[RP] Mono-Chord
#1
Le claquement de ma porte avertissant Nyne de mon arrivée, elle me souhaita la bienvenue comme à son habitude. Je ne sais toujours pas à quel puits elle va puiser son entrain, toujours pas à sec. À cet heure elle tapote délicatement la grande tapisserie de l'entré. Si seulement elle y portait moins d'attention, s'en débarrasser serait justifier. Je murmure une réponse à me débarrassant de mon couvre-chef et mon manteau. Nyne est les appelle ainsi, ça n'en est pas. Le tissu rêche émet un étouffement, moi un sifflement. Une vieille tentative pour me cacher, échec complet, je me suis affiché. Maintenant je m'en moque, pas de question, soyons simple et économisons.

Je m'affale sur mon fauteuil, les ressorts grincent en épousant mes fesses. J'ai bien fait de prendre le reste de mes meubles en bois massif, ça vieillit mieux. Le temps de reprendre mon souffle, je regarde par la fenêtre. La scène me parvient déformée par le verre, son et image, ça reste calme. Bien sûr le quartier ne l'est pas vraiment, une journée comme les autres c'est reposant. Enfin, tant qu'on sort pas de rôle d'observateur. Nyne vient m'apporté à boire, de l'eau chaude, délicieux. Je lui confie mon mouchoir. L'hiver s'installe.

C'est calme, mais les sermons de Nyne me manque, elle a plus de raison d'en faire, j'ai plus la force de la titiller. Elle a toujours la sienne, je n'en doute pas. Cela me donnait une impression de convivialité, ou de nostalgie. Je suis chez moi, c'est devenu chez moi, je m'y suis installé. J'ai perdu ma maison avant cela. C'est pas le même confort. Il y a le confort, il y a la mort.
Et les proportions changent. Il faudrait changer, autrement.
Il faudrait brûler cette tapisserie. Pour commencer.
La réduire en cendre. Elle ou moi.
Nyne n'aimerait pas.
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#2
Après un copieux repas, une longue succession de soupe, Chord descendit vers son atelier. Doucement car la bataille avec la cuillère d'argent avait été rude. Celles en bois était plus pratique mais Nyne appréciait grandement de faire reluire l'argenterie. Il n'invitait personne et ne pouvait rien couper de plus dur que le beurre tiède, alors deux cuillères par jour il pouvait se le permettre. Ça rallongeait ses repas mais apaisait sa conscience.
Un fois en bas il alluma d'un geste l'âtre. Il s'était tourné vers la magie pour compenser ses bras rabougris. Pas inutile mais drôlement limité. Faire des étincelles ça marchait, en grand nombre aussi, ça résumait la situation. Il aurait voulu soulever les objets, manier deux épées (et quelques dagues aux moments opportun) par la pensée, sans succès. Dans ses tournées pour trouver des professeurs il avait croisé des savants. Divers et variés, certains avaient des idées ou concepts intéressant. Il avait pioché chez plusieurs, échangé et assimilé suffisamment pour se prendre pour l'un deux.
Il avait dorénavant une antre dans laquelle il expérimentait. Là où Nyne ne mettait pas les pieds, là où Nyne renvoyait tous ce dont elle ne voulait pas. Sa machine à découper le pain prenait la poussière sans avoir pu faire ses preuves. En même temps, Nyne mettait des croûtons dans sa soupe, aucune perte. Il avait des projets un peu plus ambitieux que couper le pain. En ce moment il perfectionnait une forge, une forge pleine de poulies, de leviers et de balancier. Où il pourrait créer ses pièces. Pour le moment il déléguer, outre qu'il passait pour un fou, c'était cher et pas souvent différent. Passer pour un fou c'était peut-être inévitable et justifier, par contre l'argent c'était problématique. Dans sa jeunesse il avait travaillé comme apprentis, dans pas mal de lieu, un manque de relationnel avec le client avait justifié la rotation. Il était resté plus de dix mois avec un maréchal ferrant. Il savait qu'il allait galérer, c'était l'histoire de chaque jour et l'espoir de se faciliter la vie à long terme était inaltérable.
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#3
Avec une méticulosité qui l'exaspérait, Chord emboîtait des tubes. La chaleur était étouffante, son souffle s'effacait devant les crépitements de son âtre. Ses multiples essaies ratés étaient en train de chauffer, refondu une fois de plus. Avec ses quelques 'réussite', c'était plutôt des non-échecs, il assemblait un nouveau prototype. Plus complexe que les précédents, sûrement trop ambitieux et surtout très énervant à assembler. Il aurait bien voulu de l'aide, travailler sa patience était toujours utile (et depuis le temps il n'avait toujours une bonne marge de progression) et puis Nyne aurait rien compris à l'intéret de la chose et même si elle pouvait travailler sans se poser de question elle préférait comprendre. Certains sujet lui échappait toujours, ça l'énervait, Chord comprenait et ce n'était pas une possibilité moins fatigante.
