30-12-2011, 04:15:47
Au moment ou Brukia était arrivée parmi les nain déjà présent, Barnek reconnu la naine pour l'avoir déjà vue dans les rues et les établissements bien fréquentés de la capital. Il lui adressa donc un bref mouvement de la main, que d'aucuns aurait pu qualifier de relativement froid.
Néanmoins son visage et ses traits s'éclaircir légérement en voyant de la viande de loups entre les doigts de la demoiselle. La nourriture est un mode de communication bien différent de la parole et ne s'embête pas de beaucoup de détails. Au plus profond de lui Barnek appréciait donc d'une certaine manière (la sienne) la nouvelle arrivante.
Ainsi, il s'avança vers elle et lui serra brièvement la main pendant que Komodo lui adressait la parole. Entre deux phrases de ce dernier il glissa un court :
Barnek, -'chanté
Et il en profita pour prendre un morceau de viande à Brukia
Ensuite, armé d'un morceau de viande dans une main et de son indémodable cigare dans l'autre, il reposa son attention vers Komodo après son long monologue.
« Curieux » se dit Barnek en sont fort intérieur. « Il ne dit rien, il ne réagit pas, il pourrait dire quelque chose quand même le bougre ».
Accompagné de ses pensées, ses sourcils se froncèrent d'eux même.
«Il me dévisage, il va forcément dire quelque chose »
Barnek tapa doucement du pieds sur la neige, légèrement impatient. Il souffla alors une fumée vers le ciel, continuant à se demander si Komodo allait ou non se manifester.
« Il s'est coincé un os dans la gorge peut être ? Non, impossible il aurait changé de couleur depuis».
Enfin, Komdo répliqua.
Barnek ne l'interrompit pas, il avait trop attendu pour ça. Cependant il manifesta une lourde contestation durant la réponse. Ainsi il saupoudra le discours de son interlocuteur de « bah! », « peuh ! » et autres onomatopées courtes mais lourde d'objection. Il allat même à ne plus le regarder directement, à croiser les bras et en levant les yeux au ciel de temps à autre laissant monter crescendo une colère non dissimulée.
Barnek s'empourpra donc. Ce qui n'était pas bien compliqué pour son visage car celui était relativement habitué à prendre des couleurs pour un oui pour un non. Son tempérament lui donnait ainsi les fabuleuses capacités d'insuffler dans tous son corps en quelques particules de secondes l'énergie nécessaire à s'emporter violemment.
Chose relativement peu courante pour un pour un maitre des runes. Mais toutes les pierres de la montagne ne se ressemblent pas. Dans le cas de Barnek c'est de la quiétude dont il aurait fallut se méfier, mais c'est une autre histoire.
Affublé de l'un de ses éternels cigare, il perçut lui aussi la présence d'un loup s'approchant. La cocotte minute que représentait son esprit sembla perdre un niveau de pression sans toute fois cesser de siffler.
Il lâcha son morceau de viande et décrocha ses yeux de son compagnon pour plonger son poing dans la terre comme si celle-ci était liquide.
Des runes légèrement bleutées se formèrent à la surface du sol et entourèrent l'avant bras du nain.
Ceci étant, ça ne l'empêcha pas d'offrir tant bien que mal, une réponse à Komodo :
BAH ! C'était du bluff ! L'astuce de l'homme ivre fonctionne parfaitement sur tous les nigauds. Mais même si vous n'en n'êtes pas un vous auriez du perdre ! Impossible autrement !
Dit il sortant brutalement un rocher de la taille d'un chat du sol qui se craquela au niveau des runes.
A l'époque le tenancier était un ami, il ne me servait que du lait de chèvre dans ma chopine pour mettre de l'ambiance dans son bouge sans perdre le contrôle de l'affaire. Rien à voir avec l'ALCOOL !
Termina t'il en envoyant la lourde pierre en effectuant un simple mouvement rotatif qui aurait du l'envoyer à pas plus d'un mètre. Pourtant celle-ci s'envola brutalement vers le loups qui, surpris la reçu directement dans les côtes le faisant vaciller légèrement.
Barnek répétât l'opération et replongea son poing sous terre pendant que le reste de ses compagnons s'activèrent.
Et il vous à fait payer sa table ? Cette épave croulante ? Haha quel vieux brigand celui-là ... Voila un détail de l'histoire que j'ignorais et ...
Réfléchit un instant Barnek en soutenant une nouvelle pierre imposante à bout de bras. La faisant légèrement vaciller sous le poids de sa distraction.
Mais ... IL AURAIT PU ME RENDRE MA BOURSE ALORS CE DAMNE CORNICHON !!!
Il lança alors plus férocement que jamais son projectile vers le loups qui l'encaissa en roula sur un mètre cette fois-ci. Le destin de ce dernier semblait scellé au vue des nombreux coups et autres projectiles plantés dans sa carcasse.
JE T'EN VAIS ME LE TROUVER CET AUBERGISTE DE PACOTILLE ! CE NAVET DÉGARNI ! CETTE ORDURE ! CE MISÉRABLE DÉBAUCHÉ !
Il se retourna alors, fou de rage retournant d'un pas rageur vers la capitale dans la direction opposé au loup. Il attrapa son morceau de viande, son sac rajouta à l'adresse du groupe.
PARTEZ DEVANT JE VOUS RETROUVERAI, J'AI TRAVAILLE 5 ANS AVEC CE ... CE ... CETTE CHOSE ET JE NE LA LAISSERAI PAS VIVRE UN JOURS DE PLUS AVEC MON OR !
La comparaison suivante semble judicieuse, un train lancé à toute allure, munit de dents de croc et de jurons salés s'élançait maintenant, le poing brandit vers le ciels, braillant de toute sa force vers la grande Karad. Heureusement pour cette dernière ce n'était qu'une métaphore douteuse.
