour y participer, vous devez poster votre texte sur ce sujet, ou alors l'envoyer à Gôr'kh lui même... Et attendre les conséquences (positives, ou négatives).
-Le texte sera jugé sur le moment par l'équipe d'animation, et non à la fin du concours. Vous pouvez donc être punis (ou récompensé) à tout instant à paritr du moment où vous avez envoyé votre message.
-Une petite introduction et description de la scène au moment de la récitation de la blague par votre personne est appréciée et pourra rentrer ne compte dans la décision de l'équipe.
-Votre texte doit faire 10 lignes environ (sur Word), à 2 lignes près.
-Le concours se terminera le 1er Janvier, vous avez donc toutes la période des fêtes pour tenter de recevoir votre cadeau de Noël façon Andoras... oopas. 
-Et pour les curieux, les présents à gagner sont... divers et variés, et dépendront de l'inventivité des MJ (autant dire que vous pouvez commencer à trembler ou au contraire, à rêver).
Sur ce... Que le Rire et la Créativité vous portent chance !
Gal'bar Pied-de-feu
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L'annonce de l'arrivée du Korrigan n'avait été faite qu'il y a quelques jours, mais déjà, un audacieux s'était lancé dans le défi adressé à tous.
La blague fut lancée au vent, et l'attente se fit.
Pas un bruit, pas un rire, ni un cri de protestation ou de colère, et le suspense s'en fit plus fort encore.
Enfin, vint l'heure du jugement.
Il n'y eu ni d'éclair déchirant le ciel, ni tremblement de terre, ni météorite tombant du ciel.
Juste un centaure qui se ballade à présent piteusement avec une carapace de tortue sur le dos…
Citation :Au pied des murailles de Karad Zirkomen la belle, deux vieux nains, le visage mangé par leur longue barbe broussailleuse, observent paisiblement les montagnes alentours.
Plongés dans leurs souvenirs, ne faisant qu'un avec la pierre étincelante sous le soleil d'hiver, ils restent silencieux.
Soudain, l'un d'eux se tourne vers l'autre :
- C'est deux elfes qui se promènent dans la forêt.
- Murgmourf... Oui, et ?
- L'un des deux s'exclame : "Oh un oiseau mort !" L'autre lève les yeux au ciel et demande : "Où ça ?"
Retrouvant leur placidité contemplative, seuls les yeux rieurs des deux vieux nains soulignent leur appréciation complice de la légendaire bêtise elfique...
Bon d'accord je n'ai pas respecté les consignes, mais il ferait beau voir qu'un Korrigan soit à cheval sur les principes...
2 nains, au fond d'une mine, une bonne dizaine de chope par terre, témoins passé de leur efforts pour faire reculer l'ennui:
"Alors,tu crois que le korrigan il nous entends ?
-Ben, faut croire, on sait pas s'qu'il peut faire.
-Alors je le tente ...
-Hé ben, si tu te retrouves avec des oreilles d'elfes, tu te plaindra pas ..."
Péniblement, le premier nain se met debout, se secoue la tête, et met consciencieusement un doigts dans son nez, prends une pioche qu'il met dans son pantalon, se coiffe d'une chope, et annone:
"Je jure, par le petit Korrigan, que mes intentions ne sont que facéties et pitreries, et que le manche de la pioche me gratte assez douloureusement ..."
ricanement de l'autre nain
"Bref, qui peut prétendre être la plus grande victime des préparatifs de guerre ?"
Un "hum" pensif de l'autre nain, puis un soupir:
"je ne trouve pas ... les ennemies ?
"non, les tabards, parce qu'ils se font enfiler par tout les guerriers ..."
Un grognement amusé répondit ...
"En plus, ça fait bâtard si on inverse les syllabes"
Après deux trois essais pour tenir à cloche pied, dos au vent et le doigt pas trop profond dans la narine – faut pas rigoler quand même, les doigts dans le nez c'est pour les orcs. Kalina arrive à tenir l'équilibre et crie :
Hey Gôr'kh, écoute celle-ci ! Un général elfe et un général nain se défient pour prouver le courage des leurs. Ils se retrouvent avec leurs champions en haut d'une falaise surplombant le Marais de Tenagos.
Le défi est le suivant : plonger de la falaise sur cinquante mètres dans le marais, éviter les serpents venimeux, crocodiles et autres tortues carnivores peu charmantes, passer au travers d'un village Saurotarque, puis remonter au travers d'une caverne réputée abriter des engeances de Randian.
Le général elfe à son meilleur maître lame : « Montrez-leur vos talents, pour la gloire de la reine ! ».
Le maître-lame : « C'est que... j'ai refait ma permanente récemment, l'eau et ça, c'est pas top... »
Le général nain à son champion : « Vas-y, et qu'on en finisse. »
En un clin d'œil, le nain plonge, nage, pourfends quelques ennemis, entre dans la caverne et en ressort, auprès des autres, la barbe fumante et sentant le roussi.
