21-06-2011, 09:22:27
"Laisse moi passer nain !" Grabuge coupa la route a Idylis
"Je suis mandaté pour accompagner l'arpenteuse, je dois l'aider"
Grabuge s'écarta, il avait eu raison car les tensions récentes entre les deux peuples faisait qu'il fallait se méfier de tout le monde.
"Je te remercie." Idylis s'approcha alors de l'arpenteuse , elle salua Conin et Ehluine, la présence de l'arpenteuse faisait disparaitre toute les tensions entre les trois compagnons qui démarraient une quête commune avec les leurs qui étaient encore en retrait. Il fallait peut être voir la un signe avant coureur d'espoir de rapprochement des deux peuples, mais pour l'instant, les idées étaient mises de coté, la santé de l'arpenteuse passé avant tout.
Idylis demanda a Conin et Ehluine si elle pouvait porter les sacs pour alléger les deux acolytes qui avaient fait preuve d'extrêmement de sagesse pour s'allier et emmener l'arpenteuse vers sa destination.
Conin semblait hésiter, sans doute avait-il peur qu'Idylis lui vole des objets, en attendant une réponse, elle commença a chanter l'une des chansons de ses contrés que les paysans avaient l'habitude de chanter lorsque les enfants ont peur le soir et que son père lui chantait lorsqu'il était vivant. Son chant était doux et aspirait a la paix, il racontait les exploits des ancêtres, le commencement du monde, de la nature et la paix entre nains et elfes qui dans une époque très ancienne faisait régner la justice et le bien etre sur les contrés d'Andoras.
"
Ai ! laurië lantar lassi súrinen,
yéni únótimë ve rámar aldaron !
Yéni ve lintë yuldar avánier
mi oromardi lissë-miruvóreva
Andúnë pella, Vardo tellumar
nu luini yassen tintilar i eleni
ómaryo airetári-lírinen.
Sí man i yulma nin enquantuva ?
An sí Tintallë Varda Oiolossëo
ve fanyar máryat Elentári ortanë
ar ilyë tier undulávë lumbulë
ar sindanóriello caita mornië
i falmalinnar imbë met, ar hísië
untúpa Calaciryo míri oialë.
Sí vanwa ná, Rómello vanwa, Valimar !
Namárië ! Nai hiruvalyë Valimar !
Nai elyë hiruva ! Namárië !
"
Ces chansons ne pouvaient qu'apaiser les humeurs, le voyage serait long, mais les peuples qui marchaient cote à cote ne pouvait que raviver la flamme dans le cœur d'Idylis car le monde qu'elle souhaitait été a cette image.
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hrp:Source de la chanson ( ne pas regarder la traduction svp ) : http://jeuderoles.forumactif.com/t757-de...ts-elfique
"Je suis mandaté pour accompagner l'arpenteuse, je dois l'aider"
Grabuge s'écarta, il avait eu raison car les tensions récentes entre les deux peuples faisait qu'il fallait se méfier de tout le monde.
"Je te remercie." Idylis s'approcha alors de l'arpenteuse , elle salua Conin et Ehluine, la présence de l'arpenteuse faisait disparaitre toute les tensions entre les trois compagnons qui démarraient une quête commune avec les leurs qui étaient encore en retrait. Il fallait peut être voir la un signe avant coureur d'espoir de rapprochement des deux peuples, mais pour l'instant, les idées étaient mises de coté, la santé de l'arpenteuse passé avant tout.
Idylis demanda a Conin et Ehluine si elle pouvait porter les sacs pour alléger les deux acolytes qui avaient fait preuve d'extrêmement de sagesse pour s'allier et emmener l'arpenteuse vers sa destination.
Conin semblait hésiter, sans doute avait-il peur qu'Idylis lui vole des objets, en attendant une réponse, elle commença a chanter l'une des chansons de ses contrés que les paysans avaient l'habitude de chanter lorsque les enfants ont peur le soir et que son père lui chantait lorsqu'il était vivant. Son chant était doux et aspirait a la paix, il racontait les exploits des ancêtres, le commencement du monde, de la nature et la paix entre nains et elfes qui dans une époque très ancienne faisait régner la justice et le bien etre sur les contrés d'Andoras.
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Ai ! laurië lantar lassi súrinen,
yéni únótimë ve rámar aldaron !
Yéni ve lintë yuldar avánier
mi oromardi lissë-miruvóreva
Andúnë pella, Vardo tellumar
nu luini yassen tintilar i eleni
ómaryo airetári-lírinen.
Sí man i yulma nin enquantuva ?
An sí Tintallë Varda Oiolossëo
ve fanyar máryat Elentári ortanë
ar ilyë tier undulávë lumbulë
ar sindanóriello caita mornië
i falmalinnar imbë met, ar hísië
untúpa Calaciryo míri oialë.
Sí vanwa ná, Rómello vanwa, Valimar !
Namárië ! Nai hiruvalyë Valimar !
Nai elyë hiruva ! Namárië !
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Ces chansons ne pouvaient qu'apaiser les humeurs, le voyage serait long, mais les peuples qui marchaient cote à cote ne pouvait que raviver la flamme dans le cœur d'Idylis car le monde qu'elle souhaitait été a cette image.
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hrp:Source de la chanson ( ne pas regarder la traduction svp ) : http://jeuderoles.forumactif.com/t757-de...ts-elfique