16-12-2016, 08:41:54
Quel ne fut pas le soulagement de Neryë lorsqu'il vit son jeune camarade passer la porte grandiose du temple de Fryelund!
La perspective de devoir rester dans cet endroit encore quelques heures supplémentaires lui glaçait l'échine. Il le savait, il le sentait, quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.
Il confia son malaise à son ami, ainsi que ses récentes découvertes, sans pour autant lui épargner sa réaction à chaud :
- ... et en plus de ça le grand blond manucuré là-bas il pensait que je lui faisais du gringue ! T'imagines?! Alors descendre dans leur cave tout seul j'étais à moitié chaud. Et puis toi t'y crois à leurs histoires de perte de contrôle spontanée? Personnellement, j'ai jamais vu ça chez un mage de ce niveau, et pourtant j'en ai vu. D'ailleurs ça me rappelle...
Et tout en marchant dans la direction indiquée par le prêtre Neryë narra, comme il en avait parfois l'occasion, une énième de ses histoires peuplée de monstres terrifiants, de prouesses l'arme à la main et de magiciens à la puissance démentielle. Peut-être que ça l'ennuyait, peut-être même ne le croyait-il pas, mais il avait la sensation d'avoir trouvé avec ses nouveaux acolyte sa place de passeur de mémoire.
-... et c'est là que la bulle de mana explosa, réduisant à l'état de bouillie immonde les huit orcs de la garde royale. Et puis bim! un sceau du vide sur leur chef, il a pas eu le temps de le voir venir ! Et t'imagines, il était seul ce grand mage à contrôler son flux de mana, et un poil sous pression en plus ! Il n'a même pas effleurer le chevalier qui nous accompagnait.
Le récit enthousiaste du vieil elfe venait se ponctuer alors qu'ils arrivaient tout deux à proximité du garde qui avait plus tôt pris à partie le conteur.
Essayant de garder sa pleine contenance, il s'adressa à lui d'une voix ferme et posée :
- Nous avons autorisation à interroger les malades, pouvez-vous nous ouvrir la porte s'il vous plait?
La perspective de devoir rester dans cet endroit encore quelques heures supplémentaires lui glaçait l'échine. Il le savait, il le sentait, quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.
Il confia son malaise à son ami, ainsi que ses récentes découvertes, sans pour autant lui épargner sa réaction à chaud :
- ... et en plus de ça le grand blond manucuré là-bas il pensait que je lui faisais du gringue ! T'imagines?! Alors descendre dans leur cave tout seul j'étais à moitié chaud. Et puis toi t'y crois à leurs histoires de perte de contrôle spontanée? Personnellement, j'ai jamais vu ça chez un mage de ce niveau, et pourtant j'en ai vu. D'ailleurs ça me rappelle...
Et tout en marchant dans la direction indiquée par le prêtre Neryë narra, comme il en avait parfois l'occasion, une énième de ses histoires peuplée de monstres terrifiants, de prouesses l'arme à la main et de magiciens à la puissance démentielle. Peut-être que ça l'ennuyait, peut-être même ne le croyait-il pas, mais il avait la sensation d'avoir trouvé avec ses nouveaux acolyte sa place de passeur de mémoire.
-... et c'est là que la bulle de mana explosa, réduisant à l'état de bouillie immonde les huit orcs de la garde royale. Et puis bim! un sceau du vide sur leur chef, il a pas eu le temps de le voir venir ! Et t'imagines, il était seul ce grand mage à contrôler son flux de mana, et un poil sous pression en plus ! Il n'a même pas effleurer le chevalier qui nous accompagnait.
Le récit enthousiaste du vieil elfe venait se ponctuer alors qu'ils arrivaient tout deux à proximité du garde qui avait plus tôt pris à partie le conteur.
Essayant de garder sa pleine contenance, il s'adressa à lui d'une voix ferme et posée :
- Nous avons autorisation à interroger les malades, pouvez-vous nous ouvrir la porte s'il vous plait?