01-09-2011, 20:19:39
Je pense en effet, qu'il est temps de se défaire du passé. Sommes nous tous asservis ? Devons nous payer les erreurs, ou les choix, de nos ancêtres ? Nains comme elfes, nous sommes tous pareils en ce jour : nous perpétuons une tradition basée sur la vengeance pour entretenir la haine de l'autre. Est-cela que nous devons transmettre à nos enfants ?
Eh bien, comme vous en affirmez des choses Sombrelame. A vous entendre, on croirait que vous me connaissez mieux que ma propre mère. Ne vous déchaînez pas petit sot, comme vous êtes fougueux lorsque vous prêchez la bonne parole ! Après tout la place publique n'est-elle pas un lieu où les avis du peuple se confrontent ?
Tandis que je vous délivrais un message porteur d'espoir et d'amour, vous vous êtes enragé comme un orc, cette même tribu dont vous riiez dans votre premier discours. N'est-il point imprudent de vous targuer d'être un combattant, une âme lucide et bien pensante ?
Pardonnez-moi de vous expliquer de quoi il en retourne. Et puis, pourquoi diable parler de mes vices ; en quoi cela concerne l'avenir du royaume des elfes ? La rage et le mépris auront raison de vous ; déjà rongent-ils vos phrases, obscurcissent-ils votre jugement.
Une femme telle que moi vous met en rogne, mes propos joyeux et ironiques vous mettent hors de vous ?
Vous n'avez pas l'âme d'un guerrier ; cessez de vous targuer d'être réaliste quand déjà vous ne savez prendre le recul nécessaire pour vous exprimer.
Qu'en sera-t-il sur le champ de bataille ? Un épéiste plaisantin fera une remarque sur votre plastron et vous vous emporterez ?
Apprenez d'abord à être sage, avant de vouloir juger autrui. Chacun ici à un avis, ne vous déplaise. Mais allons bon, je ne suis pas là pour discuter de vos qualités de combattant, ni même de votre attitude que je trouve inacceptable, et encore moins de vos insultes.
A quoi bon répéter sans cesse que les Fondelame tuent ? Nous le savons tous, ici. Comme vous l'avez dit vous-même, vous n'êtes pas le premier. Vous êtes sans originalité, votre discours est emprunté. Je pourrais penser que vous croyez être plus convaincants que les derniers aventuriers qui ont tenté l'expérience . Il n'en est rien.
Au lieu de vous attarder sur une elfe qui n'a rien fait à part exprimer son opinion, songez à votre bataille, ralliez des troupes. La place publique est faite pour les égarés qui ne savent pas à qui s'adresser ; en s'adressant à tout le monde, ils ne s'adressent à personne en particulier.
Eh bien, comme vous en affirmez des choses Sombrelame. A vous entendre, on croirait que vous me connaissez mieux que ma propre mère. Ne vous déchaînez pas petit sot, comme vous êtes fougueux lorsque vous prêchez la bonne parole ! Après tout la place publique n'est-elle pas un lieu où les avis du peuple se confrontent ?
Tandis que je vous délivrais un message porteur d'espoir et d'amour, vous vous êtes enragé comme un orc, cette même tribu dont vous riiez dans votre premier discours. N'est-il point imprudent de vous targuer d'être un combattant, une âme lucide et bien pensante ?
Pardonnez-moi de vous expliquer de quoi il en retourne. Et puis, pourquoi diable parler de mes vices ; en quoi cela concerne l'avenir du royaume des elfes ? La rage et le mépris auront raison de vous ; déjà rongent-ils vos phrases, obscurcissent-ils votre jugement.
Une femme telle que moi vous met en rogne, mes propos joyeux et ironiques vous mettent hors de vous ?
Vous n'avez pas l'âme d'un guerrier ; cessez de vous targuer d'être réaliste quand déjà vous ne savez prendre le recul nécessaire pour vous exprimer.
Qu'en sera-t-il sur le champ de bataille ? Un épéiste plaisantin fera une remarque sur votre plastron et vous vous emporterez ?
Apprenez d'abord à être sage, avant de vouloir juger autrui. Chacun ici à un avis, ne vous déplaise. Mais allons bon, je ne suis pas là pour discuter de vos qualités de combattant, ni même de votre attitude que je trouve inacceptable, et encore moins de vos insultes.
A quoi bon répéter sans cesse que les Fondelame tuent ? Nous le savons tous, ici. Comme vous l'avez dit vous-même, vous n'êtes pas le premier. Vous êtes sans originalité, votre discours est emprunté. Je pourrais penser que vous croyez être plus convaincants que les derniers aventuriers qui ont tenté l'expérience . Il n'en est rien.
Au lieu de vous attarder sur une elfe qui n'a rien fait à part exprimer son opinion, songez à votre bataille, ralliez des troupes. La place publique est faite pour les égarés qui ne savent pas à qui s'adresser ; en s'adressant à tout le monde, ils ne s'adressent à personne en particulier.