Sa dernière réussite lui semblait prometteuse. Il s'était fait, un bras de métal, enfin une prothèse sommaire où il avait glissé sa relique de bras droit. Avec la magie et la chaleur dégagé il avait tenté de dirigé la fourche qui se trouvait au bout. Fourche sur une sphère pivotante. C'était pas vraiment une réussite, la sphère était partie se planter dans le mur en face, il n'avait toujours pas réussit à la délogée. Il toussa, actionna une chaîne pour ouvrir encore les ouverture, mais elles étaient déjà grandes ouvertes. Il allait devoir les agrandir, la pièce n'avait pas été prévu pour une telle activité. Bref, cette fois il comptait utiliser le même principe, avec plus d'aération séquentielle et avec des tubes de taille réduite. Que c'était galère à joindre, en plus les défauts de fabrication se faisait rapidement sentir à cette échelle. Ses successions de tubes devaient pouvoir s'allonger selon la température, des ressorts et câbles devaient les contracter en permanence. Il s'était entraîner pour user de sa magie en trois endroit séparément, sur chaque bras, il espérait pouvoir contrôler la longueurs des tubes. Une fois maîtriser il les relierait et pourrait avoir des mouvement plus complexes que le va et vient, indispensable tout de même. Il savait pas trop comment, mais il avait eu des échos que c'était possible. Il avait une traduction partielle aussi, il lui faudrait peut-être les travaux originaux.
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#4
Réussite mitigé. La maniabilité et la facilité d'ajuster étaient les gros points noir. Le chemin trop court, il manquait de détours et d'observation. Chord travaillait donc maintenant sur un projet séparé mais avec les mêmes principe. Depuis son retours à la pêche aux entrepreneurs il avait un chien en tête. Un chien de métal. Il avait pensé à le forger tel une sculpture. Il serait plutôt le sujet pour ses calibrage. Il pourrait faire le tour, travailler avec ses deux 'mains', plus de liberté de mouvement et de points de vue. Quelques rouages et il avançait, maladroitement, erratique. Un rictus au lèvre, Chord envoyait des flammes sur la bête noir en admirant sa réaction. Il avait rédigeait ses tests régulièrement et sur un autre support ses idées de changements, d'améliorations. C'était actuellement peu sensible, beaucoup de perte apparemment, il fallait beaucoup d'effort, mais avec un assemblage plus précis, des pièces plus petites et des liaisons souples ça devrait être jouable.
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#5
Il s'était détaché, je m'étais détaché. Nous voilà recollé, uni.
Le chien est beau maintenant. Enfin, toujours en métal brute, sombre et peu avenant. Cependant il ses mouvements étaient plus fluide, pas gracieux quand même, reconnaissable sans aucun doute. Il demande beaucoup d'attention, il mange dans la main et n'en s'en jamais loin lors des promenades. Pas d'autonomie, il faut toutes les subtilité d'une main et de ma magie pour le guider.
Je l'ai laissé de coté, il a besoin de plus d'attention pour bien le dresser, mais je m'attaque à mon armure maintenant. Au moins une première version, une première version en métal. D'abord le gros œuvre, ce qui n'est pas trop précis comme pièce. Je me fais encore la main, ou pignon. Quoi qu'il soit, je m'améliore, il est plus sûr, plus efficace, plus fin.
J'ai élargie mon panel magique aussi, non pas pour mieux contrôler mes créations, mais pour soigner, l'expérimentation est dangereuse parfois. Et puis ça inquiétait Nyne. J'ai suivit une séminaire à l'étoile de Nacre, cher mais rentable. Faut dire que les médecins du quoi (ailleurs aussi je crois) se font plaisir et j'ai pas toujours le temps d'aller au temple pour chaque bobo. En plus je vois d'autre perspectives. Si je pouvais redévelopper mes bras ça pourrait me faciliter quelques tâches. Je me suis bien habitué, j'apprécie dans un certain sens mon état actuel et j'ai surtout aucune envie de redevenir comme avant. Il n'empêche que quelques changement me serait bénéfique. Cela va demander un peu de blessures volontaire mais en guidant la guérison plutôt qu'en l'accélérant ça pourrait marcher. C'est comme le travail de forge. Ce n'est ni du fer ni de l'acier, mais ce n'est pas si différent à travailler, j'en suis certain. Il faut les bons outils et la connaissance, je la trouverais, j'ai fais de grand progrès avec le métal, ce n'est pas la chaire qui me tiendra en échec.
Je testerais d'abord sur moi, pas pratique comme d'habitude, je n'ai pas le temps de trouver des sujets, et ils feront trop de bruit, demanderont trop d'attention. Je ferais l'affaire.
