15-09-2017, 21:42:34
L'homme, couvert de fourrures et vêtu d'une étrange cape aux couleurs changeantes, se figea en voyant apparaître le nain. Manifestement, sa présence n'avait pas été dans ses plans.
Il sembla le jauger du regard le temps d'une fraction de seconde, puis décida de sa réponse : Dans un ample mouvement de bras, une hachette fusa vers le forgeterre, et l'instant suivant, l'étrange rôdeur s'était fondu entre les arbres. Rien à son emplacement ne laissait présumer qu'un humain s'était tenu là.
Rien qu'une douleur lancinante et quelques sueurs givrées coulant le long du cou du nain, augurant de sinistres complications.
Alentours, alors que les compagnons du nain arrivaient sur ses talons, tous purent comprendre que le placide cercle avait été perturbé par ces attaques.
La majorité des feux follets extérieurs avaient perdu en éclat, et lançaient des décharges erratiques, sans doute pour tenter de toucher leurs adversaires invisibles. Le feu follet central, lui, bourdonnait d'un aigu bien plus perçant que d'ordinaire, et que les Nains comme les Agars interprétèrent comment de la panique et de l'indignation.
Interprétation qui leur fut rapidement confirmée. A l'instar de ses congénères, le Feu Follet sembla rassembler ses forces, et les familiers des arcanes présents sur les lieux purent sentir d'avantage encore les torsions du Mana leur retourner l'estomac.
Puis, soudain, de titanesques rayons fusèrent sans signe avant coureur -quoique peut-être un léger instant de flottement silencieux- dans des directions opposées.
L'un d'eux, dans un crépitement arcanique, heurta de plein fouet les pauvres Fossoyeuse, Dragon et Ashlarak, pourtant encore à quelques dizaines de mètres de là, tandis qu'un autre frappa bien plus proche et plus spectaculairement un rôdeur qui s'était approché de son cercle. Dans un énorme flash lumineux, les végétaux alentours commencèrent à s'embraser, et bien ironiquement, le rayon du Feu follet primaire revint du rôdeur vers ses propres congénères, continuant la besogne des mystérieux individus... Et affolant encore plus les êtres éthérés, qui ne semblaient prêts qu'à recommencer leurs tentatives désespérées.
Il sembla le jauger du regard le temps d'une fraction de seconde, puis décida de sa réponse : Dans un ample mouvement de bras, une hachette fusa vers le forgeterre, et l'instant suivant, l'étrange rôdeur s'était fondu entre les arbres. Rien à son emplacement ne laissait présumer qu'un humain s'était tenu là.
Rien qu'une douleur lancinante et quelques sueurs givrées coulant le long du cou du nain, augurant de sinistres complications.
Alentours, alors que les compagnons du nain arrivaient sur ses talons, tous purent comprendre que le placide cercle avait été perturbé par ces attaques.
La majorité des feux follets extérieurs avaient perdu en éclat, et lançaient des décharges erratiques, sans doute pour tenter de toucher leurs adversaires invisibles. Le feu follet central, lui, bourdonnait d'un aigu bien plus perçant que d'ordinaire, et que les Nains comme les Agars interprétèrent comment de la panique et de l'indignation.
Interprétation qui leur fut rapidement confirmée. A l'instar de ses congénères, le Feu Follet sembla rassembler ses forces, et les familiers des arcanes présents sur les lieux purent sentir d'avantage encore les torsions du Mana leur retourner l'estomac.
Puis, soudain, de titanesques rayons fusèrent sans signe avant coureur -quoique peut-être un léger instant de flottement silencieux- dans des directions opposées.
L'un d'eux, dans un crépitement arcanique, heurta de plein fouet les pauvres Fossoyeuse, Dragon et Ashlarak, pourtant encore à quelques dizaines de mètres de là, tandis qu'un autre frappa bien plus proche et plus spectaculairement un rôdeur qui s'était approché de son cercle. Dans un énorme flash lumineux, les végétaux alentours commencèrent à s'embraser, et bien ironiquement, le rayon du Feu follet primaire revint du rôdeur vers ses propres congénères, continuant la besogne des mystérieux individus... Et affolant encore plus les êtres éthérés, qui ne semblaient prêts qu'à recommencer leurs tentatives désespérées.