La plage
#1
Les étoiles scintillaient par dessus la Forêt et la lune pleine apportait toute la lumière nécessaire à la petite réunion. Findanel distribuait les fleurs de mana qu'elle préparait avec soin, presque religieusement même. Papy Hoerelle essayait de comprendre une discussion que tenait les filles à propos du capitaine de la Garde. Cundonya aidait Nygael à préparer ses flèches.

Il me manquait que Attonoro, qui en maître de cérémonie, se faisait attendre. Le lourd pas de l'ours se fit entendre et tous arrêtèrent leurs activités. Se regroupant autour du druide, ils attendirent qu'il prenne la parole.

Delfas et Lenia, ce soir je vous parlerait d'un aspect rarement évoqué d'Halista. En effet, elle n'est pas seulement incarnée dans la Forêt mais plutôt dans tous les types d'environnement, comprenez bien, dans tous les types que nous offre la Nature. Ce n'est pas parce que la faune n'est pas luxuriante dans le désert, et encore... pour y être allé, je sais qu'il y a des zones où elle l'est, elle est tout de même présente, seulement elle n'a pas la même forme. Enfin bref passons, nous ne parlons pas de ça ce soir.

Je voulais vous conter ce soir l'endroit magique où vont dormir les deux sœurs jumelles que sont Loreline et Sorline, il s'agit de…


Attonoro savait toujours tenir en haleine ses spectateurs et aimait bien les faire participer, comme des enfants en fait.

La mer, dis avec précipitation Nandaro

En effet, il s'agir d'un endroit merveilleux et étrange, calme et violent, plein de réconfort et de tristesse. C'est un monde de surface mais aussi d'intérieur qui est encore plus vaste que ce que vous verrez pendant votre vie…

J'ai toujours rêvé de voir la mer
, dis Eldalote avec une voie lointaine comme si elle y était déjà.

Moi aussi, renchéri Neuronette. Il paraît qu'il fait toujours bon au bord de la plage face à l'île des mystère.

Une pile de stère ? Qu'est-ce le bois vient faire dans cette histoire ? On va construire un bateau ?, demanda papy Hoerelle qui n'entendait rien.

Oh oui !, cria Findanel. Si on allait barboter dans l'eau et construire notre propre bateau pour voguer au grès du vent.


C'est à partir de ce moment précis que Cundonya commença à regretter cette soirée. Tout le monde s'emporta vers cette idée complètement farfelue et stupide. Il avait beau leur expliquer qu'ils étaient des Sylvains et non des marins, rien n'y fit. Il leur présenta les dangers du voyage, notamment de traverser le territoire des hélions et des hommes bêtes, ils trouvèrent l'aventure encore plus palpitante.

Au bout d'un moment, il décida d'aller se coucher. Car les Elfes sont comme les papillons de nuit, ils s'agitent le soir et au petit matin ils ont tout oublié. Surement les effets des fleurs de mana.

Mais lorsqu'il se leva, le guerrier eu une très mauvaise surprise. Toute la Guilde était prête à partir. Ils avaient soigneusement préparer les affaires et n'attendaient plus que le « râleur de service ». Devant la décision unanime de 8 membres sur 9, il n'avait pas le choix et se mirent en route vers la mer.

La chef expliqua clairement les buts

Notre voyage a pour but de tester une expérience de nos phytomanciens sur les grands fleuves qui traversent Ecridel, Sorline et Loreline, afin d'en savoir un peu plus sur les influences des "particules" magiques sur la vie dans ces fleuves. Malheureusement cette expérience ne pouvait être faite qu'en zone d'estuaire, là où l'eau douce réagi avec l'eau de mer.

Nous avons un plan de voyage, à savoirs qu'il faut passer par une zone très fréquenté par les Homme-bêtes et Hélions, la route entre Babylios et Jada. Que tout le mode soit sur le qui-vive mais pas de bêtise. Allez en route !




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Le bordel, le chaos, la guerre, la défaite, la mort. Et pas une seule fois l'ombre de cette putain de flotte qu'on appelle mer ou de putain de sable qu'on appelle plage.