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#6
Mon corps est un gros têtu, je le suis aussi, je suis mon chord. J'avais rêvé me donner dans ma jeunesse. Je l'ai peut-être fait une fois ou deux, en petit partie. J'ai donné des morceaux aussi, cela je ne l'avais pas imaginé, j'ai reçu un leçon, quelques autre bricole, ce n'était pas un bon échange, mais c'est la route. C'était des parties plus belles et bien moins utiles que je pensais remettre à une grande dame ou une noble cause, voir même un supérieur vertueux, des choses comme l'âme, l'amour, une fidélité comme décrivent les dictionnaires. C'est plus facile de se séparer d'idée.
N'ayant ni confirmé leur présence ou trouvé de receveur digne, ça ne s'est pas fait et je n'en ai aucun regret. J'ai brisé quelques rêves similaires dans les environs, sans plaisir autre qu'un service rendu. Il en reste beaucoup trop, un jour où ma patience sera en surplus je récupérerais un de ces réceptacle pour vérifier leur cavité et peut être les habiller.
Pour le moment je tue (malheureusement parfois j'approche le sens premier) à refaire mes bras. Ils semblent aimer leur forme atrophiée, difformes et incomplets. J'avance et recule, je les étoffe, ils rejettent mes ajouts, les retournent ou les déplace. C'est plus compliqué que prévu. Je n'attendais aucune simplicité et ce casse-tête (casque maintenant j'ai fini mon armure, elle est noir, sinon elle correspond pas trop à mon idée mais elle fonctionne) me ravi, ça fait aussi beaucoup de plaie et j'aime moins. J'ai une bonne idée de la structure des mes bras dorénavant, me manque quelques liens et raccords internes, proche des artères, ça prend du temps à soigner, il me faut de longues pauses.
J'ai eu le temps d'expérimenter l'ajout de membre en attendant, pas sur moi puisque je suis régulièrement en repos, il me faut quand même une occupation et bien que fournis, mon jardin est petit. Mes déchets lui font un bien fou. C'est surtout des chiens, des chiots à vrai dire. Pour finir celui de métal j'ai prit un original pour l'observer, une fois fini je lui trouvé une nouvelle utilisation. Je me suis contenter de membre de simple, une ou deux articulations (un peu plus dernièrement), pas d'organes, et puis un peu d'habillage. Le decorum c'est important. Les ailes sont un grand échec, vu l'ampleur qu'il faudrait pour être efficace, je n'ai pas la place. Le plus laborieux a été de cartographier les muscles, les nerfs, tendons ... très utile pour approfondir les bases des cours que j'avais suivit à l'Étoile de Nacre, la différence homme-canin n'est pas très élevée à ce niveau là, sans surprise. Il faut d'ailleurs que je leur envoie encore des correctif, ils n'ont vraiment pas poussé leurs études ou n'en ont pas fait depuis des lustres, ou sont frileux (cependant je le remercierais jamais assez de m'avoir indiquer les cordes vocales, une fois sectionnée le travail est beaucoup plus agréable). Bref, une fois que je savais qu'est quelle forme je voulais donner et d'où aller venir le nécessaire chez le sujet, il n'y a plus qu'à faire preuve de patience et de douceur. La délicatesse est importante car l'ajout et le développement d'un nouveau membre impose un constant étant d'épuisement et de faiblesse. Vu mes appendices plutôt endommagé j'en manque cruellement, les chiots étant un matériel plus propice à ce genre d'opération je les ai préféré. Ils prennent moins de place aussi, c'est un point qui m'est cher si je veux avoir un maximum de variations sur lesquels travailler.
Je me suis remis à chanter, Nyne n'était un peu agitée ces dernier temps, ça l'aide à se détendre, c'est flagrant. Les chiots aussi étrangement, enfin, les restes de leur prédécesseurs m'aide à faire pousser quelques plantes qui vont dans ce sens aussi. Ils ont une tendance à s'agiter en permanence.
Le plus important reste néanmoins la nouvelle approche pour mes membres. Inspirée par la réaction de rejets, ou quasi-rejets. Mon prototype était d'un fonctionnement simple, qui reprenait le fonctionnement macroscopique du bras. Clairement sous la peau se passe d'autre action qu'un simple pliage. Je ne pense pas pouvoir recréer une aussi grande richesse et complexité, toutefois des mécanismes plus subtiles et petits, recouvert d'une sorte de maillage ou d'écailles articulées plutôt que de quelques plaques devrait rendre le mouvement plus souple et élégant. Je m'égare, je n'espère pas danser à nouveau, uniquement de limiter la vitesse avec laquelle mes bras tombent. Je devrais pouvoir trouver un fonctionnement où les attaches cyclent entre rejet et insertion, maintenir la dynamique et le l'intégrité. Il me faut donc encore affiner la qualité de mon travaille de forge. Je m'entraine parfois avec des bijoux, ça fait une heureuse. Nyne a bien aimé le sertissage, c'est très pratique, ça évite des soudures, simplifie ou solidifie certains assemblages.
