05-06-2016, 12:22:17
An 310 de l'ère du Renouveau : Début de la manche IV.
Les récents événements, la mort du Thain Burim III et les conflits engendrés par les maisons pendant le court règne du Thain Gragni, sont encore présents dans tous les esprits. Les nains oublient difficilement, et les nombreuses pages noircies du registre des Doléances lors de cette période en sont une preuve.
Bien que son origine modeste a fait grincer les dents, Tharn, ancien capitaine de la garde de Karad Zirkommen, a pacifié le conflit et a pris le pouvoir pour remettre le royaume nain sur la bonne voie. Le rôle de Thain lui a été naturellement octroyé. Les premiers temps de son règne sont sans encombre et les nains prospèrent retrouvant en partie leur gloire d'antan. La corporation Grunderson et la maison Montecoffre profitent le plus de cet enrichissement. En parallèle, les relations commerciales avec les Agars se développent allant même jusqu'à diversifier la nourriture et la boisson. Des recettes naines mêlant poisson et bière voient le jour.
Comme vous le savez cependant, les nains ont des prédispositions à la bureaucratie et à la contestation, et cette période de calme ne pouvait pas durer. La Maison Plonge-Mestal l'accuse lors d'une séance du parlement de privilégier la corporation Grunderson et la Maison Montecoffre. Le débat s'envenime, et la rancune de la grande Maison est exposée au grand jour. La virulente réponse du Thain provoque la colère de Bikram Plonge-Mestal. Dans la précipitation, il organise un coup d'état mais le Thain, grâce à son passé militaire le déjoue aisément. Destitué de son droit de membre de la Haute-Cour, Bikram regrette amèrement les événements, et se doit de racheter ses fautes pour retrouver sa place.
Si les grandes Maisons sont favorables au Thain, les faits exposés lors de ce coup d'état méritent réflexion : aucun lien avec une grande maison, profits de la corporation Grunderson au détriment de la sécurité dans les mines, officialisation de la caste des Forgeterres, politique en faveur des maisons du bas-peuple.
Les récents événements, la mort du Thain Burim III et les conflits engendrés par les maisons pendant le court règne du Thain Gragni, sont encore présents dans tous les esprits. Les nains oublient difficilement, et les nombreuses pages noircies du registre des Doléances lors de cette période en sont une preuve.
Bien que son origine modeste a fait grincer les dents, Tharn, ancien capitaine de la garde de Karad Zirkommen, a pacifié le conflit et a pris le pouvoir pour remettre le royaume nain sur la bonne voie. Le rôle de Thain lui a été naturellement octroyé. Les premiers temps de son règne sont sans encombre et les nains prospèrent retrouvant en partie leur gloire d'antan. La corporation Grunderson et la maison Montecoffre profitent le plus de cet enrichissement. En parallèle, les relations commerciales avec les Agars se développent allant même jusqu'à diversifier la nourriture et la boisson. Des recettes naines mêlant poisson et bière voient le jour.
Comme vous le savez cependant, les nains ont des prédispositions à la bureaucratie et à la contestation, et cette période de calme ne pouvait pas durer. La Maison Plonge-Mestal l'accuse lors d'une séance du parlement de privilégier la corporation Grunderson et la Maison Montecoffre. Le débat s'envenime, et la rancune de la grande Maison est exposée au grand jour. La virulente réponse du Thain provoque la colère de Bikram Plonge-Mestal. Dans la précipitation, il organise un coup d'état mais le Thain, grâce à son passé militaire le déjoue aisément. Destitué de son droit de membre de la Haute-Cour, Bikram regrette amèrement les événements, et se doit de racheter ses fautes pour retrouver sa place.
Si les grandes Maisons sont favorables au Thain, les faits exposés lors de ce coup d'état méritent réflexion : aucun lien avec une grande maison, profits de la corporation Grunderson au détriment de la sécurité dans les mines, officialisation de la caste des Forgeterres, politique en faveur des maisons du bas-peuple.
Citation :Le Thain Thârn.
Son physique assez commun contraste avec son caractère plutôt pacifique (pour un nain). Ancien capitaine de la garde, il privilégie en tant que Thain, une politique favorable aux nains plus modestes, et récompensant les travailleurs acharnés. Cette ligne de conduite relance l'économie du royaume :
- le capital des roturiers augmente donc l'argent placé à la banque aussi;
- un travail mérite salaire, et cette devise pousse les ouvriers à l'acharnement. Les corporations en tirent donc un avantage.
Ses décisions sont prises après consultation du peuple et des grandes maisons, et les séances de l'assemblée des longues barbes deviennent interminables.