02-06-2017, 10:24:10
Les sourcils froncés, j'accompagnais la petite troupe chargée de la mission de sauvetage de la caldras.
Mais une fois n'est pas coutume, j'étais peu convaincue par les explications -trop rares et insuffisantes- données par les autorités taliennes.
Ma principale interrogation restant -et visiblement je n'étais pas la seule à me la poser- sur l'intérêt des présumés agars à kidnapper une caldras.
L'objectif de souhaiter faire une demande de rançon une fois l'otage en sécurité me paraît être une explication peu pertinente et assez décalée par rapport aux coutumes habituelles des Nordiques. Le pillage récent de Tilador en était la preuve.
Je commence à supposer un sombre et obscur jeu de complot, qui ne sort probablement guère des sphères taliennes.
Sans doute ces hommes de main étaient-ils de simples mercenaires déguisés en guerrier agar embauché par un adversaire politique de Guisepe de de Malciatre, le père de la disparue.
Hélas, cela faisait bien trop longtemps que je m'étais tenue à l'écart de la vie politique d'Yris, et je compte en dehors de cette affaire, le rester.
Ainsi, j'interpella le soldat à mes côtés qui semblait se nommer Amoen :
« Avez-vous de plus amples informations sur le père de notre objectif, le caldras de Port-Noir ?
Savons-nous s'il a des ennemis dans la sphère politique d'Yris, ou des tensions avec d'autres caldras ?
Est-il actuellement dans une situation économique stable, ou a-t-il au contraire des soucis qu'il n'aurait pas forcément évoqué lorsqu'il est venu signaler la disparition de sa fille ?"
Et avant d'attendre la réponse du soldat, je lança à la première ligne de notre troupe qui déjà chargeait vers le bord du fleuve :
« Est-il possible que vous m'en gardiez un en vie pour interrogatoire, ou du moins pas trop abîmé ? Et en général, pourriez vous éviter de détruire des preuves potentiellement importantes ? Je vous en serais grée…»
Mais, pessimiste, je doutais d'avance que ma demande ai été correctement perçue, et qu'elle soit respectée…
Mais une fois n'est pas coutume, j'étais peu convaincue par les explications -trop rares et insuffisantes- données par les autorités taliennes.
Ma principale interrogation restant -et visiblement je n'étais pas la seule à me la poser- sur l'intérêt des présumés agars à kidnapper une caldras.
L'objectif de souhaiter faire une demande de rançon une fois l'otage en sécurité me paraît être une explication peu pertinente et assez décalée par rapport aux coutumes habituelles des Nordiques. Le pillage récent de Tilador en était la preuve.
Je commence à supposer un sombre et obscur jeu de complot, qui ne sort probablement guère des sphères taliennes.
Sans doute ces hommes de main étaient-ils de simples mercenaires déguisés en guerrier agar embauché par un adversaire politique de Guisepe de de Malciatre, le père de la disparue.
Hélas, cela faisait bien trop longtemps que je m'étais tenue à l'écart de la vie politique d'Yris, et je compte en dehors de cette affaire, le rester.
Ainsi, j'interpella le soldat à mes côtés qui semblait se nommer Amoen :
« Avez-vous de plus amples informations sur le père de notre objectif, le caldras de Port-Noir ?
Savons-nous s'il a des ennemis dans la sphère politique d'Yris, ou des tensions avec d'autres caldras ?
Est-il actuellement dans une situation économique stable, ou a-t-il au contraire des soucis qu'il n'aurait pas forcément évoqué lorsqu'il est venu signaler la disparition de sa fille ?"
Et avant d'attendre la réponse du soldat, je lança à la première ligne de notre troupe qui déjà chargeait vers le bord du fleuve :
« Est-il possible que vous m'en gardiez un en vie pour interrogatoire, ou du moins pas trop abîmé ? Et en général, pourriez vous éviter de détruire des preuves potentiellement importantes ? Je vous en serais grée…»
Mais, pessimiste, je doutais d'avance que ma demande ai été correctement perçue, et qu'elle soit respectée…