L’entêtement de Mhara
#1
Il est tard et crépuscule ne rime pas souvent avec sommeil lorsqu'on sort du poulailler. Il y a fort à faire mais si vous avez le temps ou une oreille attentive qui traine je peux vous occuper. Ne vous préoccupez pas du comment, depuis la nuit des temps il n'y a qu'une valeur sûre : l'histoire. Ce soir il est que...

Trop bien ! Une histoire ! J'adoore les histoires.

Voilà donc la pro...

D'ailleurs j'en connais une vachement sympas. Je vais vous la raconter.

...rrive. J'étais parti pour le faire, sinon je sers à quoi ?

C'est l'histoire du dragon rouge très rouge.

Mais non, c'est pas l'histoire du dragon rouge très rouge, c'est ton histoire que je vais...

Il était donc une fois un dragon rouge très rouge. Il n'était pas que rouge, c'était un vénérable dragon rouge, il avait donc toutes les qualités qui allaient avec. Force, intelligence, avarice, sagesse, persévérance, la liste est longue. Cependant chez elle ne diffère pas beaucoup des autres dragons de cette envergure. Le dragon rouge très rouge avait pour particularité d'être plus rouge que tous les dragon rouge. Il était pas juste le plus rouge des dragon rouge, il était rouge jusqu'au bout des écailles et chaque écaille avait son rouge à elle. On dit que chaque écaille à une histoire chez les vieux dragons, c'était indéniablement vrai pour le dragon rouge très rouge. Il ne serait pas surprenant que ce fait provienne du dragon rouge très rouge et qu'on est étendu cette vérité aux autres. Un autre dragon penserais alors que n'importe allusion ou vision de dragon se référait à lui, mais pas le dragon rouge très rouge. Le dragon rouge très rouge savait que l'on ne pouvait voir sa magnificence ailleurs qu'en lui, car il n'y avait pas -ni il y a eut <ni il y aura> - d'autre dragon rouge très rouge.
Parmi toutes ses écailles qui faisaient sa fierté, aucune ne se ressemblait et chacune était d'un rouge si beau qu'aucun moyen de la décrire ne s'approchait de la réalité. Pourtant nombreux sont ceux qui -sous le charme du dragon rouge très rouge- s'y sont essayé. J'ai en tête plusieurs de ces poèmes, ces entreprise ambitieuses sont toutes inachevée évidement car c'était un défis qui personne ne voulait abandonner, tellement la renommé en cas de réussite était grande. Enfin, moins que celle du dragon rouge très rouge. Vous les réciter me comblerait (car si aucun n'a réussit, ce sont des chef-d'œuvre à n'en point douter) cependant comme je n'ai pas toute la journée devant moi (j'ai coiffeur) et qu'ils sont tous d'une longueur digne de leur but, je m'en tiendrais à l'histoire d'un écaille du dragon rouge très rouge, une seule mais qui vaut bien plus que vos vie, hum, bien plus que de l'or.


Bonne nuit alors, tss.

L'écaille dont je vais vous parler se situait en haut de sa patte antérieur gauche du dragon rouge très rouge. Elle brillait sans cesse d'une intensité douce mais implacable. En plein jour comme dans les plus noirs ténèbres [cella n'existait de toute manière pas à coté du dragon rouge très rouge] elle n'était jamais discrète, jamais inutile toujours rayonnante. Un savant ingénieur avait d'ailleurs installé un système de miroir successif pour éclairer tout les phares d'Ecridel quand le dragon rouge très rouge se reposait. Il avait du négocier longuement -ses ancêtres depuis quatre génération {car le dragon rouge très rouge était un fin négociant}- avant d'avoir l'autorisation de pouvoir finaliser la mise en place de ce réseaux, et faire profiter de la lumière du dragon rouge très rouge aux côtes d'Ecridel. Quelques soucis techniques ont causé l'abandon du projet, les génération successive avait sous estimé la puissance luminescente du dragon rouge très rouge et sur-peaufiné le rendement entre autre. Ce n'est qu'un exemple parmi tant où cette écaille du dragon rouge très rouge brilla sur plusieurs plans. L'énumération à son charme mais ce n'est pas sur quoi je me focaliserai sur l'obtention, comme à chaque fois.

Elle bien longue ton intro, vas-y fini, que je commence la mienne.

La couleur de l'écaille était évidement rouge, car on -je- parle du dragon rouge très rouge, elle n'était pas d'une rouge vif, ni d'un rouge orangé que l'on peut voir sur des métaux en fusion, non rien de cela, n'allez même pas imaginer une flamme fugace. Il s'agissait d'un rouge pâle tendant sur le rose, un fleur à la fleur de paraitre ainsi dans le récit. Comme la plus part des écailles elle n'était pas unies, même les combats ses plus féroces, le dragon rouge très rouge ne perdait ni ne gâchait aucune source de rouge, certaines ont prit des coups mais toujours à leur avantage. Celle-là n'avait besoin de rien, bien que quelques éraflures existait bien que visible en de rares occasions. Les agacements des variations étaient subtiles ne ressemblaient à aucun motif.

Uuunnnh, c'était pas fini !

Si je m'applique à cette tâche impossible c'est pour vous donner une intuition de l'incompréhension qu'elle suggérait. Car ce n'était rien de moins que ça ou tout plus cela qu'elle pouvait inspirer. Le dragon rouge très rouge avait trouvé cette couleur, cette composition aux confins du monde, le seul bord qui l'avait convaincu était le premier levé de l'étoile Mère, enfin la sœur puisqu'il l'a absorbé et laissé la moitié. Le dragon rouge très rouge est partageur, ce n'est pas commun chez les dragon.

Ah ! c'est mon tour. Aux revoirs.


... Je vais attendre un autre moment plus propice finalement.
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