18-02-2012, 17:27:10
Finlam était courroucé.
Il rédigeait son message nerveusement: une banale histoire de bousculade, mais qui achevait de lui faire prendre parti dans cette histoire de relations entre sylvains et centaures.
Jusque là, il n'avait pas voulu se résoudre à choisir un camp, même s'il avait intercédé pour les sylvains auprès du Roi Théreus. Mais après la mort du Troll, alors que centaures et sylvains se rassemblaient autour de la ferme d'un paysan elfe, les bousculades commencèrent. Lui-même fut bousculé à deux reprises par des sylvains, et ne reçut aucune excuse de leur part. A la seconde, il fit part de la chose à la foule ameutée là, en promettant que le prochain qui le bousculerait sans s'excuser goûterait de son épée.
Les bousculades cessèrent, et la chasse reprit de plus belle. Finlam tua un gobelin avec l'aide de la famille, et les sylvains étaient en route pour la ville pour plaider leur cause.
Mais ce qui avait bousculé les choses, n'était autre que le cousin Vertcoeur, qui était l'auteur d'une bousculade envers un sylvain. En bon centaure civilisé, Vertcoeur présenta alors ses excuses, mais l'elfe proféra des mots dédaigneux pour toute réponse.
Ce dernier événement, pourtant insignifiant en apparence, fit bouillir de rage le Centaurion. Il tentait de relater la chose de manière objective, en y apposant -en conclusion- son propre jugement sur la chose.
Ce mépris des sylvains envers les membres de la maison Crindur était sans doute à l'image de la valeur qu'ils accordent à la nation Centaure. Tout comme le peu de valeur qu'ils avaient accordé à la vie d'un des jeunes centaures en la lui prenant sans raison, par ailleurs...
Il rédigeait son message nerveusement: une banale histoire de bousculade, mais qui achevait de lui faire prendre parti dans cette histoire de relations entre sylvains et centaures.
Jusque là, il n'avait pas voulu se résoudre à choisir un camp, même s'il avait intercédé pour les sylvains auprès du Roi Théreus. Mais après la mort du Troll, alors que centaures et sylvains se rassemblaient autour de la ferme d'un paysan elfe, les bousculades commencèrent. Lui-même fut bousculé à deux reprises par des sylvains, et ne reçut aucune excuse de leur part. A la seconde, il fit part de la chose à la foule ameutée là, en promettant que le prochain qui le bousculerait sans s'excuser goûterait de son épée.
Les bousculades cessèrent, et la chasse reprit de plus belle. Finlam tua un gobelin avec l'aide de la famille, et les sylvains étaient en route pour la ville pour plaider leur cause.
Mais ce qui avait bousculé les choses, n'était autre que le cousin Vertcoeur, qui était l'auteur d'une bousculade envers un sylvain. En bon centaure civilisé, Vertcoeur présenta alors ses excuses, mais l'elfe proféra des mots dédaigneux pour toute réponse.
Ce dernier événement, pourtant insignifiant en apparence, fit bouillir de rage le Centaurion. Il tentait de relater la chose de manière objective, en y apposant -en conclusion- son propre jugement sur la chose.
Ce mépris des sylvains envers les membres de la maison Crindur était sans doute à l'image de la valeur qu'ils accordent à la nation Centaure. Tout comme le peu de valeur qu'ils avaient accordé à la vie d'un des jeunes centaures en la lui prenant sans raison, par ailleurs...