27-06-2016, 23:34:55
Maudite crasse ! Quel idée d'aller dans les égouts. C'est un endroit répugnant où tout combat ne mérite aucune gloire. Heureusement que l'auberge propose des bains bien chauds et tiens à disposition de quoi se récurer complètement. Non mais quelle idée d'avoir juste sous ses pieds des hordes de rats et de bandits qui pullulent ensemble !
Enfin, pas le genre d'Yris d'avoir ce genre de problème. Bien que là-dessus on a rien à leur envier en fait, car il y a peu de temps, de pauvres fermiers sont venus quémander notre aide. Soi-disant que des saloperies de cochons et des rats viennent tout bouffer dans leur champs. Moi qui rêvait de combat épique va falloir revoir mes ambitions un peu à la baisse car pour l'instant on est loin d'avoir fait nos preuves et d'être réputé. Et encore des rats ! Maudites bestioles…
Je suis donc allé chercher mon frère, qui trainait encore du côté de la bibliothèque pour je ne sais quelle raison obscure et mystiques et nous voilà parti en expédition. En fait, c'est bien le terme, une expédition…. Des rats qui ne cessent de vous harceler avec les petites dents aiguisées comme des poignards pleines de miasmes et des cochons hybrides qui vous enfoncent leurs cornes dans les flancs. Autant dire qu'on a commencé à regretter de pas avoir suivi les conseils d'un vieux garde qui nous signalait d'y aller à plusieurs.
Bref, on était en train d'essayer d'en achever un quand deux charmantes guerrières nous ont rejoints. Pour ma part je les trouvais charmante, mais vu la tête que faisait mon frère je me suis rappelé qu'il n'a jamais su apprécier les rondeurs et les muscles féminins à leur juste valeur. Je leur indiquai simplement leur position afin de mieux tenir la ligne.
Le seul petit soucis avec elle, c'est qu'elle n'arrêtait pas de parler et parler encore. Je comprends que lorsqu'on rencontre quelqu'un, on se présente. Sauf si ce dernier pisse le sang et essaye de garder à distance une bestiole qui tente de manger ses bottes et le contenu. Mais à chacun ces petits trucs pour garder son sang-froid lorsqu'on se bat.
Profitant de l'effet de nombre, nous avons enfin réussi à faire une percée dans un des côtés de la ferme, non sans y avoir laissé quelques bosses et larges trainées de sang. Mais à ce qu'il parait « c'est le métier qui rentre », comme le disais mon instructeur. Profitant d'une brève accalmie, je scrutais les alentours afin de faire un état des lieux et lançais un petit sourire suivi d'un geste poli à mes compagnonnes.
Enfin, pas le genre d'Yris d'avoir ce genre de problème. Bien que là-dessus on a rien à leur envier en fait, car il y a peu de temps, de pauvres fermiers sont venus quémander notre aide. Soi-disant que des saloperies de cochons et des rats viennent tout bouffer dans leur champs. Moi qui rêvait de combat épique va falloir revoir mes ambitions un peu à la baisse car pour l'instant on est loin d'avoir fait nos preuves et d'être réputé. Et encore des rats ! Maudites bestioles…
Je suis donc allé chercher mon frère, qui trainait encore du côté de la bibliothèque pour je ne sais quelle raison obscure et mystiques et nous voilà parti en expédition. En fait, c'est bien le terme, une expédition…. Des rats qui ne cessent de vous harceler avec les petites dents aiguisées comme des poignards pleines de miasmes et des cochons hybrides qui vous enfoncent leurs cornes dans les flancs. Autant dire qu'on a commencé à regretter de pas avoir suivi les conseils d'un vieux garde qui nous signalait d'y aller à plusieurs.
Bref, on était en train d'essayer d'en achever un quand deux charmantes guerrières nous ont rejoints. Pour ma part je les trouvais charmante, mais vu la tête que faisait mon frère je me suis rappelé qu'il n'a jamais su apprécier les rondeurs et les muscles féminins à leur juste valeur. Je leur indiquai simplement leur position afin de mieux tenir la ligne.
Le seul petit soucis avec elle, c'est qu'elle n'arrêtait pas de parler et parler encore. Je comprends que lorsqu'on rencontre quelqu'un, on se présente. Sauf si ce dernier pisse le sang et essaye de garder à distance une bestiole qui tente de manger ses bottes et le contenu. Mais à chacun ces petits trucs pour garder son sang-froid lorsqu'on se bat.
Profitant de l'effet de nombre, nous avons enfin réussi à faire une percée dans un des côtés de la ferme, non sans y avoir laissé quelques bosses et larges trainées de sang. Mais à ce qu'il parait « c'est le métier qui rentre », comme le disais mon instructeur. Profitant d'une brève accalmie, je scrutais les alentours afin de faire un état des lieux et lançais un petit sourire suivi d'un geste poli à mes compagnonnes.