Au paravent nos éclaireurs nous ont permis d'éviter les emmerdes mais arrivé au croisement des routes des autres races, nos éclaireurs nous ont averti d'une petite concentration d'homme-bêtes, de la même guilde qui plus est, et de quelques hélions tout au tour de nous. Certain de notre Guilde ont alors perdu leur sang froid et décidèrent de tirer par prévention. Je sais pas si c'était pas la meilleure façon de réagir mais voilà, ça c'est passé comme ça et on ne peut rien y changer.

Aujourd'hui, je me retrouve seul, entouré d'ennemis qui veulent ma peau, même ma capture ne les intéresse pas, ils ont soif de vendeance et de sang. Ma Famille est tombé au combat, la Guilde a été dispersée à coup de sortilèges et d'épée. De trop nombreux compagnons ont été défaits et seul l'avenir nous dira si Entha ne tombera pas aux mains ennemis.


Non, décidément les Sylvains ne feront pas de bons marins.


HRP : je tiens à préciser que cette idée d'aller à la mer vient de moi, mais mon perso m'en veut encore....
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#2
Un petit tour à Jada et s'en va. Ainsi était devenu la vie du groupe : nos villes natales ne sonnaient qu'avec la notion de brèves escales. La belle aventure, celle qui nous fait découvrir ce qui se cache derrière l'arbre, celle qui nous fait prendre conscience des dangers de ces poussières de cailloux, recouvrant presque toute végétation, ce sable s'insinuant dans les poils et nous grattant. La belle aventure, celle qui nous fait rencontrer d'autres groupes de fiers guerriers, ou de lâches "associés", celle qui nous fait découvrir les richesses semées à chaque endroit de la carte, matérielles ou vivantes.

L'aventure, c'est surtout celle qui répond à l'appel de nos instincts. Et un fois sorti de Jada, ce dernier nous avait mené au bon endroit. Une lutte avait été engagée, le sang avait déjà coulé, et les brancards avaient déjà circulé.
Au clair de la plaine, centaures & sylvains avaient mis à mal un groupe d'aventuriers, improvisés. Des solitaires rassemblés sous une cause commune, regroupés derrière la bannière de l'espoir et de la gloire. La lutte durait depuis quelques jours, de brèves escarmouches de chaque côté, des positions qui fluctuaient au vent et aux épées. Une véritable guerre des tranchées, où quand l'un reculait, ce n'était que pour revenir prendre position le lendemain.

Guérilla peu attractive, une chasse ou chacun était à la fois chasseurs, chassés et victimes, ou chaque position donnée n'était valable qu'un bref instant. Contexte mauvais, peu propice à une bonne arrivée. Nous étions en marche, au delà de la forêt, par delà la rivière. La vaste plaine, ouverte, mais modelée par les combats qui s'y tenaient, pour permettre à chacun de tenir (ou pas) une position, pour se barricader, se camoufler, disparaitre.
L'oiseau qui volait trop loin ne vit rien, malgré le regard perçant de sa métamorphose. Il fila droit dans les filets de l'adversaire. Sans qu'il ait eu le temps de battre des ailes plus loin ou de se retourner, il se retrouva plié au sol, son corps oscillant entre sa forme d'aigle et son corps d'homme. Nous étions arrivé trop confiants, et Poukilette ne fut que le premier à en prendre conscience. Au même tarif, Selim l'apprit peu après, alors que déjà le clairon d'un rassemblement sonnait. Nous étions désormais dans la partie, et chassés avec deux victimes.

Nous avions disparu. L'attention n'avait tenu sur nous que le temps de nous reprendre. Nous préparions notre seconde manche, calmes, mais déterminés.
- Wycket, tu seras nos yeux. Prépare notre chemin vers eux, vois et entends autant que possible. La lumière de Solaris t'aidera. Pendant ce temps, nous préparons notre contre-offensive. Soit prêt.
- Reçu.
- Avant de partir, un peu de soutient.
- L'idée, c'est d'ouvrir pleinement un second front. Nous contournerons le combat actuel, en espérant qu'ils tiennent bon jusqu'à notre venue. Nous avons une journée pour nous préparer dorénavant.
C'est du Nord Ouest qu'est venu notre assaut. Durant une journée, j'ai pisté l'ennemi, pris des notes, transmis mes informations aux fouines pour qu'elles les apportent aux miens. J'étais prêt à bondir.