Le général nain : « Magnifique ! Incroyable ! Demande moi ce que tu veux et tu l'auras ! »
Le champion : « Tout ce que je veux… c'est la tête du connard qui m'a poussé ! »
Oscillant un peu sur une patte, Kalina commence alors son attente.
Rogral sortait des marais, la chope à la main, il avait perdu la moitié de son sang et il était poursuivi par une bande de moustiques géants sans doute en quête d'hémoglobine ... pour faire du boudin de nain
Gralor s'agita soudain :
Lograr ? ... pourquoi que je vois un putain d'Elfe rouge barbu sur une mouche Géante ???
peut-être que la bande d'hémosuceurs qui volent allégrement vers leurs morts a inspiré la mouche ...
Et l'elfe ?
Peut-être à cause de la délicieuse odeur des marais putrides qui nous rappelle la soupe à l'elfe de notre enfance ...
Mais ... pourquoi rouge ?
euhh ...
Joyeux No-elfe s'écria alors le ridicule personnage
Une blague … la naine en connaissait bien une mais … oh et puis allez !
Léchant l'index de sa main droite juste manucurée, elle observe le sens du vent. Puis insérant celui-ci dans sa fine narine de naine, ce qui l'inconforte au plus haut point, elle lève un pied et, tenant à peine l'équilibre, déclame au vent …
Citation :Fé l'hiftoire d'un v'elfe fi en encontre un n'autre fi a une grosse mite fur l'épaule et fi lui dit :
- whoa! felle bête, omment tu l'as eu?
- v'ai encontré un vénie en f'ottant fette lampe, mais aintenant y ne veut p'us exvaufer de voeux, tiens ve te la donne.
V'elfe court fez lui et frotte la lampe, le vénie en sort ...
Tu as le droit de faire un voeux et je l'exvauferai !
V'elfe annonce :
- ve veux un milliard (NdA : de pièces d'or) !
Le vénie difparait dans v'un muage de fumée laifant plafe à ... un tabard !
Le lendemain, v'elfe re-rencontre fon ami :
- il est nul ton vénie, ve lui ai demandé un milliard et il m'a donné un tabard !
- ... parf'que tu crois que ve lui avais demandé une grofe mite moi ?!?!?!
S'ensuit un bruit de chute et des insultes étouffées ...
- - Mhhh. Dos au vent ? Pff... Pas envie de me retourner. Et d'une bourrasque il changea la direction du vent pour l'avoir dans le dos.
A cloche pied ? Je boite depuis que j'ai rencontré cet orc qui m'a arrangé... Ca, c'est fait.
Un doigt dans le nez ? Il n'a pas été précisé dans lequel...
Et de sa voix la plus mielleuse il aborda une prostituée du port : « Pouvez-me prêter l'un de vos trous que j'y mette mon doigt ? » Une fois les préparatifs accomplis, sous le regard interrogateur de la catin qui pour une fois n'avait pas besoin de soulever ses jupon pour satisfaire à la demande, il récita l'une des nombreuses boutades qu'on pouvait entendre dans les dortoirs du centre d'entraînement :
Citation :Un jour un nain un peu crasseux sauta dans son plus simple appareil sur le dos d'un centaure. Celui-ci fit des sabots et des mains, mais rien à faire pour l'en décoller. Si bien que lassé, il alla voir un chaman.
Lorsqu'il entra dans la cahute du vieux sage, celui-ci demanda d'un air horrifié : «Rahhh ! Qu'avez-vous là mon pauvre ? » Et le nain de lui répondre « J'ai un abcès au cul ».
Puis il attendit sans bouger. Se maudissant pour ne pas avoir regardé avant où il avait mit les pieds pour cette attente qui menaçait de durer.
Silence n'était pas vraiment un conteur d'histoire mais attiré par les gesticulation de Kalina il tendit l'oreille et pu constater que l'on commençais à tailler sur les nain. C'est alors qu'il se souvint de cette blague qui lui avait arraché un sourire. Cependant il ne vit pas l'intérêt du cloche pied et du doigt dans le nez, si l'humour devait être au niveau du "pipi caca" il accepterais volontiers le courroux du Korrigan.
Citation :Un soir d'hiver deux nains sont contraint par le blizzard de rentrer dans une taverne Elfe, les temps étaient durs et les corps meurtris par le froid si bien que nul ne semblait enclin aux hostilités. Après une bonne chope de bière les deux nains payèrent pour deux prostitués. Ils les suivirent alors dans les chambres qui s'avéraient mitoyennes.
Pourtant requinqué par l'alcool, le premier nain n'arrivait pas à avoir une érection. Il était d'autant plus humilié que de l'autre coté du mur il entendit son acolyte crier :
"Encore une fois....UN, DEUX, TROIS ..... UUUHHHH!!!!" toute la nuit durant.
Au petit matin, le second nain demande au premier :
"Alors comment c'était?"
Le premier nain bougonna alors dans ça barbe :
"Puisque de toute façon tu finirra par le demander à la fille si je ne dis rien....ça voulais pas!"
A la surprise du premier nain son compagnon s'énerve et reprend :
"Parce que tu pense que c'est embarrassant ??? J'ai même pas réussi à monter sur le lit ....!!