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#7
J'ai trouvé un vieux grimoire. Pas de magie, ou presque, beaucoup d'étude sur la chaleur. La lecture était très intéressante, j'ai tout de suite accroché au style, et aux idées, il manque régulièrement des mots, voir des bouts de phrases, voir deux bouts de phrases distinctes dans la même phrase. Enfin, ça me rappel un peu les retour que je reçois de l'Étoile de Nacre quand je leur envoie des correctifs ou des essais qui devraient les intéresser. Toujours sans réponse. L'auteur n'est cité nul par malgré son génie, un certain Pvnrt, je pense qu'il manque des lettres, de nombreuses pages étaient endommagées, en plus d'être âgées.
J'ai donc de nouvelles méthodes plus sophistiquées pour agir avec la magie. Différents câbles aux dilatations maitrisées, des leviers sous pression, de solides ballons aux volumes changeant pour écarter, écraser, soulever ... Je réaménage donc mon installation et suis en train d'étudier les murs aux alentours. C'est comme les corps, j'aurais du commencer par ça, c'est un peu plus simple. Je vais les faire tomber pour agrandir mon atelier, je manque réellement de place. Les voisins sont partis de toute manière, il faudra que je finalise l'achat, le quartier ne leur plaisait plus, il n'a pourtant jamais été très plaisant. Les gens changent.
J'ai enterré les derniers chiots. J'ai finalement eu des spécimens finis et viables, enfin vivant, je suis certains que la plus part était viable même s'ils sont meurt prématurément. L'environnement n'était pas adapté pour leur développement et j'avais quelques lacunes concernant leur alimentation. Je termine donc sur un succès, je n'ai pas terminé l'étape d'apprentissage de l'usage de ces nouveaux membres, c'est bien moins intuitif et la barrière de la langue est quand même un sacré fossé. Et, au risque de me répéter, il faut de l'espace. Sans compter que j'ai eu l'étrange idée d'ajouter à deux sujet des lames au bout des rajouts, ainsi qu'un mini-fléau, ça fait pas mal de pertes matériel ou d'homologue. A suivre.
Vu que je compte agrandir la forge, le nombre de pièces sur lesquels travailler simultanément, au moins pour le gros oeuvre pour gagner du temps, je cherches des mesures contre le bruit. Ma voix ne fait pas l'affaire, j'essaye donc de faire des musicien de fonte, leur manque d'oreille empire la situation pour le moment. Une chance qu'acchordé ne m'a jamais dérangé.
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#8
Y a toujours des faiblesses cachée. Mes voisins on bien fait de partir leur bâtiment était mal conçu, ils jouaient avec le feu. Mon espace de travail commence à avoir de l'allure, je n'y tient pas particulièrement mais c'est plaisant. Il y a de la place, surtout de la hauteur vu que les planchers se sont effondrés. Heureusement que Nyne était partie faire les course, elle aurait eut peur, rien de plus car ma maison n'a rien, bien construite pour le coup. Beaucoup de bruit mais les murs ont tenu, vider les gravats a prit un peu de temps.
Suffisamment pour que je puisse finaliser mes musiciens, ça met de l'ambiance, toujours la même, ils ont un air chacun, j'arrive à introduire quelques variations Pas beaucoup plus, si je veux qu'ils gardent leur forme, c'est problématique vu la place qu'ils prennent et leur poids. On m'a conseillé de les vendre, j'espère éviter, ça prendrait du temps et je ne veux pas vraiment introduire de nouvelles contraintes dans mon emploi du temps, ni dans mes relations. Je laisse quand même Nyne vendre les fleurs -si je n'abuse elle vend aussi des bijoux- qui abondent dans mon jardins, j'en envoie de temps en autre aux Belroza (avec un nom pareil ça doit leur plaire) et ça en laisse beaucoup d'inutilisées. Sans ça j'en aurais plein chez moi et puis je ne peux nier que j'ai augmenté mes dépenses dernièrement.
Et ce n'est pas uniquement les verroteries que j'ai dû fabriquer pour habiller mes musiciens. Le sombre uniforme de la fonte m'allait très bien, on m'a quand même fait comprendre que ça rendait l'atmosphère pesant, je n'avais pourtant pas prit des morceaux triste. Bon entrainement pour le sertissage et la confection de détails. J'ai pu réaliser sans trop de difficulté un premier prototype des écailles articulées. J'ai quelques pistes pour solidifier l'agencement grâce à une correspondance avec un regroupement d'alchimistes. Il me faut aussi peaufiner le design des écailles pour qu'elles puissent se chevaucher ou coulisser sans trop d'accros. Je n'ai pas trouvé beaucoup de travaux dans se sens, je vais voir du coté des artistes, y a un spécialistes des carreaux évolutif qui a l'air d'avoir de bonnes idées, à voir si c'est récupérable.
