22-11-2011, 02:43:29
Nous sommes en 74 de ce que les historiens appelleront plus tard l'Ère du déclin. Cette période sombre débuta avec l'arrivée d'une importante météorite au cœur de l'Empire Haut-Elfe, suivie du débarquement des Holdars sur la côte d'Ecridel, une race jusqu'à ce jour inconnue et intéressée par l'astéroïde. Néanmoins, les premières rencontres entre les Hauts-Elfes et les Holdars furent tendues et les elfes, fiers et présomptueux de par leur puissance, et ne voulant céder l'astéroïde se situant sur leurs terres, déclarèrent la guerre aux étrangers. La guerre fut violente et préjudiciable aux Haut-Elfes qui en sortirent affaiblis et divisés. De ces divisions naquirent les Elfes Sylvains, des elfes qui, voulant fuir le conflit, trouvèrent refuge dans l'immense forêt de Pelethor, qu'ils apprirent à respecter, créant ainsi une nouvelle culture et de nouvelles croyances tournée vers la vénération des esprits de la forêt, rejetant et tournant peu à peu le dos à leurs cousins. Pendant ce temps, les nains, à l'abri dans leurs montagnes, observaient l'évolution de la confrontation entre les Hauts-Elfes et les Holdars en restant à l'écart, méfiants, tout en continuant de développer néanmoins leur commerce. Les Centaures, race récente, continuaient durant ce temps paisiblement leur développement, devenant peu à peu une puissance importante de part leur expansion démographique et leurs progrès technologiques les amenant non loin du niveau des elfes. Cependant, comme les nains, ils évitèrent de prendre part au combat et préférèrent rester dans l'ombre et le secret.
La guerre dura plusieurs années, et se termina par la victoire des Holdars, qui s'approprièrent la région d'Andoras au sein de laquelle l'astéroïde s'était écrasé, et se coupèrent du reste du monde, laissant des terres dévastées et baignées de sang dans leur sillage. Suite à ce cuisant échec, les Hauts-Elfes ayant tout perdu de leur éclat passé, tentèrent de se reconstruire, dans la douleur et surtout, dans la haine…
En l'année où nous nous trouvons, les Hauts-Elfes ont réussi à relancer leur économie et à reconstruire leurs forces, néanmoins les séquelles restent, profondes. L'absence du soutien des nains durant la guerre à ramené à la surface les anciennes querelles, redevenant plus virulentes entre les deux peuples. Les Hauts-Elfes gardent également caché en eux une certaine rancœur envers les Elfes Sylvains, persuadés d'avoir été abandonnés et trahis. Le peuple de la forêt quant à lui a coupé quasi définitivement les ponts avec son passé pour se tourner résolument vers le futur. Les premières rencontres entre les Elfes Sylvains et les Centaures restèrent superficielles, les hommes-chevaux n'appréciant pas totalement l'arrivée importune de ce nouveau peuple dans leur forêt. Les nains, commençant l'exploitation des forêts en quête de de ressources établirent très vite avec les Elfes Sylvains un climat de rancune et de haine mutuelles. Les Centaures quand à eux, restent à l'écart et ne cherchent pas actuellement à créer des liens avec les autres peuples, mais restent intéressés par les nains et leurs mines d'argent.
C'est donc dans dans la colère, la douleur, la méfiance, la prudence, et le désir de vengeance, que l'aventure débutera...
Vous êtes [nom du perso], membre du peuple Nain ayant à peine achevé votre formation militaire. Vous êtes depuis quelques jours un Maître des runes à part entière, et vous êtes fier d'être enfin capable de servir votre souverain, le Thain Grunïn autrement nommé « Le Porte Flambée », contre tous les ennemis qui menacent vos montagnes. Parmi eux, en plus des multiples tribus d'orcs et de gobelins ainsi que les créatures nordiques, les deux civilisations elfiques, avec lesquelles le royaume entretient des rapports plus que tendus, mais surtout la menace Holdar.
Votre peuple est sûrement d'ailleurs celui d'Ecridel qui a le moins subi suite à la venue des Holdars. Loin de la politique d'extension des Elfes, il était loin, très loin à l'abri dans ses montagnes. Bien sûr, des aventuriers nains ont conté ces histoires de géants à la peau bleue venus des mers et ravageant les elfes sur leur passage, mais ces histoires furent plus accueillies avec applaudissement qu'avec des haches. Cependant, loin de prendre cette menace à la légère, ils se préparent au cas où certains Holdars se décideraient à sortir de leur forteresse.
La confrérie des Haches quant à elle assure bien sa protection des cols et le commerce n'a jamais été aussi prospère autour de Karad Zirkomen. Certaines caravanes même se sont dirigées vers Naël'Kaldora dans le but de faire du commerce. Les relations avec les Hauts-Elfes sont tendues, comme toujours, mais les Nains sont loin d'en profiter pour leur mettre le coup de grâce. Nombreux d'ailleurs parmi ce peuple de mineurs pensent qu'Asteras est déjà vouée à la disparition. Mais cependant, malgré ces antiques traités, des coups de haches se perdent pour réalimenter les tensions.