Finlam avait entendu l'annonce du Korrigan, et même s'il n'était pas connu pour son sens de l'humour, il y avait une note de défi dans les dires du Korrigan qui toucha son esprit et le poussa à se lancer:
"J'ai justement une blague de Korrigan. Voyons si elle plaît:
Citation :Dans un village, un bossu se lamente auprès d'un vieillard. Celui-ci, ému lui confie:
- Ta détresse me bouleverse; je sais ce que tu ressens; moi aussi, quand j'étais jeune, j'étais bossu.
- Ah bon ! Et comment t'es tu débarrassé de ta bosse ?
- Un soir de pleine lune, je me promenais dans le cimetière, déprimé quand un korrigan est apparu devant la tombe d'Azraël et m'a demandé ce que j'avais sur le dos. En l'espace d'un éclair ma bosse avait disparu.
Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd -mais d'un bossu-, qui attendit donc la pleine lune et pour se rendre au cimetière.En passant devant la tombe d'Azraël, un petit être apparaît qui dit :
- Qu'est ce que tu as sur le dos ?
- Ben, une bosse.
Un éclair bleu le frappe et TOC! sa bosse disparaît. Tout content, l'ex-bossu rentre au village. Il rencontre un de ses amis, le manchot, qui est tout étonné :
- Qu'est ce qui est arrivé à ta bosse ?
Le bossu lui raconte l'histoire et à la pleine lune suivante, le manchot se rend au cimetière, espérant bien récupérer son bras. En passant devant la tombe d'Azraël, le korrigan fait son apparition :
- Qu'est ce que tu as sur le dos ?
- Ben rien.
- Alors tiens, voila une bosse !
Ayant fini, le centaure arbora une allure fière et un léger sourire qui montrait combien il était téméraire. S'il froissait le korrigan avec son histoire, lourdes pourraient être les conséquences...
Goïmgar Frontdur
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Bon, et bien pas l'choix, si j'veux satisfaire ce satané korrigan...
Goïmgar, après plusieurs minutes de tentatives désespérées, parvint enfin à tenir la position demandé par la créature farceuse, et, raclant au préalable sa gorge, commence, d'une voix forte:
Citation :C'est l'histoire d'un centaure, d'un elfe et d'un nain, qui se retrouvent capturés par un groupe de saurotarques au milieu des marais de Tenagos.
Normalement, les trois aventuriers sont condamnés à avoir la tête coupée, mais le vétéran saurotarque propose à nos trois compagnons le marché suivant: "Nous vous laissssons la vie ssaufffe sssi fffous nous ramenez un présssieux trézzzor de notre peuple, qui ssse troufffe de l'autre côté de ssse marécage maudit."
Les trois lascars décident alors de tenter leur chance et acceptent le marché, mais deux problèmse se posent très vite à eux: Ils sont obligés de traverser le marécage sans le contourner et de plus, une malédiction fait en sorte que plus on est con, plus on s'y enfonce !
Préférant néanmoins cela à la tête coupée, nos trois gaillards se dirigent vers le fameux marécage... Et le centaure s'y engage en premier. Ce dernier constate très vite qu'il ne s'y enfonce pas plus loin que le haut de ses canons, et continu, rassuré, son chemin.
Quand soudain, un bruit retentit derrière lui. Il se retourne... Et voit le nain, enfoncé dans la vase jusqu'au haut du cou, et luttant désespérément pour garder la tête à l'air libre. Le centaure éclate alors d'un rire moqueur: "Je le savais ! La connerie des nains est légendaire !"
Et au nain de lui répondre: "Mais non ! C'est l'elfe qui est accroché à mes chevilles !!!"
Tyr se réveilla mort saoul une fois de plus dans une taverne et face à des enfants qui lui demandai une belle histoire avant d'aller se coucher.
Tyr tout en remettant une chaussure a son pied et en curant avec son doigt un reste de vomi de son nez leur racontât un bien bon souvenir de sa prime jeunesse:
Citation :A l'époque je faisais partis de la milice de Kromgar.
Et un cousin qui sortait rarement de l'académie de magie passant par là voit un attroupement de nains devant l'auberge . Il me demande alors:
-Qu'est ce que c'est ce foutoir ?
- C'est un elfe qui a essayé de traverser le village. Alors on lui est tombés dessus, on l'a couvert d'huile et y a foutu le feu.
-ça va pas aider les relations nains/elfes...
- Du coup on fait une collecte pour sa famille.
- Et vous avez recueilli combien ?
- Pour l'instant 60 litres...
C'est alors qu'un courant d'air siffla dans son dos et fit tomber Tyr face contre le sol.
Assommé par la chute il ne bougea plus... sans raison, son esprit farceur imaginait des centaures à cloche pied et cela le fit bien rire dans ses rêves.
Glorfindel filait a travers la foret de Pelethor accompagné d'une Elfe Sylvain... Pendant une pause déjeuner, il décida d'amuser sa camarade de route avec une blague... De mauvais gout...