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#9
Il y a des moments où deux yeux c'est limitant. Je suis ravi par ma nouvelle forge, la hauteur sous plafond est très agréable, très pratique aussi pour toutes les cheminées, mes établis sont plus nombreux et mieux agencés, l'efficience est au rendez-vous. J'avais oublié le coup de la vision, c'est dommage car j'ai du revoir le programme de fabrication. Avec un système de cloches à ventouses et pas mal d'entrainement je peux travailler sur de pas mal de pièce simultanément, par contre je n'arrive pas vérifier la qualité en même temps, parfois même à viser.
Ce dernier points à pu être vite régler en installant un support et quelques leviers et autre tiges encastrées pour limiter les mouvements des outils. Ne voulant pas réduire la qualité des mes création j'ai du réduire la complexité, plus long à mettre en place, je pense que sur le long terme c'était le bon choix, j'ai accéleré les études c'était pas palpitant. Morceler les pièces était une chose, réduire le nombre de modèle en était une autre, une chose plutôt ardu. J'ai passé du temps, pas mal - je ne saurais dire combien - à revoir la conception. C'était plus intéressant et cela éviter de régulièrement changer les installations selon le type de pièce. J'ai de la place mais quand même. Il faut avouer aussi que la modularité à du bon. Sans compter que même avec mon calibrage et mes supports il me faut apprendre un rythme à chaque fois. C'est pas vraiment un rythme, je simplifie et ainsi c'est plus facile à maintenir sur la durée. Il me suffit uniquement de changer l'intensité des flammes que je créé sous chaque cloches.
J'arrive à maintenir les rythmes sans trop d'effort ou de concentration, une fois bien installé. Avec quelques pailles et cuves devant moi pleines de jus ou de soupe je peux tenir assez longtemps. Nyne a mit un peu plus de temps que moi à s'habituer. Les premières fois dans ma somnolence je me suis pas rendu compte que l'aération était insuffisante, d'où ma mention de cheminée plus tôt. Y a des cheminée d'évacuation et d'apport d'air frais. Nyne a insisté pour que le moulin que j'ai du faire installer puisse aussi moudre, tous le monde y gagne, j'ai même récupéré la pierre prévu à cet effet dans le jardin mal entretenu de mon voisin. Je me demande de quand elle date, je ne vais plus trop parcourir les bibliothèques, mais il me semble que ça fait un moment qu'on n'avait plus de moulin dans le quartier.
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#10
Un voyageur est passé à Yris il y a peu, il revenait des Royaumes du Nord, enfin il n'avait pas poussé jusqu'à Björnhill. Néanmoins mon intérêt m'a poussé à aller le rencontrer, l'envie de sortir de mon atelier pendant un étape fort rébarbative aussi. Ça valait le coup, et même la vinasse, il avait réussit à côtoyer des nains avant d'essayer des les voler. Il avait perdu une jambe et sa bonne humeur, s'il en possédait, ainsi que quelques morceaux si j'ai bien compris. Les armes à poudre l'avait beaucoup marqué, il faut avoué que c'est ingénieux, mais n'avait aucune idée de la fabrication de la poudre. Je ne sais pas trop comment réutiliser cela. Je fais quelques tests avec d'autre élément mais il n'y a pas la même énergie au départ. Après quelques litre écœurant il a pu me parler d'autre chose, ça l'intéressait nettement moins mais il voulait seulement de l'attention. J'ai pu récupérer quelques idées, notamment avec leur engrenages, j'ai saisi grossièrement le concept pour engranger l'inertie. J'ai tout de suite utilisé après avoir un peu perfectionné mon intuition pour réaménager une fois de plus quelques partie de mon installation. C'était barbant les longues plages de travail somnolant. J'ai changé la dynamique de la journée et j'en suis plutôt satisfait. Mettre en route le matin est plus fatiguant, en contrepartie j'ai l'esprit plus libre après, c'est moins éreintant mentalement sur la journée, ou plus vivifiant. Et je peux retourner prendre des repas.
J'ai installé aussi un système similaire pour le moulin, dans la jolie maison du voisin de mon voisin. Je n'ai pas saisie pourquoi ils l'ont laissé, c'est un peu dommage d'en faire un moulin, du coup j'ai essayé de faire les choses bien. J'ai compris par contre l'extension du moulin, Nyne a embauché un meunier veuf avec lequel elle s'entend très bien. Je n'avais pas prévu ce succès local d'une pierre à moudre, enfin maintenant il y en huit, si ça apporte le bonheur Nyne je vais pas m'en plaindre, même si elle délaisse un peu la poussière de ma demeure (c'est elle qui le remarque).
