28-12-2016, 13:27:04
Les quelques jours passés en compagnie des deux taliennes furent pour Ossë et Neryë plus agréables que prévus. Ces femmes étaient des guerrières expérimentées dont la complicité ne faisait aucun doute.
Avec beaucoup de bagout elles contèrent leurs exploits passés aux elfes. Malgré sa longue expérience, le maître-lames ne pouvait cacher son admiration pour ces mercenaires à la fois capables et dévouées.
Il ne s'agissait pas de leur première mission pour le compte de la confrérie des confiseurs de l'Ouest, et toutes deux étaient d'accord pour louer la libéralité et la sympathie que leur inspirait leur employeur.
La manière dont elles avaient conçu ce plan dénotait d'ailleurs à la fois de leur sens de la stratégie, mais également d'un soucis profond que les choses se déroulent pour le mieux afin d'éviter tout esclandre.
A peines arrivés sur les lieux, les quatre, comme s'ils avaient toujours travaillé de concert, firent tomber un premier garde. Un trait de fumée, quelques traits bien ajustés et une bonne taillade sur le poitrail et le guetteur s'affala sur le sol. Neryë contempla un instant le corps et se dit que ces "gardes-bonbons" avaient davantage des allures de mécréant que de confiseur.
C'est donc avec une conviction renforcée le bien fondé de son action qu'il se dirigea, fléau à la main, vers le second sous-fifre.
Avec beaucoup de bagout elles contèrent leurs exploits passés aux elfes. Malgré sa longue expérience, le maître-lames ne pouvait cacher son admiration pour ces mercenaires à la fois capables et dévouées.
Il ne s'agissait pas de leur première mission pour le compte de la confrérie des confiseurs de l'Ouest, et toutes deux étaient d'accord pour louer la libéralité et la sympathie que leur inspirait leur employeur.
La manière dont elles avaient conçu ce plan dénotait d'ailleurs à la fois de leur sens de la stratégie, mais également d'un soucis profond que les choses se déroulent pour le mieux afin d'éviter tout esclandre.
A peines arrivés sur les lieux, les quatre, comme s'ils avaient toujours travaillé de concert, firent tomber un premier garde. Un trait de fumée, quelques traits bien ajustés et une bonne taillade sur le poitrail et le guetteur s'affala sur le sol. Neryë contempla un instant le corps et se dit que ces "gardes-bonbons" avaient davantage des allures de mécréant que de confiseur.
C'est donc avec une conviction renforcée le bien fondé de son action qu'il se dirigea, fléau à la main, vers le second sous-fifre.