26-01-2017, 12:13:46
-" c'est un peu de ma faute, j'ai testé un ou deux coups de hache pour voir si avec le nombre de sorts que vous lui avez jetés je lui faisais plus de mal ... bah franchement pas grand chose de plus, je l'ai à peine égratigné ... " avança Barik l'air déconfit
-" j'sais pas il a du faire un excès de zèle ou une déprime parcequ'il était loin d'être à l'agonie quand j'ai eu terminé de le taper, il avait pas de blessures particulièrement horribles, il aurait pu s'en sortir ..."
** le temps que je lui écrase les noix et que je lui fourre une épée dans le gosier à ce tueur de nains .. ces enflures pactisent avec des orcs et il faudrait leur laisser la vie ? jamais !! ** pensa Barik en voyant certain de ses compagnons faire preuve de compassion.
le vieux nain avait bien conscience que ce n'était pas le moment d'avoir une discussion moralisatrice sur le fait de tuer un prisonnier désarmé, c'était douteux mais bon après tout ces mercenaires avaient perdus leur sens de l'honneur depuis longtemps, il ne restait en eux que l'instinct d'un animal enragé, leur sort était scellé, il était du même avis que Gorbad :
-" Vengeons nos morts, massacrons ces salopards de traitres jusqu'au dernier, un point c'est tout " dit-il en conclusion, crachant sur le cadavre ensanglanté du mercenaire.
Il le trainât ensuite sur quelques mètres de façon à ce que l'on ne puisse pas le voir immédiatement en entrant dans la pièce, puis, profitant d'une torche consumée, il passa ses lames, ses mains et son visage au noir de suie afin de gagner en capacité de dissimulation. Il enveloppa ensuite son camail avec un vieux chiffon sale pour qu'il ne reflète plus la lumière.
Les adversaires étaient coriaces, autant conserver l'élément de surprise aussi longtemps que possible, même si pour cela il fallait oublier toute dignité et se déguiser en crotteux. Il ne restait que l'abjecte odeur de sueur à masquer mais c'était pour le moment tout bonnement impossible.
En longeant les murs aussi discrètement que son barda lui permettait , il suivait du regard la progression de Grunielda qui avait pris la tête du petit groupe avec la fossoyeuse.
Elles s'immobilisèrent tout à coup.
Profitant des ombres pour se cacher à la hâte, elles indiquèrent d'un signe bref l'arrivée de deux autres voleurs.
** Va y avoir du rab de tripes mes cocos ** se dit Barik en préparant ses haches, accroupi au sol, prêt à bondir sur le premier qui passerai à sa portée.
-" j'sais pas il a du faire un excès de zèle ou une déprime parcequ'il était loin d'être à l'agonie quand j'ai eu terminé de le taper, il avait pas de blessures particulièrement horribles, il aurait pu s'en sortir ..."
** le temps que je lui écrase les noix et que je lui fourre une épée dans le gosier à ce tueur de nains .. ces enflures pactisent avec des orcs et il faudrait leur laisser la vie ? jamais !! ** pensa Barik en voyant certain de ses compagnons faire preuve de compassion.
le vieux nain avait bien conscience que ce n'était pas le moment d'avoir une discussion moralisatrice sur le fait de tuer un prisonnier désarmé, c'était douteux mais bon après tout ces mercenaires avaient perdus leur sens de l'honneur depuis longtemps, il ne restait en eux que l'instinct d'un animal enragé, leur sort était scellé, il était du même avis que Gorbad :
-" Vengeons nos morts, massacrons ces salopards de traitres jusqu'au dernier, un point c'est tout " dit-il en conclusion, crachant sur le cadavre ensanglanté du mercenaire.
Il le trainât ensuite sur quelques mètres de façon à ce que l'on ne puisse pas le voir immédiatement en entrant dans la pièce, puis, profitant d'une torche consumée, il passa ses lames, ses mains et son visage au noir de suie afin de gagner en capacité de dissimulation. Il enveloppa ensuite son camail avec un vieux chiffon sale pour qu'il ne reflète plus la lumière.
Les adversaires étaient coriaces, autant conserver l'élément de surprise aussi longtemps que possible, même si pour cela il fallait oublier toute dignité et se déguiser en crotteux. Il ne restait que l'abjecte odeur de sueur à masquer mais c'était pour le moment tout bonnement impossible.
En longeant les murs aussi discrètement que son barda lui permettait , il suivait du regard la progression de Grunielda qui avait pris la tête du petit groupe avec la fossoyeuse.
Elles s'immobilisèrent tout à coup.
Profitant des ombres pour se cacher à la hâte, elles indiquèrent d'un signe bref l'arrivée de deux autres voleurs.
** Va y avoir du rab de tripes mes cocos ** se dit Barik en préparant ses haches, accroupi au sol, prêt à bondir sur le premier qui passerai à sa portée.