[RP] Autour d'un verre

[Morane]

Explications :

Ce fil de discussion retrace en temps réel une discussion des trappistes dans la forteresse du Skovendor, autour du Jarl Floki.
Tous les trappistes sont invités à y participer en mimant le style d'écriture d'un greffier inconnu présent pendant ces échanges, à base de message plutôt courts, précédés du nom de leur auteur en gras, avec éventuellement des didascalies en italique.

A nos amis sudistes, nous sommes heureux de partager ces échanges avec vous, sans se prendre la tête sur des stratégies de dissimulation d'informations, merci de garder ces éléments éloignés de vos RPs s'il n'y a aucune raison que vous n'en ayez connaissance.

Le feu crépitait dans l'âtre, et le froid s'infiltrait à travers les réparations hatives des ouvertures. Le feu n'avait pas fait que du bien à la forteresse, bien au contraire. Tout le monde n'était pas encore présent, mais, comme de coutume, le grand hall était ouvert à tous les voyageurs, nains ou agars, trappistes ou non.

Sur une des tables Hemdl, Kardel, Thrainsa, Hönir et Morane étaient autour de cartes et de rapports divers suite à leur exploration de la zone. Ils argumentaient autour d'hypothèses quand à savoir qui étaient l'elfe qu'ils avaient croisés... assez banal, plutôt grand, d'une chevelure blonde, presque blanche, il paraissait peu sûr de lui, donc à priori pas une sentinelle. La discussion allait bon train sur les méthodes d'attaque éventuelle du village.

Plus loin, Floki et Gared semblaient en grande discussion animée autour d'un verre d'hydromel, à gueuler de plus belle leur avis sur la politique du Jarl des Jarl.

Gorbad, lui, discutait des détails de la transaction avec la maison Plonge-Mestal avec l'intendant de la forteresse tout en écoutant le dernier rapport des informateurs de Karad sur les dernières nouvelles politiques.

Dans tout le chaos ambiant, les serveuses passaient et veillaient à ce que tout le monde ai de quoi profiter du moment. La plupart étaient des captives de précédents raids, différentiées de leurs camarades par un brassard vert. Les tonneaux étaient pleins, le Jarl y avait veillés depuis l'arrivée de la caravane.

Après une bonne heure d'arrivées, d'embrassades, et autres joyeusetés, Floki frappa du manche de son bâton sur le sol trois coups puissants qui firent disparaitre le bruit ambiant... à la deuxième itération, et après des remarques discrètes des gardes aux plus bruyants des présents.