La manœuvre fut redoutable, inattendue. Tour à tour dans la bataille, les rayons, les flèches, les lames se mêlèrent au centre de la plaine. Dans la surprise, l'ennemi ne put que tenter de reculer. En vain. Rapidement, la masse adversaire fut réduite de moitié. Mais à leur différence, nous n'avions pas besoin de reprendre notre souffle, ils ne fuyaient que pour lutter deux pas plus loin. En deux jours de combats, il ne restait plus qu'un marathonien.

Je portais mon regard vers l'Ouest. Eltiri ne brulerait pas de nouveau. Eltiri pouvait s'endormir en paix ce soir.
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#3
Le centaure avait entendu un appel de détresse d'un sylvain, ce dernier lui avait demandé s'il voulait les accompagner à la plage quelques semaines plus tôt, mais l'émissaire des esprits combattaient alors des spectres. Maintenant que la menace n'était plus, le centaure allait porter secours à son nouvel ami.
Le chemin ne fut pas bien long pour le centaure, mais les cadavres étaient déjà nombreux sur le chemin, l'ennemi avait suivit les sylvains au niveau de la hutte du Korrigan, mais aucune trace de ce dernier, était il mort pendant ce combat, lui le petit lutin espiègle qui avait créé la premiere attaque sur le village centaure.
Mais il n'était pas l'heure de chercher le lutin, l'heure était à la défense. Le combat faisait rage, la stratégie hélionne était étrange, ils attaquaient puis se reculaient en laissant toujours un des leurs devant, ce coup ci la victime fut Selim. Cet hélion était encore plus résistant qu'une montagne et aussi souple qu'un roseau, une vraie plaie à affronter, mais il venait enfin de tomber, l'espoir renaissait chez les sylvains accompagné de Nox et de Dorémi.
Malheureusement cet espoir naissant avait relâché la vigilance du centaure et d'un coup, une flèche s'abbattit sur ce dernier, puis une sorte de petit ourson vient à son contact.


Quelle mignonne petite créature, tu veux du miel c'est ca?

Malheureusement pour le chaman, la créature semblait plus en avoir à son cuissot qu'à du miel, une troisième personne intervint, le déluge de coup et de sorts commença à pleuvoir, le centaure savait que ses minutes étaient comptés, il fallait absolument retenir leurs visages, leurs positions, leurs équipements afin de donner toutes les informations aux autres, cette attaque surprise risquait de faire mal, très mal.
Le petit ourson revint au coté du centaure pour lui porter les deux derniers coups, mais c'est bon, l'information avait été envoyé et les autorités ont été prévenus, puis avant de perdre connaissance, le centaure murmura


Pardonnez moi les amis, j'ai fauté.
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#4
Étranges. Oui, on peut dire ça, les tactiques elfes étaient étranges.


Var'Staën était dans les marais quand il apprit l'attaque elfe. Il n'avait pas hésité, impatient d'en savoir plus et désirant découvrir ce peuple allié des drôles Centaures. Mais ce qu'il apprit une fois aux abords du Sorlin ne lui permit pas de les étudier comme il aurait voulu : après avoir attaqué deux frères Hommes-Bêtes sans raisons apparentes, le groupe elfe s'était retiré devant les renforts, majoritairement de la guilde des Emissaires de Raev, que Var'Staën avaient déjà vu sur les ruines d'Eltiri.
Donc, les elfes sont venus, ont attaqués et fuient une fois la défense organisée. Du moins, c'est ce qu'on avait dit à Var'Staën et aux autres retardataires.

Il était déçu. Une chasse semblait commencer, afin de ne pas laisser le crime impuni et faire comprendre aux Elfes que ils n'allaient pas se laisser faire.
Var'Staën n'était pas très friand de cette méthode. Cela ressemblait à la chasse au lapin... Sauf que les proies étaient quelque peu plus intelligentes et civilisées que des lapins.
Cependant, il voulait tout découvrir. Et quand il appris qu'on avait ramené Evenisse, la même Evenisse que celle qui l'avait aidé à Eltiri, sur un brancard, il dit seulement :
- Allons-y.

