20-12-2010, 05:13:30
Pour Fragorn : Errances solitaires
Alors bizarrement, à 5h du mat' j'ai réussi à lire ton Rp.. sans vouloir le lire en diagonale, sans vouloir aller trop vite. C'est très agréable à lire (alors qu'il n'y a pas beaucoup de sauts de ligne) J'ai été étonnée. Parce que faut dire qu'il est tard et j'ai plus toutes mes capacités mentales..euh pardon.. c'est très accessible, plutôt harmonieux. Beaucoup d'éléments de transitions (les petits mots: alors, pourtant, et..) facilitent la lecture. Et le fait de couper les propos longs par des propos courts, cela permet de "garder" le lecteur en "vie" si je puis dire. De ne jamais le perdre. J'ai appris dans mon école de journalisme que si la phrase comptait plus de douze mots, le lecteur n'était plus attentif, ou devait se relire pour saisir le sens de la phrase. Parenthèse.
J'ai un mot à la bouche : DOUCEUR.
C'est ce qui se dégage pour moi de ton écriture.. la réflexion, la douceur.. et puis quel personnage attendrissant, revendiquant sa liberté, haissant ce qui est haissable, subsistant en volant (ce qui n'est pas un crime en soi), et "balbutiant".
La reflexion que tu portes sur ton personnage (à travers les pensées du perso lui-même) amène à une plus large réflexion
Alors bizarrement, à 5h du mat' j'ai réussi à lire ton Rp.. sans vouloir le lire en diagonale, sans vouloir aller trop vite. C'est très agréable à lire (alors qu'il n'y a pas beaucoup de sauts de ligne) J'ai été étonnée. Parce que faut dire qu'il est tard et j'ai plus toutes mes capacités mentales..euh pardon.. c'est très accessible, plutôt harmonieux. Beaucoup d'éléments de transitions (les petits mots: alors, pourtant, et..) facilitent la lecture. Et le fait de couper les propos longs par des propos courts, cela permet de "garder" le lecteur en "vie" si je puis dire. De ne jamais le perdre. J'ai appris dans mon école de journalisme que si la phrase comptait plus de douze mots, le lecteur n'était plus attentif, ou devait se relire pour saisir le sens de la phrase. Parenthèse.
Citation :Le pouvoir... La puissance... Voilà tout ce qui intéressait ce peuple. Nelvarel ne pouvait le comprendre. C'était comme si les Elfes s'étaient fixés comme seul objectif de régner sur le continent.... Pourquoi? Pourquoi ce désir de vouloir tout contrôler? De toute façon, lorsque ce peuple auraient établit sa domination du tout Ecridel, il se rendrait compte de l'absurdité et de l'inutilité de ce désir. Et au lieu de comprendre que le pouvoir n'apportait rien, les Elfes penseraient qu'ils n'en ont tout simplement pas assez, et voudront alors dominer le monde entier. Cela n'était qu'un cercle vicieux. Pourtant, à l'origine, cette race avait un réel potentiel. Elle était alors véritablement capable de créer. Mais la folie des grandeurs l'avait perdue. Asteras, qui était à l'origine une splendeur de ce monde, s'était noircie de l'intérieur. Oui, aux yeux de Nelvarel, Asteras était haïssable.Cela ressemble étrangement à ce que mon personnage pense, et dit, d'Asteras. (On va bien s'entendre =p) Je tenais à dire que c'est vraiment tout fluide. Tu alternes/enchaînes phrases courtes/longues = fluidité, diversité, richesse. Les pensées du personnage ont été retranscrites, c'est interessant, pour ne pas dire tout ce que j'adore. J'aime ces questions qu'il se pose. Ainsi que ces points de suspension.. en fait j'écris un peu comme toi. Je me retrouve à travers ton style.
J'ai un mot à la bouche : DOUCEUR.
C'est ce qui se dégage pour moi de ton écriture.. la réflexion, la douceur.. et puis quel personnage attendrissant, revendiquant sa liberté, haissant ce qui est haissable, subsistant en volant (ce qui n'est pas un crime en soi), et "balbutiant".
La reflexion que tu portes sur ton personnage (à travers les pensées du perso lui-même) amène à une plus large réflexion
Citation :Son nom? Il le haïssait! Il était le symbole de l'autorité de son père sur lui. De quel droit ses parents pouvaient-ils lui imposer le nom qui le caractériserait jusqu'à la fin de sa longue vie d'Elfe? Tout individu devrait pouvoir choisir son nom lui-même!