03-05-2015, 17:46:11
C'était la première fois depuis la bataille contre le façonneur de la sylve qu'Eldalotë retournait dans les profondeurs de la forêts de Pelethor. Elle courait en direction de la clairière des bois sacrés, armes en mains pour parer à toutes mauvaises rencontres, en ces temps troubles il fallait toujours rester sur ses grades.
Mais à mesure que la maitre-lame progressait vers l'Est elle sentait une sensation désagréable remonter le long de son bras droit. Sa main commençait à se crisper d'elle même sur la poignée de son épée. Puis s'ajouta à cette sensation une douleur étrangement familière, comme si sa main brûlait et son sang bouillonnait à l'intérieur de son bras. Bientôt elle tenait le "Fléau-du-dragon" avec un telle rage que l'on aurait pu voir les irrégularités de la lanière de cuir s'imprimer dans le creux de sa paume.
En arrivant à hauteur du marais où se trouvait l'antre du dragon corrompu, là où la corruption avait été la plus grande, la douleur devint si grande que l'elfe dut faire une halte près d'un cours d'eau. Elle rangea ses armes dans leurs fourreaux et trempa son bras dans l'eau fraiche. La douleur s'estompa progressivement mais la sensation désagréable qu'elle ressentait ne s'atténua que parce qu'elle se diluait dans tout son corps.
Ce n'est qu'en reprenant la route et ses armes en main qu'Eldalotë comprit d'où venait ce mal. La proximité du cœur de la corumption mêlée à la réémergence "des résidus maléfiques issus de Deimos" ont réveillé la corruption du sang du Façonneur imprégnant le "fléau-du-dragon". La crainte qu'avait émit la maitre-lame au sujet de sa lame était donc belle et bien fondait (cf Deimos, le façonneur de la sylve. post #74). Pourtant Eldalotë ne pouvait se résigner à la détruire sur le champ car en dehors de ces événements cette épée lui avait fait une très bonne compagne d'aventure. Si elle devait la détruire elle le ferait après avoir mit en sécurité l'archidruide et après lui avoir demandé conseil. Pour le moment elle allait la ranger dans son fourreau et l'utiliser avec parcimonie et une grande prudence.
Mais à mesure que la maitre-lame progressait vers l'Est elle sentait une sensation désagréable remonter le long de son bras droit. Sa main commençait à se crisper d'elle même sur la poignée de son épée. Puis s'ajouta à cette sensation une douleur étrangement familière, comme si sa main brûlait et son sang bouillonnait à l'intérieur de son bras. Bientôt elle tenait le "Fléau-du-dragon" avec un telle rage que l'on aurait pu voir les irrégularités de la lanière de cuir s'imprimer dans le creux de sa paume.
En arrivant à hauteur du marais où se trouvait l'antre du dragon corrompu, là où la corruption avait été la plus grande, la douleur devint si grande que l'elfe dut faire une halte près d'un cours d'eau. Elle rangea ses armes dans leurs fourreaux et trempa son bras dans l'eau fraiche. La douleur s'estompa progressivement mais la sensation désagréable qu'elle ressentait ne s'atténua que parce qu'elle se diluait dans tout son corps.
Ce n'est qu'en reprenant la route et ses armes en main qu'Eldalotë comprit d'où venait ce mal. La proximité du cœur de la corumption mêlée à la réémergence "des résidus maléfiques issus de Deimos" ont réveillé la corruption du sang du Façonneur imprégnant le "fléau-du-dragon". La crainte qu'avait émit la maitre-lame au sujet de sa lame était donc belle et bien fondait (cf Deimos, le façonneur de la sylve. post #74). Pourtant Eldalotë ne pouvait se résigner à la détruire sur le champ car en dehors de ces événements cette épée lui avait fait une très bonne compagne d'aventure. Si elle devait la détruire elle le ferait après avoir mit en sécurité l'archidruide et après lui avoir demandé conseil. Pour le moment elle allait la ranger dans son fourreau et l'utiliser avec parcimonie et une grande prudence.