" Avez vous entendu l'annonce du Korrigan, madame ?!? En voici une; vous me direz ce que vous en pensez...
Apprécierait elle ?!? Peu importait... Elle devait contenter le Korrigan...
Citation :Au concours annuel de philosophie, un sage rencontre un paysan en final...
Assis l'un en face de l'autre le sage commence et lève un doigt... Le citoyen rétorque en levant deux doigts... Puis, le sage trois... Le citoyen agite un poing fermé devant le sage qui lui ouvre sa main gauche et y plante un doigt de sa main droite... Le citoyen fait alors zigzaguer ses deux mains imitant une route sinueuse....
La, sous les yeux ébahis de la foule alentour, le sage tombe de sa chaise... Vaincu...
On lui jette un seau d'eau froide sur la tête pour le réveiller et on le noie sous les questions du pourquoi du comment il a perdu face à un gueux !
" Et bien, écoutez, je ne comprends pas non plus... Je lui ai dis :
- tu es seul dans l'univers...
- il m'a montré ma religion, la dualité, le yin et le yang...
- je lui ai montré la sienne, la trinité, le père , le fils, le st esprit...
- il m'a alors montré l'unité, le poing fermé...
- je lui ai répondu, attend, t'es pas seul dans l'univers et là... Je n'ai pas compris son zigzaguement de mains... "
Le gueux, lui, ripaille au comptoir fêtant bruyamment sa victoire...
" Alors, monsieur, tout d'abord félicitations, pouvez vous nous expliquer comment vous avez réussi a vaincre le sage ?!?
- 'ttendez, il commence en me disant je t'enc... avec 1 doigt, bah moi avec 2, lui avec 3 alors moi j'lui mets le poing et là i'm'dit ça passera pas... en forçant bien !!! "
HRP : Bon, il va sans dire qu'elle est meilleure mimée que récitée ! 
Un classique Elfique de nos sous bois :
Une petite unité de mesure : le centimètre !
Une petite unité de temps : le centième de seconde !
Une petite unité de contenant : le centilitre !
Une petite unité d'intelligence : le centaure !
Brukia avait entendu le défi du Korrigan, et bien qu'elle préférait écouter les histoires drôles, plutôt que les raconter, elle se dit qu'elle tenterait sa chance. Elle se rappela une blague que l'on racontait souvent dans les veillées naines pour illustrer le summum de l'intelligence elfique. Debout dans la neige, elle demanda au loup des neiges avec qui elle se battait de lui laisser quelques minutes. Celui-ci, très poli, s'assit et se mit a lécher ses pattes en attendant qu'elle finisse. Se tenant dos au vent, à cloche pied, Brukia plaça son index délicatement dans sa narine gauche et récita:
Citation :Trois prisonniers sont gardés dans un camp d'orc. Un centaure, un nain et un elfe. Naturellement, ils veulent s'échapper et le nain propose un plan qu'il met de suite à l'épreuve. Le nuit venue, il se glisse tranquillement le long des tentes orc, mais fait un peu de bruit. La sentinelle orc:
- HALTE LÀ ! QUI VA LÀ?
Le nain :
- Piou piou piou...
La sentinelle :
- Groumf! c'était qu'un oiseau!
Et le nain réussit à s'évader. Le centaure décide de faire de même. La sentinelle :
- HALTE LÀ ! QUI VA LÀ?
Le centaure :
- Piou piou piou...
La sentinelle :
- Groumf! Encore ce satané oiseau!
L'elfe se dit qu'il n'y a pas de raisons et tente lui aussi sa chance. La sentinelle :
- HALTE LÀ ! QUI VA LÀ?
L'elfe:
- C'est l'oiseau...
Retirant son doigt, Brukia se dit qu'au moins si elle ne faisait pas rire, son histoire aurait un petit coté instructif pour tous les auditeurs nains présents.
Gal'bar Pied-de-feu
Visiteur
Les blagues allaient bon train, tellement qu'on ne savait plus où donner de la tête !
S'ajoutait à cela le rire abominable du korrigan qui retentissait parfois, porté par le vent, ou ses cris de frustration, ou encore... son silence.
Visiblement, la petite créature farceuse avait de tout pour son repas, autant du bon que du mauvais, du succulent que de l'exécrable.
Et c'est ainsi qu'une elfe se retrouva avec des bottes qui rendent intelligent, une naine qui possède à présent une hache pour essayer de cacher sa nullité, qu'un éclair s'abattit sur un centaure, qu'un nain se retrouva assailli par des boules de neiges, et qu'une autre naine gagna quelques piécettes mais se retrouva aveuglée.
Plusieurs cordes se retrouvèrent également distribuées... Sûrement pour consoler les malheureux.
Mais le défi n'était pas terminé, et d'autres blagues déjà fusaient.
L'avenir réservait encore beaucoup de rires et de malédictions...
HRP: Ceux dont les blagues ont été pris en compte ont reçu un MP.
Pour les autres: Patience, ça ne devrait pas tarder à arriver !