Le meunier est sympathique, même s'il a trouvé le bruit des mes rouages un peu trop régulier, il est venu s'installer pas loin avec ses gamins. Je les utilisé pour la maintenance, ils s'ennuyaient. J'ai essayé de les initié à la magie pour augmenter leur rendement, peine perdu. Déception car j'avais aussi projet de leur ajouter quelques bras ou yeux, vu comment ils se débrouillent avec leurs actuels ça l'annoncé rien de bon. Vivement qu'ils se reproduise pour que je récupère des petits, ça apprend mieux quand c'est neuf.
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#11
Le meunier est passé pour me demander des conseils, ou quelque chose de ce genre, sur les bijoux, il a disparu. J'espère qu'il n'est pas tombé dans une machine, c'est sensible ces bêtes là.
Faudrait peut-être que je remplace Nyne vu qu'elle a des projets à elles, enfin j'imagine que c'est ça. J'ai évoqué l'idée mais elle n'a pas aimé. Son attention est plaisante mais je voudrais pas l'accaparer. Enfin, la balle est dans son camp. En parlant de balle j'ai repensé aux armes naines, elles ont un charme indéniable et à défaut de poudre je pourrais utiliser, soyons original, de la magie. Pas du feu pour le coup, y en a pas besoin de beaucoup et les explosions c'est quand même très consommateur. Je pensais plus aux cours des classes avancé à l'Étoile de Nacre. Jusqu'à présent ces pompeux chapitres sur la lumière ça m'avait semblé simplement tape-à-l'œil. Peut-être pas que. Cela m'est venu avec une remarque -stupide- sur la brillance des métaux, je pourrais transporter la lumière à l'intérieur de ma carapace et utiliser le système de "canon" des nains pour augmenter l'efficacité. Avec des miroirs évidement, y a des la place pour sertir des petits bouts sur la face intérieur de mes écailles, voir même de quoi installer une inclinaison. Travaille relativement similaire à la verroterie que j'ai du installer sur les musiciens.
Il faudrait pas que ça rajoute trop de poids par contre, j'ai tester un bras et il est clairement trop lourd pour mon épaule. Elle est généralement pas trop sollicitée, j'ai quand même peur que mes exercices ne suffisent pas. Je pense donc installer des contre-poids sur les épaules, tant que j'y suis il serviront aussi à donner de la puissance au bras, ça sert toujours, quelques rouages ça n'a jamais fais de mal, sauf quand on tombe au milieu. En le prolongeant le long du dos je pourrais répartir au mieux la force et être moins limité en complexité de mécanisme.
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#12
Le réseaux de miroirs interne n'est pas une mince affaire. C'est néanmoins un problème stimulant. Le reste de mes problèmes sont lié à la résistance. Je pense qu'il me faudrait un métal plus solide, ou un alliage, chose que je n'ai pas trop abordé jusqu'à présent. Erreur de ma part, je n'aurais pas du faire l'impasse et mettre toute ma confiance dans le premier metal venu. J'ai commencé à travailler quelques forgerons pour récupérer leurs recettes et méthode, ça risque de prendre du temps, ils ont la tête aussi dur que leur enclume. Je me souvient avoir parlé avec un architecte il y a un moment, pendant ma période de Chord-founding pour construire je ne sais quel bâtiment faramineux. Il m'avait baratiné longuement pour son projet et dans ses flux de paroles il avait mentionné sa sélection des matériaux selon les pièces, selon la force qu'ils subissent et leur utilisation (si besoin d'élasticité par exemple). Peut être que des métaux enchantés pourraient décuplé cette approche.
Je vais peut être aussi rajouter des plaques par-dessus les écailles pour plus de protection et réduire les chocs. J'ai fait des tests de résistance et le seuil est honorable. Je préfère avoir une sécurité supplémentaire en cas de rencontre avec des brutes, y en a toujours qui rodent. Et puis en cas de combats (ou simplement de coups) prolongés ça peut être utile aussi. En même temps j'ai pas trop envie d'aller me faire frapper. Hum, peut-être essayer de faire un aspect un peu intimidant.
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#13
J'ai vendu un musicien, sans service après vente, en prenant soin de montrer comment il était possible de le régler. C'était mesquin, mais j'ai pu en tirer un meilleur prix et s'il est vraiment très attentif et soigneux il arrivera à quelque chose, sinon il achèvera ma création qui ne lui était pas destiné. Je ne voulais pas le faire, je ne voulais pas non plus rater ce gros stock de métal dont j'ai besoin. J'aurais préféré vendre le moulin, ou le louer, si Nyne ne s'y était pas autant attachée. Bonne idée d'avoir fait une aussi grande installation, je passe inaperçu, le bruit de mon atelier surtout. J'avoue que j'ai changé quelques pièces dernièrement, des essais pour augmenter la solidité, pour accroitre un peu le ronronnement des machines. J'ai même fait attention d'introduire quelques irrégularités pour le meunier. Sujet palpitant par ailleurs, je me suis arrêté quand j'ai épuisé mes réserves avant le nouvel arrivage. J'avais encore pas mal d'idées.