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Combien de temps ? La chasse devait avoir commencée environ 1 ou 2 jours auparavant, mais Var'Staën avait l'impression que cela faisait beaucoup plus longtemps. C'était bien plus fatigant qu'il ne l'avait cru. Mais, bien qu'il ne voulait pas se l'avouer, il y avait quelque chose d'excitant à chasser quelqu'un d'aussi intelligent et ingénieux que soit.

Les Elfes tombaient les uns après les autres, ils fuyaient, des fois un ou deux restaient derrière, attaquaient fébrilement et étaient abattus.
Mais ils avaient quatre victimes d'avance, et la chasse continua.

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Un petit peu plus tard, les Emissaires choisirent d'arrêter la chasse. Ils devaient se rendre au sud, et jugèrent que la chasse avait assez durée, qu'il risquait d'il y avoir des arrivées de Centaures et Elfes venus secourir les Quendi - Var'Staën avait appris que c'était le nom de la guilde d'elfe qu'ils poursuivaient. Aussi la chasse d'arrêta-t-elle un instant, pendant lequel les elfes prirent une légère avance.

Var'Staën était épuisé, et d'ordinaire, il n'aurait pas fait cela, mais l'attitude des elfes, ajouté au compte des victimes - les elfes avaient eu une demi-douzaine des leurs, tendis qu'ils avaient été quatre ou cinq a être tombés- et à la récente information selon laquelle Evenisse, qui s'était échappée du temple pour revenir vers le Sorlin, venait d'être prise sauvagement pour cible, le poussait à continuer.
Aussi, avec son frère Asphalte, l'Hélion Lololabricot, qui avait fait un bout de chemin avec eux d'Eltiri aux marais, et Ragold, autre Hélion ayant participé à la chasse, il poursuit le reste des elfes et alla vers le lac.

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Le temps des séparations avec les Emissaires avait permis aux elfes de prendre une légère avance et de mieux se regrouper.
Aussi, quand le petit groupe -augmenté de Vezin, un des guérisseurs agressé en premier par le groupe elfe, et à nouveau d'Evenisse déjà sur pieds- arriva en vue du lac, la chasse se transforma enfin en bataille de position, avec environ le même nombre de combattants de chaque côté.
L'arrivée d'un centaure fut compensé par celle d'une autre Femme-bête.

Var'Staën s'apprêtait à ouvrir grands ses yeux et ses oreilles, afin de voir -enfin- quelque chose de nouveau, quand Evenisse demanda à tout le monde de reculer vers le bosquet.
Bien que déçu, il allait obéir, quand il vit un frère loup émerger des herbes à mi-distance entre lui et l'elfe-armure qui les agaçaient depuis le début, à rester derrière les autres et ainsi gêner les poursuivants.
Répugnant à le laisser aux mains des elfes, il fit un petit jappement afin d'attirer son attention et lui signifier un danger. Mais à peine le loup releva-t-il la tête que Ragold lança un rayon aveuglant en plein dans sa direction...
Quand il releva la tête, Var'Staën eu juste le temps de comprendre que le loup n'avait été qu'un rebond pour toucher les elfes, et qu'il n'avait presque rien... Qu'il entendit un bruit sec venant du côté des elfes et vit le loup faire un bref cri et s'affaler sur le sol avec trois flèches dans le flanc.
Un elfe archer. Evenisse reconnu celui l'ayant abattue alors que blessée et clairement pas dans le combat.
- Je l'aurais ! pesta-t-il, avant de se reculer, le coeur en rage et les yeux humides, vers ses compagnons.

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- Des renforts ! Nous avons des renforts !
Var'Staën sauta de joie en voyant des Hélions et des Hommes-bêtes traverser le Sorlin, à l'ouest.

Cela faisait un moment qu'il s'était reculés, et les elfes avaient eu des troupes fraîches, ainsi que des Centaures venus les aider. Var'Staën et ses compagnons avaient commencé à envisager une retraite, la mort dans l'âme, vers Korri, quand celui-ci fit les alliés passer le Sorlin. Maintenant, ils étaient en position de force, comme pendant la chasse. Mais là, les elfes ne s'y attendaient pas.

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Citation :HRP : Suite et fin demain, là j'ai pas le temps smile
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#5
Bon sang quel sotte!

