14-03-2011, 10:57:29
Rentrant dans l'école de magie pour la seconde fois, je me sentais mal à l'aise.
L'impression de trahir la confiance d'une personne n'est jamais agréable.
Mais il fallait que je sache pourquoi.
L'époque que nous vivons étant de plus en plus trouble, il faut bien avoir le plus de renseignements possibles.
Je m'approchais du Maître, attendant qu'il termine une conversation avec l'un de ses collègues, repris mon sang-froid, m'inclinais légèrement et dit :
Bonjour Maître,
Profitant des dons et affinités naturels de notre peuple avec la magie, j'ai acheté le guide du débutant en magie de l'air afin de parfaire mes connaissances. Au passage, je vous remercie pour le temps passé concernant l'enseignement de cette discipline et surtout de votre calme et patience.
Cependant, dans ce livre, j'ai découvert un parchemin où était inscrit apparemment une formule pour une préparation que je ne connais pas. Ainsi, connaissant l'étendu de votre savoir, pouvez-vous me dire à quoi sert-elle ?
Je pris mon livre, l'ouvrit à la page où j'avais inscrit mes notes, et récita :
- une poignée de gentianes
- quelques pétales d'hellébore
- une branche de bois de chêne bien droite et sans nœuds
- quelques joyaux bruts
- une poignée de cristal de mana.
- une flammèche de feu follet
- deux outres d'eau de source
De plus, un mot est inscrit sur ce parchemin : « Fenrir, le dieu sauvage, sève de notre monde ».
Je fermais mon livre, afin de faire comprendre que je ne laisserai pas mon interlocuteur regarder directement ce « parchemin ».
Ma connaissance des divinités d'Ecridel étant limité, pouvez-vous m'en dire plus à propos de lui ? Qui le vénère, que représente t-il, quelles sont les liens avec notre peuple,… ?
Ayant parlé d'une traite, je savais d'avance qu'il me rappellerait que la voie de la magie n'est pas aussi directe que celle de l'arc. Mais j'attendais des réponses importantes.
L'impression de trahir la confiance d'une personne n'est jamais agréable.
Mais il fallait que je sache pourquoi.
L'époque que nous vivons étant de plus en plus trouble, il faut bien avoir le plus de renseignements possibles.
Je m'approchais du Maître, attendant qu'il termine une conversation avec l'un de ses collègues, repris mon sang-froid, m'inclinais légèrement et dit :
Bonjour Maître,
Profitant des dons et affinités naturels de notre peuple avec la magie, j'ai acheté le guide du débutant en magie de l'air afin de parfaire mes connaissances. Au passage, je vous remercie pour le temps passé concernant l'enseignement de cette discipline et surtout de votre calme et patience.
Cependant, dans ce livre, j'ai découvert un parchemin où était inscrit apparemment une formule pour une préparation que je ne connais pas. Ainsi, connaissant l'étendu de votre savoir, pouvez-vous me dire à quoi sert-elle ?
Je pris mon livre, l'ouvrit à la page où j'avais inscrit mes notes, et récita :
- une poignée de gentianes
- quelques pétales d'hellébore
- une branche de bois de chêne bien droite et sans nœuds
- quelques joyaux bruts
- une poignée de cristal de mana.
- une flammèche de feu follet
- deux outres d'eau de source
De plus, un mot est inscrit sur ce parchemin : « Fenrir, le dieu sauvage, sève de notre monde ».
Je fermais mon livre, afin de faire comprendre que je ne laisserai pas mon interlocuteur regarder directement ce « parchemin ».
Ma connaissance des divinités d'Ecridel étant limité, pouvez-vous m'en dire plus à propos de lui ? Qui le vénère, que représente t-il, quelles sont les liens avec notre peuple,… ?
Ayant parlé d'une traite, je savais d'avance qu'il me rappellerait que la voie de la magie n'est pas aussi directe que celle de l'arc. Mais j'attendais des réponses importantes.