foutus orcs des montagnes

[Aioros]

Alors que la guérilla allait commencer avec l'arrière garde de la horde sauvage qui pillait la plaine bordant la foret, Aioros récitait sempiternellement ses aletherialles, il en était au verset 32, lorsque il aperçu au loin les fumées d'une activité qu'il ne connaissait que trop. le rut des orcs mâle allait recommencer et Aioros savait qu'il fallait se méfier.

Il pris bien soin de passer au ras de la tour des mages afin de ne pas attirer l'attention.

Cependant il fut distrait par un énorme amoncèlement de victuailles qu'en temps normal il aurait pris soins d'en remplir ses besaces. Car pour votre information et afin que vous soyez au fait des faits ayant eût effet et concernant ses effets, Aioros possédait plusieurs besaces.

Cet instant de distraction ne resta pas impuni car un gobelin sur de lui et suffisamment téméraire se jeta sous ses sabots, ne réussissant qu'a se rendre ridicule mais fut néanmoins suffisamment bruyant pour nuire à la fois à la quiétude de la plaine, qu'Aioros appréciait pour ce qu'elle était : un calme avant la tempête ; mais malheureusement aussi à sa discrétion naturelle qui le rendait invisible aux oreilles de l'ennemi.




(hrp : cette foutue attaque d'gobelin va me rendre visible au prochain tour.

préparez vous à élargir le front ....)


ps : Je charge vers l'est depuis la tour es mage demain.

[Aioros]

De mal en pi...



Cerné par l'ennemi,
Aioros galoperait vers le nord dès que faire se peu.

[Aioros]

voila comment meurent les idiots

[Aioros]

se réveillant dans la taverne ou l'on aimait le soigner, Aioros fut surprit de voir ces lieux familiers emplis d'Elfes des bois à l'air aventureux.

Les quatre elfes semblait attendre que quelque-chose arrive mais quoi ?

Aioros resta un moment attablé afin d'écouter leurs discussions.

[Almeria]

[Aioros]

Sortant sérieusement aviné de la taverne, Aioros avait l'air de se dépêcher lorsqu'il routait sur les chemins d'Enta,face aux brouillards sombres des fumées noires souillant la plaine au loin, Aioros, par cette soirée sans fin prit cœur à purifier son corps.

Il se dénuda et entreprit de marcher droit malgré le litron finalement vomitif qu'il avait ingurgité.



Et là, soudain, alors qu'il récitait ses prières intérieures, alors même qu'il avait dépassé la Pieuse Yslaine, la Sainte Yslaine, celle qui fit voeux d'immobilisme il y a de si nombreuses lunes que son arme à commencé à rouiller, que ses sabots sont embourbés dans son propre crottin ! (bref), quasi à miche main d'Enta,face à face avec lui, nez à nez si vous voulez une image




Celle d'Alméria, au milieu d'un combat.



Alméria ! tu m'entend ?

Elle fit signe que oui très bien merci de ne pas crier si fort
D'un geste elle lui expliqua qu'il fallait qu'il continue de prier comme ça tout nus au milieux de la foret pour qu'elle puisse, grâce à la volonté de la Lune, lire en lui comme dans un ivre livre, et savoir de quoi il retournai parce qu'elle n'avait pas que ça à faire en ce moment avec la guerre et tout et tout.

Du coup c'est ce qu'il fit, et il pria si bien parait-il que certains ailleurs aussi purent lire en lui comme dans un livre. Enfin presque.

[Aioros]

Alméria fit ce qu'elle devait faire et nul doute qu'elle aurait besoin de ses compagnons pour la suite.
Aioros profita de sa guérison toute proche pour se rapprocher du front (de la guerre bien entendu)
Ainsi se termine ce récit.

(la suite bientôt ?)