Voila ce qu'on pouvait en conclure de la folie d'Evenisse.... la cupidité lui valu un nouveau retour au temple des plus rapide.

Il était certain que son premier retour au temps devais arriver... elle avait pourtant maintenu sa positions secrète pendant longtemps, mais espérait un renfort pour maintenir l'ennemi dans une sorte de tenaille. Ainsi est née la fameuse "tenaille à deux dans le bosquet ouest de la tour de mages". Pas vraiment glorieuse comme stratégie, mais cela n'en était pas une. Les renforts n'était pas venu comme espéré et elle avait tardé a trop se retirer.

Mais quelle idée de retourné si vite sur un front béquille en main. Elle avait repéré un filon qu'elle convoitait depuis longtemps et la proximité des elfes l'inquiétait. Tout ce mal, toute cette énergie pour rien. Non ce n'était pas concevable elle y était et elle était en droit de réclamer son du!

Copiant sur l'invictus elle fonçait, après un rapide passage chez les guérisseurs, pancarte en main! sur cette dernière était écrit "Je l'avais vu avant vous tous, prière d'avoir l'amabilité de ne point perturber mon extraction, Merci..... Evenisse"

Son pas était léger et rapide, ses blessures la faisait souffrir et avait même tendance a se rouvrir mais qu'importe, il fallait faire vite.

Var'staën semblais vouloir savoir ce qu'il se cachait plus haut... un ennemie avait été repéré plus au sud du filon de pierres précieuse mais il était loin d'Evenisse... elle força le pas a l'extrême au point de se retrouvé exténué a la fin de la journée... plus que quelques pas et elle pourrais planter sa pancarte.. au pire les ennemies devrait ne pas porter attention à une personne invalide tentant de récolter quelques pierres.. de plus elle n'avais personne dans son champs de vision qui s'étalait sur plusieurs lieux.

Elle en avertie le jeune loup afin qu'il ne fasse pas le déplacement pour rien, vu qu'il voulait vérifier la présence d'ennemi le long du solin, puis précisa aux autres membres son intention de récupérer les pierres, et enfin se reposa un moment.

Elle ne pu dire exactement d'ou était venu la douleur, ni même comment elle avait pu être repéré. Trahison ou embuscade?! un question encore à présent sans réponse... La pancarte lui échappa des mains et tomba au sol suivi du bruit sourd de corps qui s'effondre..le siens!

Pourquoi elle, pourquoi cette haine! N'y avait t-il donc plus de respect envers les convalescents et les blessés de guerre surtout lorsqu'il ne prenne pas part au combat.
Il semblerait que l'individu l'ayant prise pour cible convoitait le filon.. ce dernier aurait largement pu l'épargner et récupérer les pierres, elle n'avait aucun moyens de se défendre avant un petit moment de toute façon, mais ce dernier y avait surement vu une proie facile, de quoi rajouter une encoche sur son arc! Il semblerait aussi qu'on lui prétextait servir d'espion, ces imbéciles ne savaient donc pas a quel point si elle avait voulu les espionner ils ne l'auraient jamais su!
C'est d'ailleurs ce qu'elle allait démontrer... elle ne pris même pas la peine de demander des soins et fonça sur l'ennemi avec une nouvelle paire de béquilles sous les regards dépité des brancardiers.

Elle comptait bien leur montré que si elle aurait voulu vraiment joué les espionnes il en aurait été différemment!

Soigné par vezin elle pris place non loin de certains ennemie et scruta l'horizon discrètement... Ne pouvant attaquer elle était les yeux, attendant son heure.. l'heure de la vengeance. Mais les invictus, malgré la mort de leur chef, était très efficace, trop même puisque les ennemis était presque tous tomber avant qu'elle ne pu reprendre le combat.

Elle savait qu'elle risquait de se faire prendre pour cible si elle était démasqué de sa cachette, ça aurait parfaitement normal et, même elle, n'aurait pas hésiter a tuer un convalescent qui faisait de la reconnaissance.
Elle avait réussi à tenir sa position et châtia comme il se devait un des assaillants. Le combat semblait fini... mais alors que les défenseurs faisaient demi-tour tuant quelques gobelins au passage, d'autres fauteur de trouble semblaient vouloir en découdre!
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Atteindre :