En cette époque, il était devenu tradition de relever le défi du Korrigan des neiges. Et bien que la posture imposée par la légende ressemblait déjà elle même à une bonne blague, chacun s'y adonnait, parfois dans son coin pour ne pas être ridicule, souvent entre camarade pour une bon moment de rire. En était venu le tour d'Itarillë, qui cherchait depuis un long moment quelle serait son histoire de l'année. Elle s'était souvenue d'une histoire que lui avait raconté son père. Cherchant son meilleur pied d'équilibre, osant la gestuelle digne d'un nain du doigt dans le nez, le vent lui faisant revenir les cheveux sur le visage, elle entama :
Citation :C'est un nain, qui au détour d'une ruelle non loin de sa taverne préférée, rencontre un marchand ambuant qui lui propose un objet magique :
- Une bouteille de bière qui ne se vide jamais. JAMAIS ! Tu pourras boire pour l'éternité avec la même bouteille, sans plus dépenser ton or !
- Arh Arh... Je peux essayer ?
Le marchand lui tend la bouteille, et le nain avale d'un coup sa consommation hebdomadaire.
- Aaaahhh ! l'est bien chette bouteille! J'vais la prendre.
Le nain donna sa bourse au marchand (et je vous passe les tentatives de négociations) et reprend une bonne rasade de son précieux liquide, puis, passablement éméché, balance la bouteille par terre et dit :
- Hey patron, file m'en une autre !
Et la chute s'accompagna de celle d'Itarillë, dont un ami avait pris soin de renforcer le léger vent...
De part son éducation stricte et austère, Lirawenn n'a jamais réellement prêtée attention à la légende du Korrigan. C'est dans une auberge qu'elle ré entendue la légende, mais elle était convaincue qu'il n'y avait que les nains pour participer à ce genre de farce dégradante.
Elle sortit de l'auberge mais n'arriva pas à chasser cette légende de son esprit. Pendant qu'elle marchait elle se rendit compte qu'elle était toute seule. Elle continua sa route en scrutant à droite, à gauche, derrière mais ne vit toujours personne.
Elle se surprit même lorsqu'elle cria : "Il y a quelqu'un?"
Personne ne répondit. Elle se dit alors que si personne ne la voyait elle tenterait bien de raconter une histoire drôle dans une position absurde. Elle commença à réfléchir mais ne trouva rien. Elle repensa à une histoire entendue dans une taverne et qui avait fait bien rire les gens présents. Comme tout le monde avait ri c'est que c'était surement une histoire drôle.
Elle se mit donc a réciter la blague dans une position incongrue.
C'est une petit garçon, elfe sylvain, qui dit à sa mère : "Maman, Maman. Je n'aime pas grand-mère".
Sa mère lui répond : "  oh ne commence pas avec ça."
Le garçon : "Mais maman j'aime vraiment pas grand-mère."
La mère fit semblant de ne rien entendre.
Le garçon continua sur sa lancée : "Maman j'aime pas grand-mère, maman j'aime pas grand-mère, ..."
La mère commença à devenir rouge de colère.
Mais le petit garçon ne s'arrêtait pas :"Maman j'aime pas grand-mère, maman j'aime pas grand-mère, ..."
La mère à bout de nerf lui cria : "TAIS-TOI ET TERMINE TA SOUPE".
Après avoir raconté son histoire, Lirawenn attendit, tout en continuant à regarder les alentours pour ne pas être surprise.
Elle se mit à rougir, ayant honte d'être entrée dans ce jeu et n'étant pas sûr s'il fallait rire ou vomir après avoir raconté une telle histoire.
Merydwïn se débâtait avec un loup quand la rumeur lui parvint. Elle écouta le murmure magique, et n'en cru pas ses oreilles, c'était totalement, complètement, merveilleusement … n'importe quoi.
Comme si elle n'avait pas mieux à faire que de raconter des âneries à un vieux bouc tout fripé.
Donnant un grand coup de pied sur le museau du lupin, elle se retourna et cria :
« Va voir chez les fées si j'y suis ! Si t'en connais de si bonnes que ça, raconte et on verra qui rigole ! Et les doigts, tu peux te les mettre où je pense »
Puis, elle revint au combat. Au loup maintenant.
D'après les dires de certains aventuriers, un Korrigan appelé Gôr'kh était en quête de fous rires, récompensant ceux qui avaient la chance de le faire rire et au contraire punissait sévèrement ceux dont ce don était quasi inexistant
Firien faisait partit de ces gens là... Jamais elle n'avait su faire rire. Et c'était bien ce qu'on lui reprochait assez souvent. Mais au fond.. N'était ce là pas sa chance de se rattraper ?
Ayant un manque cruel d'humour, elle ne daigna cependant pas reproduire l'action qui consistait à se mettre dos au vent, à cloche pied et le doigt dans le nez.. Elle était bien au dessus de cela.
D'une voix douce et à la fois impérieuse, elle s'exclama à haute voix :
Citation :C'est l'histoire d'un nain qui entre dans une taverne et qui s'approche du comptoir.
- Une bière siouplaît !
Mais personne ne lui répond.
- Hé ! J'ai demandé une bière !