On pu encore l'entendre longtemps s'énerver et brailler après qu'il soit parti.
Néanmoins son visage et ses traits s'éclaircir légérement en voyant de la viande de loups entre les doigts de la demoiselle. La nourriture est un mode de communication bien différent de la parole et ne s'embête pas de beaucoup de détails. Au plus profond de lui Barnek appréciait donc d'une certaine manière (la sienne) la nouvelle arrivante.
Ainsi, il s'avança vers elle et lui serra brièvement la main pendant que Komodo lui adressait la parole. Entre deux phrases de ce dernier il glissa un court :
Barnek, -'chanté
Et il en profita pour prendre un morceau de viande à Brukia
Ensuite, armé d'un morceau de viande dans une main et de son indémodable cigare dans l'autre, il reposa son attention vers Komodo après son long monologue.
« Curieux » se dit Barnek en sont fort intérieur. « Il ne dit rien, il ne réagit pas, il pourrait dire quelque chose quand même le bougre ».
Accompagné de ses pensées, ses sourcils se froncèrent d'eux même.
«Il me dévisage, il va forcément dire quelque chose »
Barnek tapa doucement du pieds sur la neige, légèrement impatient. Il souffla alors une fumée vers le ciel, continuant à se demander si Komodo allait ou non se manifester.
« Il s'est coincé un os dans la gorge peut être ? Non, impossible il aurait changé de couleur depuis».
Enfin, Komdo répliqua.
Barnek ne l'interrompit pas, il avait trop attendu pour ça. Cependant il manifesta une lourde contestation durant la réponse. Ainsi il saupoudra le discours de son interlocuteur de « bah! », « peuh ! » et autres onomatopées courtes mais lourde d'objection. Il allat même à ne plus le regarder directement, à croiser les bras et en levant les yeux au ciel de temps à autre laissant monter crescendo une colère non dissimulée.
Barnek s'empourpra donc. Ce qui n'était pas bien compliqué pour son visage car celui était relativement habitué à prendre des couleurs pour un oui pour un non. Son tempérament lui donnait ainsi les fabuleuses capacités d'insuffler dans tous son corps en quelques particules de secondes l'énergie nécessaire à s'emporter violemment.
Chose relativement peu courante pour un pour un maitre des runes. Mais toutes les pierres de la montagne ne se ressemblent pas. Dans le cas de Barnek c'est de la quiétude dont il aurait fallut se méfier, mais c'est une autre histoire.
Affublé de l'un de ses éternels cigare, il perçut lui aussi la présence d'un loup s'approchant. La cocotte minute que représentait son esprit sembla perdre un niveau de pression sans toute fois cesser de siffler.
Il lâcha son morceau de viande et décrocha ses yeux de son compagnon pour plonger son poing dans la terre comme si celle-ci était liquide.
Des runes légèrement bleutées se formèrent à la surface du sol et entourèrent l'avant bras du nain.
Ceci étant, ça ne l'empêcha pas d'offrir tant bien que mal, une réponse à Komodo :
BAH ! C'était du bluff ! L'astuce de l'homme ivre fonctionne parfaitement sur tous les nigauds. Mais même si vous n'en n'êtes pas un vous auriez du perdre ! Impossible autrement !
Dit il sortant brutalement un rocher de la taille d'un chat du sol qui se craquela au niveau des runes.
A l'époque le tenancier était un ami, il ne me servait que du lait de chèvre dans ma chopine pour mettre de l'ambiance dans son bouge sans perdre le contrôle de l'affaire. Rien à voir avec l'ALCOOL !
Termina t'il en envoyant la lourde pierre en effectuant un simple mouvement rotatif qui aurait du l'envoyer à pas plus d'un mètre. Pourtant celle-ci s'envola brutalement vers le loups qui, surpris la reçu directement dans les côtes le faisant vaciller légèrement.
Barnek répétât l'opération et replongea son poing sous terre pendant que le reste de ses compagnons s'activèrent.
Et il vous à fait payer sa table ? Cette épave croulante ? Haha quel vieux brigand celui-là ... Voila un détail de l'histoire que j'ignorais et ...
Réfléchit un instant Barnek en soutenant une nouvelle pierre imposante à bout de bras. La faisant légèrement vaciller sous le poids de sa distraction.
Mais ... IL AURAIT PU ME RENDRE MA BOURSE ALORS CE DAMNE CORNICHON !!!
Il lança alors plus férocement que jamais son projectile vers le loups qui l'encaissa en roula sur un mètre cette fois-ci. Le destin de ce dernier semblait scellé au vue des nombreux coups et autres projectiles plantés dans sa carcasse.
JE T'EN VAIS ME LE TROUVER CET AUBERGISTE DE PACOTILLE ! CE NAVET DÉGARNI ! CETTE ORDURE ! CE MISÉRABLE DÉBAUCHÉ !
Il se retourna alors, fou de rage retournant d'un pas rageur vers la capitale dans la direction opposé au loup. Il attrapa son morceau de viande, son sac rajouta à l'adresse du groupe.
PARTEZ DEVANT JE VOUS RETROUVERAI, J'AI TRAVAILLE 5 ANS AVEC CE ... CE ... CETTE CHOSE ET JE NE LA LAISSERAI PAS VIVRE UN JOURS DE PLUS AVEC MON OR !
La comparaison suivante semble judicieuse, un train lancé à toute allure, munit de dents de croc et de jurons salés s'élançait maintenant, le poing brandit vers le ciels, braillant de toute sa force vers la grande Karad. Heureusement pour cette dernière ce n'était qu'une métaphore douteuse.
On pu encore l'entendre longtemps s'énerver et brailler après qu'il soit parti.