11-01-2012, 19:16:35
Se promener dans les rues de la cité, slalomant entre les arbres, saluant les gardes, taillant le bout de gras avec ceux que l'on avait connu, ceux avec lesquels l'on s'était battu. Cela faisait un an, oui, une année entière qu'elle avait disparu, le traînant dans les méandres des abysses, elle avait été sa lumière, sa muse, son inspiration, sa raison de vivre.
Mais elle l'avait abandonner, le jetant en pâture à sa solitude. Tout avait un goût de cendre depuis ce jours, la vie avait perdu toutes attirances, il ne faisait que marcher parmi les autres pou mimer un simulacre de vie alors qu'au plus profond de son être tout était mort. Tout?
Non, tapis dans le plus profond de son être, il y avait ce infime espoir, cette envie impossible, cette folie qui le maintenait à flot, cette bouée jetée dans l'océan déchaîné à laquelle il était accroché dans la plus grande des terreurs.
Et cette bouée venait de monter à la surface, au début, ce ne fut qu'un parfum, celui d'une rose, un parfum léger qu'emporte le vent doux et vicieux, il y a ensuite la surprise de retrouver ce parfum, comment? Pourquoi? Était-ce réel? Il y a alors les yeux qui cherche, traquant l'origine de la délicate odeur, et les yeux qui trouve, ce mouvement fugace dans la foule. Elle? Oui? Etait-ce un rêve éveillé? Elle avançait, doucement, ne lui offrant que son dos et sa longue chevelure d'acajou. Il n'arrivait pas à articuler un mot, il brûlait d'envie de l'appeler, d'hurler son nom, de la poursuivre, mais rien n'y faisait, il était là, pétrifié par un mélange de peur et d'appréhension.
Soudain, il sort de sa stupeur, il se met à courir, il sent dans son être la peur, il sent sa respiration haletante alors qu'il pousse les badauds pour arriver à elle.
Soudain, il la perd de vue... L'angoisse commence à le submerger. Pourquoi? POURQUOI!
Une rage commence à l'envahir alors que ses yeux continuent désespérément à la retrouver. Il a besoin d'elle, elle ne peut pas de nouveau l'abandonner, non, elle n'a pas le droit, elle doit rester près de lui, il en a besoin, il le faut... Par pitié...
Pitié... pitié...
Mais elle l'avait abandonner, le jetant en pâture à sa solitude. Tout avait un goût de cendre depuis ce jours, la vie avait perdu toutes attirances, il ne faisait que marcher parmi les autres pou mimer un simulacre de vie alors qu'au plus profond de son être tout était mort. Tout?
Non, tapis dans le plus profond de son être, il y avait ce infime espoir, cette envie impossible, cette folie qui le maintenait à flot, cette bouée jetée dans l'océan déchaîné à laquelle il était accroché dans la plus grande des terreurs.
Et cette bouée venait de monter à la surface, au début, ce ne fut qu'un parfum, celui d'une rose, un parfum léger qu'emporte le vent doux et vicieux, il y a ensuite la surprise de retrouver ce parfum, comment? Pourquoi? Était-ce réel? Il y a alors les yeux qui cherche, traquant l'origine de la délicate odeur, et les yeux qui trouve, ce mouvement fugace dans la foule. Elle? Oui? Etait-ce un rêve éveillé? Elle avançait, doucement, ne lui offrant que son dos et sa longue chevelure d'acajou. Il n'arrivait pas à articuler un mot, il brûlait d'envie de l'appeler, d'hurler son nom, de la poursuivre, mais rien n'y faisait, il était là, pétrifié par un mélange de peur et d'appréhension.
Soudain, il sort de sa stupeur, il se met à courir, il sent dans son être la peur, il sent sa respiration haletante alors qu'il pousse les badauds pour arriver à elle.
Soudain, il la perd de vue... L'angoisse commence à le submerger. Pourquoi? POURQUOI!
Une rage commence à l'envahir alors que ses yeux continuent désespérément à la retrouver. Il a besoin d'elle, elle ne peut pas de nouveau l'abandonner, non, elle n'a pas le droit, elle doit rester près de lui, il en a besoin, il le faut... Par pitié...
Pitié... pitié...