Je regrette l'absence de Médénite sur le marché. J'ai rencontré un elfe dans une cave, un grotte plutôt, par redirections décousus lors de errances, qui me l'a conseillé, toutes les qualités que je cherchais. Il avait par ailleurs d'autre choses intéressantes à me dire, enfin j'en voulais pas tant. Enfin, pour quelqu'un qui installe autant de piège dans ses couloirs il a quand même des progrès à faire en mécanique. Pas le temps de l'aider, en plus je pense pas qu'il plaise à Nyne, ni qu'il veuille quitter son antre et je ne donne pas de cours à domicile. Pas encore d'exception.
Je assez fier de mes écailles-miroirs. J'ai un peu de perte de lumière quand même, tout n'est pas réfléchis à l'intérieur, une partie s'échappe, ce qui donne un coté brillant à l'écaille. Je pourrais faire un recouvrement décoratif, la simplicité c'est pas mal non plus, ce n'est pas si mal ainsi. J'ai acquis de bon réflexes quand à leur assemblage, la modularité à vraiment du bon. Aucune forme de maillage ne me pause soucis, j'arrive à le rétracter, le réorganiser, lui faire changer de forme, changer la rigidité, à faire sortir ou entrer des pièces spécifiques. Bon, pour le moment c'est pas très rapide, il faut que je mémorise et maitrise les mouvements à produire, puis à optimiser un peu la procédure.
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#14
J'ai un peu dévié de ma trajectoire. En essayant de donner un aspect un peu terrifiant à ma nouvelle armure, oui, ça sera une armure complète, juste des bras ça n'est pas pratique, tant mieux agrandi ma garde-plaque, je me suis mit en tête de faire un tête de lion. Après avoir observé des sculpture et récupéré de nombreux croquis, quelques peinture aussi mais de mauvaise qualité, je me suis mit au travail. Je ne sais pas d'où sort cette créature mais personne n'en a jamais vu j'ai l'impression, comme tout est très bien documenté ce n'est pas un soucis. La tête ne m'a pas posé trop de problème, même pour qu'elle ouvre la gueule pour que je puisse manger. Je pense que ce serait plus pratique d'avoir une réserve de nourriture à l'intérieur. J'ai même mit quelques morceaux de verre teintés pour pouvoir colorer les yeux de rouge. La crinière était plus compliqué, surtout qu'avec mes écailles je pouvais tout à fait la faire frémir, onduler même, ça a prit pas mal d'essais, j'ai trouvé un ou deux manière. J'étais en train de forger quelques pièces pour pouvoir faire sortir des têtes de serpents (j'avais rien qui ressemblait à des têtes de serpents) pour les plus courageux, quand en regardant le résultat incomplet, je me suis aperçu que c'était un peu trop grand. Outre le fait que le reste du corps, pour des soucis de portance et de proportion devrait être vraiment conséquent, rien que la tête ne pouvait actuellement pas sortir de mon atelier. J'ai tout démonté, ravi que mon système soit si bien pensé, j'ai presque rien perdu comme matériaux.
J'ai revu la taille nécessaire, pas trop grand, pas trop petit non plus hein, prévu de quoi sortir quand elle sera terminée. Et j'ai recommencé. Pour éviter un erreur similaire j'ai commencé par l'ossature, que j'habillerais au fur et à mesure. Il n'est pas nécessaire mais ça permet de séparer la protection avec mon système d'aide au déplacement, ce que les armures n'ont généralement pas. Dans les faits j'essaye de lier les deux, je ne peux pas me passer de châssis, pour le moment.
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#15
J'ai eu vent d'un nobliau fort malade, apparemment simplement inerte même si encore en vie. Cela me semblait une bonne occasion pour me changer les idées et aider ces messieurs de l'Étoile de Nacre qui manque de références. J'ai cru comprendre que c'était un des gars avec qui j'avais deviser pour un financement de projet, non abouti. Je me suis donc pointé en bas de chez lui, même en étant soigneur diplômé et avoir bu un coup avec lui ne m'a permit de franchir le seuil. Je pense que c'est à partir du moment où j'ai précisé quand je disais 'être prêt à fouiller les tréfonds de son corps pour trouver son âme' de manière littérale mon argumentation était vaine. Dommage car j'avais affuté et stérilisé tous mes outils pour ce genre d'opération, enfin d'exploration.