Les Nains vouent une haine incommensurable aux Elfes Sylvains. Non pas qu'ils les détestent plus que leurs cousins, mais les premières escarmouches entre ces peuples furent des plus violentes. Les Elfes Sylvains tuèrent en effet des caravanes de marchands, sans autre forme de procès, pour punir les nains de tous les maux qu'ils infligèrent à la forêt. Étonnamment, c'est vers le peuple centaure qu'ils ont préféré se tourner. Face à la puissance de ce nouveau peuple, les nains ont trouvé ce qu'ils pourraient appeler leurs égaux. Et surtout, les centaures sont très demandeurs d'argent… Minerai qu'on trouvait jusqu'à il n'y a pas si longtemps encore dans la veine d'argent. Si les affinités n'étaient pas très grandes à la base, le commerce les a peu à peu créées.
Quoi qu'il soit, il est désormais de votre devoir de permettre à votre Royaume démontrer sa puissance et de protéger la nature et les esprits qui y vivent, et ce quelle que soit la menace.
La guerre dura plusieurs années, et se termina par la victoire des Holdars, qui s'approprièrent la région d'Andoras au sein de laquelle l'astéroïde s'était écrasé, et se coupèrent du reste du monde, laissant des terres dévastées et baignées de sang dans leur sillage. Suite à ce cuisant échec, les Hauts-Elfes ayant tout perdu de leur éclat passé, tentèrent de se reconstruire, dans la douleur et surtout, dans la haine…
En l'année où nous nous trouvons, les Hauts-Elfes ont réussi à relancer leur économie et à reconstruire leurs forces, néanmoins les séquelles restent, profondes. L'absence du soutien des nains durant la guerre à ramené à la surface les anciennes querelles, redevenant plus virulentes entre les deux peuples. Les Hauts-Elfes gardent également caché en eux une certaine rancœur envers les Elfes Sylvains, persuadés d'avoir été abandonnés et trahis. Le peuple de la forêt quant à lui a coupé quasi définitivement les ponts avec son passé pour se tourner résolument vers le futur. Les premières rencontres entre les Elfes Sylvains et les Centaures restèrent superficielles, les hommes-chevaux n'appréciant pas totalement l'arrivée importune de ce nouveau peuple dans leur forêt. Les nains, commençant l'exploitation des forêts en quête de de ressources établirent très vite avec les Elfes Sylvains un climat de rancune et de haine mutuelles. Les Centaures quand à eux, restent à l'écart et ne cherchent pas actuellement à créer des liens avec les autres peuples, mais restent intéressés par les nains et leurs mines d'argent.
C'est donc dans dans la colère, la douleur, la méfiance, la prudence, et le désir de vengeance, que l'aventure débutera...
Vous êtes [nom du perso], membre du peuple Nain ayant à peine achevé votre formation militaire. Vous êtes depuis quelques jours un Maître des runes à part entière, et vous êtes fier d'être enfin capable de servir votre souverain, le Thain Grunïn autrement nommé « Le Porte Flambée », contre tous les ennemis qui menacent vos montagnes. Parmi eux, en plus des multiples tribus d'orcs et de gobelins ainsi que les créatures nordiques, les deux civilisations elfiques, avec lesquelles le royaume entretient des rapports plus que tendus, mais surtout la menace Holdar.
Votre peuple est sûrement d'ailleurs celui d'Ecridel qui a le moins subi suite à la venue des Holdars. Loin de la politique d'extension des Elfes, il était loin, très loin à l'abri dans ses montagnes. Bien sûr, des aventuriers nains ont conté ces histoires de géants à la peau bleue venus des mers et ravageant les elfes sur leur passage, mais ces histoires furent plus accueillies avec applaudissement qu'avec des haches. Cependant, loin de prendre cette menace à la légère, ils se préparent au cas où certains Holdars se décideraient à sortir de leur forteresse.
La confrérie des Haches quant à elle assure bien sa protection des cols et le commerce n'a jamais été aussi prospère autour de Karad Zirkomen. Certaines caravanes même se sont dirigées vers Naël'Kaldora dans le but de faire du commerce. Les relations avec les Hauts-Elfes sont tendues, comme toujours, mais les Nains sont loin d'en profiter pour leur mettre le coup de grâce. Nombreux d'ailleurs parmi ce peuple de mineurs pensent qu'Asteras est déjà vouée à la disparition. Mais cependant, malgré ces antiques traités, des coups de haches se perdent pour réalimenter les tensions.
Les Nains vouent une haine incommensurable aux Elfes Sylvains. Non pas qu'ils les détestent plus que leurs cousins, mais les premières escarmouches entre ces peuples furent des plus violentes. Les Elfes Sylvains tuèrent en effet des caravanes de marchands, sans autre forme de procès, pour punir les nains de tous les maux qu'ils infligèrent à la forêt. Étonnamment, c'est vers le peuple centaure qu'ils ont préféré se tourner. Face à la puissance de ce nouveau peuple, les nains ont trouvé ce qu'ils pourraient appeler leurs égaux. Et surtout, les centaures sont très demandeurs d'argent… Minerai qu'on trouvait jusqu'à il n'y a pas si longtemps encore dans la veine d'argent. Si les affinités n'étaient pas très grandes à la base, le commerce les a peu à peu créées.
Quoi qu'il soit, il est désormais de votre devoir de permettre à votre Royaume démontrer sa puissance et de protéger la nature et les esprits qui y vivent, et ce quelle que soit la menace.