Se demandant si le tavernier l'avait vu, il se mit alors à sauter de toutes ses forces en disant :
- Une bière siouplaît !... Une bière !... Une bière !... Une bière !...
N'ayant toujours aucune réponse, il fit le tour du comptoir pour parler au tavernier. Il vit alors un autre nain vêtu d'un tablier qui sautait de toutes ses forces en disant :
- Blonde ou brune ?... Blonde ou brune ?... Blonde ou brune ?...
Arteo venait de voir un centaure se faire foudroyait à coté de lui, surement une mauvaise blague. Le Gôr'kh ne semblait pas rigoler à propos des mauvaises blagues.
Qui ne tente rien n'a rien.
Le jeune centaure se mis en position dos au vent à cloche pied et un doigt dans le nez en criant son histoire.
Hey le gorgh tu connais la blague du gobelin qui voulait vendre un cochon intelligent à un troll. A mon avis, elle va te plaire:
Citation :Un troll va chez un gobelin afin de lui acheter un cochon dit intelligent.
T'es venu pour mon cochon. Je vais montrer un tour unique, il sait compter.
Sait compter ? veux voir ca
Si, si, je t'assure! Tiens, viens voir chez moi!... Viens, je te dis! Devant le cochon, le gobelin dit :
4+5 ? Et là, il file un petit coup de pied au cochon.
neufneufneuf....neuf! fait le cochon
2 et 7? (Un petit coup de pied!)- neufneufneuf..., fait le cochon. Le troll est surpris
3 et 6? (un petit coup de pied) - neufneufneufneufneuf...
Ouais, mais attends! Il ne sait dire que NEUF ton cochon. Tu veux me voler, tu vas manger de ma masse.
Naan, attends!... Ecoute: 4 et 4??
Et la, il donne un coup de pied dans les parties du cochon qui fait:
huuuiiittt, huuuuuuuiiiiiiiiit... huuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiittttttt!!
Mon p'tit Gôr'kh, t'aimes bien les nains ? T'aimes les bâstons ? J'te la dédie mon p'tit !
La centaure n'était pas au courant des pouvoirs d'un korrigan, elle les percevait comme des lutins, des "amis" avec qui l'on joue pour se défouler. Elle ne comprenait point comment il fallait s'y prendre, alors elle improvisa d'un air bêta.
Val'Kyria s'avança vers l'espèce d'estrade, à cloche sabôt, les doigts dans son pif, d'une posture assez... étrange pour un Centaure.
C'est 3 p'tits nains de 6, 8 et 10 ans qui sont assis autour d'un repas avec leurs 2 parents.
- Mange ta soupe de sangsue ! dit le père nain à l'aîné.
- J'en veux pas, elle est dégueulasse. Tu peux te la foutre où je pense.
Le père lui balance 2 beignes.
- Pourquoi tu le frappes ? fait le cadet. S'il aime pas cette soupe, c'est son droit. T'es tout le temps en train de l'emmerder.
Lui aussi reçoit une paire de gifles.
Alors le p'tit nain de 6 ans lève les bras et se protège le visage.
- Pourquoi tu fais ça ? lui demande son père. Si tu es poli et respectueux avec ton papa, je n'ai aucune raison de te gifler.
- Je sais, répond le p'tit nain. Mais je me méfie, t'es tellement con.
C'est alors que Val'Kyria se frappa elle même, retombant sur son arrière train, l'agilité n'étant pas son point fort...
La rumeur enflait à Asteras, IL était arrivé. Le Korrigan avait comme les années précédentes fait son apparition alors que les 1ères neiges tombaient. L'occasion était inespérée pour Eliondir qui n'était pas souvent présent à ce moment-là de l'année. Respectant scrupuleusement les consignes, il lança :
Citation :C'est une armée de nains qui en route pour une nouvelle guerre croise un elfe qui surgit de derrière une colline et leur crie : « Un elfe ça vaut 10 nains ! ». 10 nains sortent donc des rangs afin d'aller faire taire l'elfe bien prétentieux. Des cris de douleur se font entendre, et l'elfe revient avec un sourire non-dissimulé : « Finalement un elfe ça vaut 30 nains ». Le chef de guerre nain fulminant, envoie une troupe de 30 de ses meilleurs guerriers pour faire taire l'elfe une fois pour toute. Encore une fois des cris de douleurs et des lames s'entrechoquant se font entendre. L'elfe se hisse à nouveau sur la colline et annonce de manière bien fourbe : « Un elfe ça vaut 100 nains ». Le chef de guerre perd patience et envoie toute son armée derrière la colline pour lui régler son compte. On entend encore des cris de douleur, et puis soudain … plus rien ! Le chef décide alors de passer de l'autre côté et voit tous ses guerriers morts, sauf un, qui sur le point de mourir l'interpelle :
- Chef … chef !
- Mais qu'est-ce qu'il s'est passé bordel ?
- C'était … C'était un piège chef !
- Merde, j'aurais dû m'en douter
- Ils … Ils étaient 2 chefs !
Ne bougeant plus, l'elfe attendait maintenant la sentence.
