22-05-2011, 12:36:21
"3ème page"
La première partie du voyage se fit sans encombres, le gué septentrional de l'Erion était visible depuis plusieurs lieues, et jusque là il y avait peu de chance de rencontrer des elfes vivants. Car ils ne connaissaient que trop bien notre politique quant aux intrusions sur nos terres.
Une fois au gué, nous adoptâmes une formation pour détecter les oreilles pointues et les empêcher de prévenir les leurs de notre arrivée.
Les rangers et éclaireurs ouvraient la marche, suivis des guerriers et des maîtres des runes.
Nous ne subirent que peu de résistance jusqu'à l'orée de la forêt. Mais notre champ de vision réduit par tous ces arbres ne nous permit pas d'empêcher certains elfes des environs de partir donner l'alerte. Ils n'allaient pas tarder à s'organiser et à préparer une contre-offensive, nous devions agir vite ! Nous redoublâmes d'efforts pour rattraper les fuyards. Mais il était déjà trop tard ...
A peine sortis des bois, nous vîmes un groupe de guerriers postés devant Tilador Erdana. La bataille allait commencer !
Dès le premier assaut, la folie du sang nous envahit, aussi ne vîmes nous pas que la garde d'élite sortait des portes de la ville. La folie laissa place au chaos dans une désorganisation des plus complètes, quelques uns partirent explorer la ville et furent bloqués par les soldats restés à l'intérieur, d'autres périrent sous les coups de ces elfes surentrainés et bien équipés ... Pour finir, nous vîmes des troupes au loin arrivant d'Astera !
Nous dûmes nous replier le plus rapidement possible, nous avions échoué ... Les elfes comme les nains pissaient le sang. Les guerriers les moins touchés aidaient les blessés à marcher et c'est dans une ambiance lourde, bien connue de ceux qui ont déjà survécu assez longtemps pour voir le champ de bataille, que nous dûmes retirés.
Personne ne pensait au bilan car il était catastrophique et qu'il était plus urgent de retourner dans nos terres avant que les guerriers tout frais nous atteignent.
Nous avions perdu une bataille mais nous aurions d'autres occasions de nous venger…
La première partie du voyage se fit sans encombres, le gué septentrional de l'Erion était visible depuis plusieurs lieues, et jusque là il y avait peu de chance de rencontrer des elfes vivants. Car ils ne connaissaient que trop bien notre politique quant aux intrusions sur nos terres.
Une fois au gué, nous adoptâmes une formation pour détecter les oreilles pointues et les empêcher de prévenir les leurs de notre arrivée.
Les rangers et éclaireurs ouvraient la marche, suivis des guerriers et des maîtres des runes.
Nous ne subirent que peu de résistance jusqu'à l'orée de la forêt. Mais notre champ de vision réduit par tous ces arbres ne nous permit pas d'empêcher certains elfes des environs de partir donner l'alerte. Ils n'allaient pas tarder à s'organiser et à préparer une contre-offensive, nous devions agir vite ! Nous redoublâmes d'efforts pour rattraper les fuyards. Mais il était déjà trop tard ...
A peine sortis des bois, nous vîmes un groupe de guerriers postés devant Tilador Erdana. La bataille allait commencer !
Dès le premier assaut, la folie du sang nous envahit, aussi ne vîmes nous pas que la garde d'élite sortait des portes de la ville. La folie laissa place au chaos dans une désorganisation des plus complètes, quelques uns partirent explorer la ville et furent bloqués par les soldats restés à l'intérieur, d'autres périrent sous les coups de ces elfes surentrainés et bien équipés ... Pour finir, nous vîmes des troupes au loin arrivant d'Astera !
Nous dûmes nous replier le plus rapidement possible, nous avions échoué ... Les elfes comme les nains pissaient le sang. Les guerriers les moins touchés aidaient les blessés à marcher et c'est dans une ambiance lourde, bien connue de ceux qui ont déjà survécu assez longtemps pour voir le champ de bataille, que nous dûmes retirés.
Personne ne pensait au bilan car il était catastrophique et qu'il était plus urgent de retourner dans nos terres avant que les guerriers tout frais nous atteignent.
Nous avions perdu une bataille mais nous aurions d'autres occasions de nous venger…