16-04-2011, 16:32:22
Zohran semblait en savoir plus sur la bête que le nanillon. Il la rassura, lui expliquant que ce n'était pas un dragon, mais un serpent de mer gigantesque qui avait remonté le fleuve – ce qui en soi ne la rassura guère par rapport à un dragon – et surtout que les elfes ne venaient pas avec le serpent, mais par intérêt pour lui. Les éclaireurs nains avaient repéré le groupe depuis bien longtemps et le fleuve prenait sa source bien à l'est de Karad, la situation n'était donc pas aussi préoccupante. Ce qui l'était en revanche était peut-être le face-à-face entre elfes et nains. Dans la situation analogue du Thana Da Niluhan cela avait dégénéré en conflit.
Elle tiqua quelque peu quand il laissa entendre que la bête était en fait douée de communication... et de magie. Il n'en fallu pas plus pour la décider à aller à la rencontre de ce mystérieux inconnu écaillé. Peut-être aurait-elle plus de chance dans sa quête pour la reconnaissance de toute race consciente en Ecridel de le convaincre de devenir membre des compagnons d'Ecridel à titre honorifique qu'elle n'en avait eut avec le Korrigan – qui l'avait tuée – ou avec les gobelins – qu'elle avait dû tuer –.
Elle informa ses compagnons de sa décision d'aller voir le reptile marin, mais l'un était occupé à rendre service à un notable de Karad, l'autre cherchait des informations sur tel lieu qu'il devait rapporter à telle personne, le troisième souhaitait visiter la capitale naine, un quatrième allait à l'école de magie avec un cinquième dans le but d'apprendre des sorts avant de quitter la ville, le sixième discutaillaient de la culture naine, le septième ronchonait qu'il était rouillé et qu'il devait d'urgence s'entrainer et le huitième s'était perdu en route avant d'arriver à Karad.
Aussi promit-elle à Zohran de le tenir informé de ce qu'elle pourrait apprendre là-bas, prenant à cet effet la route avec pour seul compagnon un pigeon voyageur dont le vocabulaire se limitait à « Roûû ».
Elle tiqua quelque peu quand il laissa entendre que la bête était en fait douée de communication... et de magie. Il n'en fallu pas plus pour la décider à aller à la rencontre de ce mystérieux inconnu écaillé. Peut-être aurait-elle plus de chance dans sa quête pour la reconnaissance de toute race consciente en Ecridel de le convaincre de devenir membre des compagnons d'Ecridel à titre honorifique qu'elle n'en avait eut avec le Korrigan – qui l'avait tuée – ou avec les gobelins – qu'elle avait dû tuer –.
Elle informa ses compagnons de sa décision d'aller voir le reptile marin, mais l'un était occupé à rendre service à un notable de Karad, l'autre cherchait des informations sur tel lieu qu'il devait rapporter à telle personne, le troisième souhaitait visiter la capitale naine, un quatrième allait à l'école de magie avec un cinquième dans le but d'apprendre des sorts avant de quitter la ville, le sixième discutaillaient de la culture naine, le septième ronchonait qu'il était rouillé et qu'il devait d'urgence s'entrainer et le huitième s'était perdu en route avant d'arriver à Karad.
Aussi promit-elle à Zohran de le tenir informé de ce qu'elle pourrait apprendre là-bas, prenant à cet effet la route avec pour seul compagnon un pigeon voyageur dont le vocabulaire se limitait à « Roûû ».