"Quelle position ridicule", pensait Liska alors qu'il essayait tant bien que mal de ne pas tomber, juché sur un pied, un doigt dans le nez... "Heureusement qu'il n'y a personne pour me voir faire ça..!"
Il prêtait rarement attention aux rumeurs et légendes urbaines, mais pour le coup, la curiosité était trop forte, aussi lança-t-il son histoire dans le vent, en espérant ne pas finir foudroyé sur place...
Citation :Tout se passe dans une grande guilde marchande qui réunit des dizaines de personnes d'horizons différents. Etrangement, il n'y avait qu'un seul elfe sylvain parmi ces employés... Un beau matin, cet elfe s'en va donc trouver le chef de la guilde pour lui annoncer qu'il voudrait partir.
"-Partir ! S'étonne le chef de la guilde. Mais pourquoi ? Vous êtes jeune et talentueux en matière de baratinage des clients, votre avenir est tout tracé parmi nous !
-C'est à dire que tout les autres... Tout les autres membres de la guilde n'aiment pas les elfes sylvains...
-Quoi ? Tous des anti sylvains ? C'est un peu exagéré... Bon pour les nains, je le comprendrais, mais de là à ce que tout les autres le soient...
-Si, monsieur, je vous assure, ils le sont tous. J'ai même fait un petit test avec une question très simple, et ils m'ont tous donnés la même réponse ! Ils détestent tous les elfes sylvains, je vous dit...
-Mais non, voyons ! C'est n'importe quoi... Et c'est quoi, cette question ?
-Je leur ai demandé ce qu'ils penseraient si on exterminait tout les elfes sylvains et les cordonniers...
-Quoi ? Les cordonniers ? Mais pourquoi les cordonniers ??
-Bah vous voyez ! Vous aussi !
A peine eut-il terminé qu'un éclat de rire retentit derrière lui... C'était sa grande soeur qui l'observait alors qu'il déclamait son histoire dans cette position ridiculement instable... et il n'y avait pas de doute sur la raison de son hilarité. Ca n'était pas l'histoire drôle...
Muspellheim Baldr
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Encouragé par son frere Tyr ( qui a toujours eut un humour sanglant ) Baldr se mit à cloche pied, dos au vent et s'enfonça l'index dans le nez
Citation :Alors, c'est un Nain de Kromgar qui amène sa fiancée issue de Karad Zirkomen chez ses parents pour la première fois. Après un moment, le père prend son fils à l'écart pour en savoir un peu plus sur sa future belle-fille:
- Oh elle est formidable père, dit le fils. Elle est intelligente, drôle, vraiment jolie, son paternel siège au conseil : en fait elle est tout ce dont j'ai toujours rêvé chez une naine. Et la cerise sur le gâteau: elle est encore vierge!
- Alors là fils, je t'arrête. Tu devrais réfléchir encore un peu: Si elle n'est pas assez bonne pour sa propre famille, qu'est-ce qui te fait croire qu'elle sera assez bonne pour la notre?
Et baldr attendis
Après avoir réfléchit longuement, discuté avec beaucoup de ce fameux concours de blagues, Eledwhen se décida à participer et tenta tant bien que mal de prendre la position demandée par le korrigan. Après quelques vains efforts, debout sur son pied droit et son petit doigt dans le nez, Eledwhen commença sa courte blague; qui soit dit en passant était plutôt une devinette:
Citation :A quoi reconnait-on une blague de nain ? Elle est bonne mais elle est courte
Une fois sa blague récitée, Eledwhen patienta. Après tous les blagues les meilleures ne sont-elles pas toujours les plus courte ?
Cramponné sur son tabouret, Eryel sirotait son hydromel. L'ambiance était bonne à l'auberge des Deux Têtes, mais elle devenait trop sage et calme au goût des fêtards, habitués du lieu. L'un d'eux exhorta alors la foule en invitant un volontaire à raconter une histoire drôle pour relever le défi du Korrigan Gôr'kh.
Eryel s'en amusa, mais prêtait bien plus d'attention à la charmante serveuse qui parcourait en long et en travers les allées entre les tables. Si bien qu'en pivotant pour garder la demoiselle dans son champ de vision, il en perdit l'équilibre et se retrouva face à terre. L'hilarité se propagea dans la salle.
- Toi ! Tu es volontaire pour raconter une histoire !??! questionna un fêtard plutôt sur le ton d'une affirmation.
- Non, non ! répliqua timidement le malheureux Elfe qui se relevait.
- Ne te fais pas désirer ! Tout le monde a déjà toute son attention pour toi !
- Euh…
- Une histoire ! UNE HISTOIRE ! UNE HISTOIRE ! clama le fêtard, reprit par toute l'assemblée.
- … *rougissement*
- C'est ça ou tu paies ta tournée !
- Je.. euh… je vais tenter l'histoire !
- Et n'oublie pas de te mettre à cloche pied et un doigt dans le pif !
