12-07-2011, 12:44:26
Gwendolwenn avait laissé Eydan retourner vers Asteras, puisqu'il avait déjà complété plus qu'il n'en fallait son chargement, et partit a son tour à la recherche de chênes. Elle avait atteint le marais sans rien trouver, et l'avait traversé de quelques coup d'ailes magiques. Elle se dit que si déjà elle était si loin à l'est, elle pourrait pousser jusqu'au mythique champ de fleurs de mana, mais tout ce qu'elle trouva était une plaine rasée de près, et un elfe aux poches pleines de pétales magiques. Elle le connaissait pour avoir eu l'occasion de le côtoyer a plusieurs reprises que ce soit dans la caverne du fou ou contre le Thana, mais leur rencontre fut fugace, car il semblait aussi pressé que blessé.
Elle remonta vers un bois au nord. Gwendolwenn avait bien fait de pousser aussi loin, elle trouva enfin un chêne de qualité, apte a lui fournir ce qui lui manquait pour combler le malheureux pêcheur. Armée de son appui du mage, elle entreprit patiemment de carboniser la base des branches qu'elle souhaitait prélever. Cela lui permettait de ne pas être gênée par son état toujours plus galbé. Une fois sa récolte terminée, elle se dirigea droit à l'ouest, vers Asteras. La route était longue, mais les vents favorables. Ils l'étaient d'ailleurs toujours pour l'élémentaliste, quelle que fut la direction de son voyage.
Chemin faisant, elle entendit le cliquetis de nombreuses pièces de métal, des pas, des coups, des cris. En s'approchant prudemment, elle vit une cohorte de nains. Les haches contre les boucliers, les arcs cognant les jambières, les bâtons de mages frappant le sol, les écailles des cotes de mithril tintinant entre elles, voilà ce qu'elle avait entendu... Bien qu'elle fut parée de l'écusson des Compagons d'Ecridel, Gwendolwenn avait fait don de son anneau des Bras d'Argent qui lui aurait peut-être servi de laisser-passer en cette circonstance, aussi préféra-t-elle faire marche arrière, et contourner largement cette armée et leur point de destination, les fructueuses mines récemment découvertes. Cela l'obligerai a passer loin au sud sous les marais avec son fardeau, mais mieux valait que ce serve a réparer le bateau qu'à lui faire un cercueil.
Elle sentit un flux magique l'atteindre et aperçu en se retournant le nain qui l'avait visée. Soulagement. C'était un compagnon d'Ecridel, et il avait fait de sa peau une matière aussi dure que la pierre. Il n'était pas seul. Le suivait un nain au teint et aux poils passablement roussis. Il devaut souvent jouer avec le feu, car son épée était faite de cet élément.
Elle posa son fardeau de branches de chêne, joignit humblement ses mains pour le salut des méditantes et se présenta, avant de remarquer que les deux nains non plus n'étaient pas seuls.
Effectivement d'autres compagnons ne tardèrent pas à montrer le bout de leurs bottes.
Elle remonta vers un bois au nord. Gwendolwenn avait bien fait de pousser aussi loin, elle trouva enfin un chêne de qualité, apte a lui fournir ce qui lui manquait pour combler le malheureux pêcheur. Armée de son appui du mage, elle entreprit patiemment de carboniser la base des branches qu'elle souhaitait prélever. Cela lui permettait de ne pas être gênée par son état toujours plus galbé. Une fois sa récolte terminée, elle se dirigea droit à l'ouest, vers Asteras. La route était longue, mais les vents favorables. Ils l'étaient d'ailleurs toujours pour l'élémentaliste, quelle que fut la direction de son voyage.
Chemin faisant, elle entendit le cliquetis de nombreuses pièces de métal, des pas, des coups, des cris. En s'approchant prudemment, elle vit une cohorte de nains. Les haches contre les boucliers, les arcs cognant les jambières, les bâtons de mages frappant le sol, les écailles des cotes de mithril tintinant entre elles, voilà ce qu'elle avait entendu... Bien qu'elle fut parée de l'écusson des Compagons d'Ecridel, Gwendolwenn avait fait don de son anneau des Bras d'Argent qui lui aurait peut-être servi de laisser-passer en cette circonstance, aussi préféra-t-elle faire marche arrière, et contourner largement cette armée et leur point de destination, les fructueuses mines récemment découvertes. Cela l'obligerai a passer loin au sud sous les marais avec son fardeau, mais mieux valait que ce serve a réparer le bateau qu'à lui faire un cercueil.
Elle sentit un flux magique l'atteindre et aperçu en se retournant le nain qui l'avait visée. Soulagement. C'était un compagnon d'Ecridel, et il avait fait de sa peau une matière aussi dure que la pierre. Il n'était pas seul. Le suivait un nain au teint et aux poils passablement roussis. Il devaut souvent jouer avec le feu, car son épée était faite de cet élément.
Elle posa son fardeau de branches de chêne, joignit humblement ses mains pour le salut des méditantes et se présenta, avant de remarquer que les deux nains non plus n'étaient pas seuls.
Effectivement d'autres compagnons ne tardèrent pas à montrer le bout de leurs bottes.