[Scénario final] Pryd, ami ou ennemi ?
#78
Grunielda esquissa un sourire aux 'belles' paroles de Pryd. On ne demandait pas une totale et absolue confiance quelque soit le camp. Juste une certaine neutralité avec des conditions et des clauses... comme un contrat qu'un nain apprécierait.

Son sourire s'effaça vite. Et en réponse à Halko.

Nous ne sommes pas stupides ni envoûtés messire elfe. Contrairement aux membres de votre groupe, les membres du notre se sont concertés et on a défini nos objectifs. Celui d'exterminer nos semblables n'en fait pas parti.

Il n'y a point d'alliance ni d'asservissement ici.

Notre groupe est sur le point de totalement se déployer. Vous risquez d'être plus exposé.

A vous de voir si vous suivez votre cheffe ou pas. Je ne puis dire au nom de mes camarades si vous pouvez nous suivre ou pas. Si cela était envisageable vous devrez alors accepter les termes du contrat qui a été défini entre nous et le seigneur Pryd.

Vous pouvez rester là où vous êtes mais vous risquez d'attirer l'attention des pantins de Pryd qui viendraient en renfort.
Vous pouvez battre en retraite, le temps pour vous et vos compagnons de réfléchir et de soigner vos blessures - pour certains.


Son regard se posa sur un des elfes non loin qui semblait avoir attiré quasi toute la magie des mages que Pryd contrôlait dans le coin.

Elle revint sur Halko.

Les holdars ont quasi exterminé les vôtres il y a fort longtemps. Peut-être qu'en vous joignant à ce combat contre les holdars vous pourriez y voir la satisfaction de pouvoir se venger de cela.
Peut-être y découvrirez-vous des choses intéressantes pour vous et votre peuple.

Enfin bref, faites ce qui vous semble juste, mais pas forcément pour vous ou votre groupe, mais pour votre peuple et les autres d'Ecridel si un temps soit peu cela vous préoccupe. Notre groupe l'a fait, en devant renoncer à nous venger. Il y a d'autres moyens que la vengeance. Tout comme l'attaque frontale n'est pas forcément une bonne idée surtout quand c'est une montagne qu'il faut abattre.


La jeune naine parlait trop et disait n'importe quoi.

Il a fallu qu'un poulet la percuta pour qu'elle se rende compte que son groupe s'était mis en branle. Et comme d'habitude elle faisait parti des traînards...
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