- … *rougissement*
Citation :L'Edit de Bienveillance est révoqué. Les Elfes et les Nains s'opposent dans une guerre dévastatrice, mais néanmoins magnanime. Si bien qu'un officier elfique, prisonnier des Nains, est traité convenablement.
Malheureusement, une infection le ronge. Une jambe doit lui être coupée. L'Elfe se soumet à la chirurgie naine mais demande une faveur. Il souhaite que son membre coupé soit catapulté en territoire elfique, afin que sa jambe puisse recevoir des bénédictions funèbres adéquates avant d'être enterrée. Les Nains acceptent et réalisent le souhait du prisonnier.
Plusieurs jours ont passé et l'état de l'Elfe empire. L'autre jambe doit lui être coupée. On accède encore à sa demande, et son autre jambe est ainsi envoyée en territoire elfique. Bientôt, c'est l'un de ses bras qui s'infecte. L'histoire se répète et c'est maintenant un bras qui est catapulté.
Quand vient le jour de l'amputation de son deuxième bras, c'est un Capitaine nain furibond qui vient lui refuser sa requête habituelle.
- Mais pourquoi ? s'enquit le prisonnier.
- Nous pensons que vous essayez de vous échapper !
- J'ai pas compris ! fit l'un des fêtards.
- C'est parce que c'est une blague de niveau 2 ! Ahahah. C'est carrément trop balaise pour toi ! lui répondit un compère.
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Après l'attaque de leur bivouac par un loup des neiges, un compagnon de Komodo, qui pendant cette attaque était trop imbibé pour toucher la bête, parlait des dangers de l'alcool, en fumant son cigare.
Alors qu'il désossait la carcasse du loup, komodo voulant redonner le sourire à son ami, et peut être au Korrigan des premières neiges, se mit dos au vent, le petit doigt dans le nez, à cloche pied, chuta sur une plaque de verglas, fracassa le verglas à la hache en grommelant, et se remis en position. Puis il cria bien fort, pour couvrir le bruit du vent :
Citation :C'est un nain, à la barbe grisonnante tirant vers le blanc, profitant allègrement des différents plaisirs de la vie depuis son plus jeune âge, qui voyant que sa jeunesse n'est plus qu'un lointain souvenir, que ses amis d'enfance se font de plus en plus rares, s'interroge et demande à un prêtre de Thuri.
"Fraan Braglen, une question me turlupine depuis quelques semaines. Si j'arrête l'alcool, que j'oublie la saveur de mes doux cigares, que je me restreins pendant les banquets pléthoriques et que je cesse de rentrer à pas d'heure, est-ce que je vivrai plus longtemps ?"
Le prêtre lui répond :
"Ça se pourrait bien, il est probable que votre corps apprécie ce geste, que vous viviez bien plus vieux. Mais votre esprit ? En tout cas la vie vous paraîtra plus longue, bien plus longue ..."
Komodo, sur un seul pied, regretta de ne pas être plus près de son tonnelet de bière et du feu de camp. Dans cette position, sa barbe ne parvint pas à esquiver la boule de neige que lui lança son compagnon.
Gal'bar Pied-de-feu
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Citation :HRP : Dans les consignes le texte doit faire 10 lignes maximum plus ou moins 2 lignes : introduction et description comprises ?
HRP: Non, juste la blague en elle-même.
Eloäh qui était dans la forêt depuis un certain moment, ne faisait que penser à l'énigme du Korrigan.
Lorsqu'elle trouva enfin une blague à raconter, elle s'éloigna du groupe avec qui elle était pour ne pas se sentir ridicule en dictant son histoire et c'est alors qu'elle se mis dos au vent, à cloche pied et un doigt dans le nez pour crier son histoire:
Citation :C'est une petite fille elfe qui vit avec ses parents dans un village isolé, et la gamine n'a ni bras ni jambes, juste la tête sur le tronc.
Un beau jour elle se rebelle et elle demande à sa mère comment ça se fait. La mère lui répond bah t'as qu'à prier pour en avoir !
Alors toute la nuit elle prie Fryelund donnez moi des bras,etc etc… et au matin, elle se réveille et elle a des mains, mais collées direct sur les épaules, sans les bras.
Alors elle est toute contente, elle va voir sa mère, qui lui dit cool, manque plus que les jambes maintenant !
Rebelote, toute la nuit la gamine prie Fryelund donnez moi des jambes, etc etc… et au matin, elle se réveille et elle a des pieds, mais collés direct sous les hanches, sans les jambes.
Alors elle est encore plus contente, elle court (comme elle peut) voir sa mère maman c'est génial, je suis presque normale maintenant ! et la mère lui fait super chérie, va montrer ça à ton père !
Le père est en train de couper du bois au fond du jardin, elle court vers lui en gueulant papa, papa, regarde !. Et là il se retourne, et il lui met un espèce d'énorme coup de hache dans la gueule, et il crie en direction de la maison :
Chérie, y a encore des saloperies de taupes dans le jardin !
Elle fini de réciter son histoire et s'empressa de nettoyer son doigt plein de morve avant de reprendre sa route en espérant qu'il ne lui arrive rien de grave de la part du Korrigan.
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