[R-PVP] Politesses dans la forteresse du Jarl
#44
Grumpf.

Au final, non.

La "glorieuse" clique d'en face, après avoir fait clamer par leurs hérauts Agar et Nains à se rappeler l'honneur Talien et à combattre ensemble le démon, jugèrent bon… d'abattre notre Talienne préférée (celle qui parle toute seule, pas la vioque), qui se tenait hésitante derrière lui. Peu importe, on leur réglerai leur compte plus tard.

Et surtout, ils restaient tout de même potentiellement en tête au classement d'estime subjectif, car les nôtres - certains du moins – avaient finalement re- re-retourné leurs vestes de maille et proposé - devant le monstre qui devait bien rire intérieurement - de se rallier à eux et de jouer la forteresse à la boulette Kistarianne ( jeu qui doit on le rappeler, consiste à manger au hasard une boulette parmi sept, dont l'une contenait un poison létale), c'est à dire à celui qui botterai le premier les fesses au Holdar.
Peut-être avaient-ils omis l'insignifiant détail des campements des quatre armées qui entouraient la forteresse. Peu importe, on leur réglerai leur compte plus tard.

Il y avait aussi ceux qui étaient devenus tout bonnement fous, et qui se prosternaient visiblement sciemment et s'attendaient peut-être à ce que le draineur de vies à la Force divine leur annonce dans un souffle "je suis ton père". Il était temps qu'on vienne faire le ménage dans ce château, la poussière devenait psychotrope. Ou alors c'était une comédie aussi lucide que fourbe pour tromper les nordmens et le pseudo-dieu… Peu importe, on leur réglerai leur compte plus tard.

Cela faisait beaucoup de comptes à régler plus tard. D'ailleurs c'était qui "on" ? Ah oui… mon arc, mon demi-sandwich et moi. Au moins le résumé des réjouissances était on ne pouvait plus simple : assassiner le vampire, décimer les ennemis, achever les compatriotes traîtres, piller la forteresse, rentrer pour le souper, puis maman nous raconterai histoire pour dormir. Pas une histoire de vampire si possible.

Comme aurait dit Anastraph, tuez-les tous, chaque Dieu reconnaîtra les siens. Ah oui tiens, autre option. Mourir. Moins fatiguant ça. Bien aussi. Et surtout Bombus se demandait quel dieu voudrait bien l'accueillir dans son Eden… Quod Libet, Dieu des bouffons, peut-être ? se dit-il en ratant ses tirs à bout portant dans le dos de l'enragé divin...
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