Dommage, un peu, car en rentrant j'avais l'esprit à me pencher plus en détails sur les armes. Je pense qu'avec mon armure c'est indéniable qu'il en faut au moins une paire assorties. J'ai éliminé la hache, une lame sans fourreau ça me rassure pas, c'est dangereux et un accident est si vite arrivé. Je pensais donc à une épée ou une masse, peut-être à 'deux-mains', dans tous les cas il me faut augmenter leur taille par rapport à celles qu'on trouve dans le commerce, je voudrais pas avoir une silhouette ridicule. La masse c'est plutôt simple, un seul morceau, je vois pas d'autre moyen pour conserver l'essence de l'objet, c'est pas très élégant et une petite touche ne ferais pas de mal. Du coup je considère sérieusement l'épée, en plus y a moyen de la faire rétractable. J'ai réussit pour des petits lames sur les jambes et les bras, contre les bestioles qui mordent je me suis dit que ça pourrait servir, enfin je ne sais pas si je les garderais. Si j'arrive à avoir plus de puissance au déploiement je pourrais tenter une lance, toutefois une lance pour les fantassin, je ne devrais malheureusement pas pouvoir atteindre une vitesse de cavalier, c'est pas toujours terrible. Enfin, c'est mon impression j'ai éviter la conscription pour invalidité, je dois avoir quelques lacunes de ce coté.
J'aurais toujours la magie, enfin celle qui use la lumière, grâce à mon réseau de miroirs je peux rediriger mes sorts facilement hors de l'armure, les boules de feu et autre c'est plus compliqué pour éviter les nombreuses épaisseurs, et puis ça alter mon contrôle sur les mouvements. Je pense qu'il y a moyen d'altérer mes sorts lumineux selon la positions miroirs et du chemins que je peux leur faire emprunter, beaucoup plus de possibilité qu'en tant normal. Mes premiers essais n'ont pas été fructueux, j'ai essayé de changer le diamètre, la longueur du tube de sortie, je devrais peut-être faire une bulle pour condenser avant d'expulser par le tube. Enfin ça peut attendre.
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#16
Après quelques agrandissement involontaire de mon atelier, bien aéré maintenant, j'ai décidé de conduire mes tests en extérieur. Nyne me dit depuis un moment que je devrait prendre l'air. Je dois avouer que n'ayant plus de raison de sortir et pas mal de travail à fournir j'ai pas vraiment mit les pieds dehors. Le dehors est venu à moi par mégarde, un petit peu, il est assez réservé, comme ma prudence. Pour éviter les trajets, même si la route est entretenue et le temps dégagé en cette saison, je préfère limiter mes excursion avec mon prototype. Les voyages en carriole ne lui font pas beaucoup de bien. L'avantage c'est qu'après le premier essais qui n'en fut pas un car il n'était plus entier arrivé à destination, j'ai grandement augmenté l'unité de ma multitude de petites pièces. Je n'avais pas prévu autant des sollicitations aussi variées.
J'ai quand même prit plus de précaution, même si ça m'a couté deux bœuf en plus, les chaînes j'en avais. J'ai fait peur à quelques passants avec le bruit, je pense qu'avec un automate musicien allégé ça irait mieux. L'histoire du moulin m'a été extrêmement bénéfique, comme souvent avec Nyne. J'avoue toutefois ne pas encore voir d'intérêt à ce que je dine avec elle, le meunier et ses enfants aussi régulièrement, ou régulièrement ou dîne simplement. Surtout quand elle me fait abandonner la confection d'un automate cuisinier. Je l'ai juste changé de place et me fait en permanence une vague soupe. Je connais pas le noms des plats, j'ai juste à remplir d'ingrédient qui son découpé et mit à mijoter. Y a quelques combinaisons à éviter quand même, du coup je me renseigne, Nyne apprécie, j'espère qu'elle découvrit pas le pot aux rose, ou au feu dans mon cas.
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#17
Après des résultat très satisfaisants je retournait flasque chez moi. L'armure avait tenu, longtemps, aucun problème critique de repéré, il ne manquait plus rien. A part les deux mignonnes, les deux jolies cornes et un peu de rembourrage. Les touches finales quoi. J'ai quand même abandonné l'arme, c'est lourd et pas pratique. L'armure ne fait qu'un avec moi et tant que je suis dedans tout roule, mais manier une épée ou un marteau ça déséquilibre et j'ai pas autant de contrôle que je le voudrais dessus. Les gantelets sont assez solides (le but premier de l'armure quand même) pour donner des coups avec, ça fera l'affaire, si jamais j'ai besoin de frapper. Marcher étant fatiguant je pense que je vais quand même limiter mes déplacement une fois dedans, ou alors prévoir un module d'assistance pour.
Petit soucis à être lumineux c'est que le reflet est pénible, face à n'importe quel métal poli, surface d'eau calme ou morceau de verre. Un petit traitement et ça ira. Je suis étonné de ma découverte, moi qui pensait que mes professeurs étaient orgueilleux et narcissique, ils doivent avoir une parade contre les miroirs.
Bref, quelques jours d'entretien et je pourrais aller sur le terrain.
J'ai faim, ça faisait longtemps.
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