11-09-2011, 11:27:36
Le Fennec ne savait pas pourquoi il était venu : il ne connaissait personne et détestait la foule.
Peut être par curiosité, peut être pour tenter de s'intégrer à ces elfes qu'il ne connaissait pas, peut être parce qu'il n'avait rien d'autre à faire, peut être par désespoir de savoir que sa forêt était envahie de créatures qu'il ne parviendrait jamais à chasser, peut être..........
Il n'était pas à sa place, lui, le rustre qui arrivait tout juste du fond des bois : il n'avait même pas pris la peine de se changer ou d'apporter un présent aux mariés.
Il était allé s'installer, seul, dans un coin tranquille pour observer : il ne connaissait rien aux mondanités, à la vie dans les villes........
Une chose l'avait tiré quelques temps de sa mélancolie : les nains. Il n'en avait jamais croisé auparavant. Qu'ils étaient laids !
La mariée, Louheä, elle, était belle et resplendissante. Il aurait voulu aller se présenter, la complimenter sur sa robe, l'organisation de son mariage, sur la nourriture. Il n'avait pas osé, trop différent de cette belle personne pour aller lui imposer sa présence.
Il dégageait, des convives, une impression de puissance et il ressentait douloureusement le chemin qu'il lui restait à parcourir pour, un jour, ne pas paraître ridicule à leurs yeux (incapable de mettre une flèche dans une cible ou de toucher un mannequin avec son épée).
Sentant le fossé existant entre lui et ces "seigneurs", il ne souhaitait qu'une chose : fuir loin d'eux, de leur beauté, de leur richesse, de leur puissance.
Il allait partir lorsqu'il aperçu une meute de loup combattue par quelques convives. Tirer quelques flèches ne lui ferait pas de mal et adoucirait probablement sa monotonie avant de partir.
Il commença donc à tirer sur la meute, oubliant le mariage et tout ce qui existait autour de lui..........
Peut être par curiosité, peut être pour tenter de s'intégrer à ces elfes qu'il ne connaissait pas, peut être parce qu'il n'avait rien d'autre à faire, peut être par désespoir de savoir que sa forêt était envahie de créatures qu'il ne parviendrait jamais à chasser, peut être..........
Il n'était pas à sa place, lui, le rustre qui arrivait tout juste du fond des bois : il n'avait même pas pris la peine de se changer ou d'apporter un présent aux mariés.
Il était allé s'installer, seul, dans un coin tranquille pour observer : il ne connaissait rien aux mondanités, à la vie dans les villes........
Une chose l'avait tiré quelques temps de sa mélancolie : les nains. Il n'en avait jamais croisé auparavant. Qu'ils étaient laids !
La mariée, Louheä, elle, était belle et resplendissante. Il aurait voulu aller se présenter, la complimenter sur sa robe, l'organisation de son mariage, sur la nourriture. Il n'avait pas osé, trop différent de cette belle personne pour aller lui imposer sa présence.
Il dégageait, des convives, une impression de puissance et il ressentait douloureusement le chemin qu'il lui restait à parcourir pour, un jour, ne pas paraître ridicule à leurs yeux (incapable de mettre une flèche dans une cible ou de toucher un mannequin avec son épée).
Sentant le fossé existant entre lui et ces "seigneurs", il ne souhaitait qu'une chose : fuir loin d'eux, de leur beauté, de leur richesse, de leur puissance.
Il allait partir lorsqu'il aperçu une meute de loup combattue par quelques convives. Tirer quelques flèches ne lui ferait pas de mal et adoucirait probablement sa monotonie avant de partir.
Il commença donc à tirer sur la meute, oubliant le mariage et tout ce qui existait autour de lui..........