01-05-2016, 09:30:30
Le Président du Præsidium avait pour ambition, dans sa nouvelle cité, d'ouvrir un Grand Musée Muséum de Georgegrad. Et il avait pour ambition d'ouvrir, dans ce musée, une section Histoire naturelle. Hélas, il se rendit compte qu'il manquait cruellement d'objets à ajouter à la collection. Il appela le Vice-Président du Præsidium, Chancellier-Pinte de l'Ordre, et lui dit : "Nous devons trouver de quoi remplir notre grand musée, afin de faire rayonner notre ordre, nos idéaux, et la science ! La Corne de Melfred semble être une destination de choix. Va ! Je vous rejoindrais sur la route, car j'ai à faire"
C'est ainsi que le Chancellier-Pinte se retrouva à mener une expédition en plein Ingemann. Il fut fort surpris, toutefois, lorsqu'il appris par ses éclaireurs que des chiens de magicalistes se trouvaient déjà dans la place. Que faisaient-ils là, quels intérêts avaient-ils dans la culture, eux, ces ignares ? Ils cherchaient, à n'en pas douter, à revendre au plus offrant les objets qu'ils trouveraient, poursuivant ainsi le seul et unique but des magicalistes : gagner de l'argent. Ce massacre du patrimoine naturel devait cesser, se dit le Vice-Président. Il faut chasser au plus vite ces immondices de ces terres.
L'expédition coruniste se rapprochait jour après jour du groupe de vils et cupides magicalistes. Lorsqu'un soir, à l'heure de la bière et de l'hydromel, il fut constaté que l'ennemi se trouvait assez proche pour envisager une confrontation dès demain, les corunistes s'installèrent, et allumèrent de grands feux afin d'avertir leurs adversaires de leur présence. En effet, contrairement aux magicalistes, les corunistes étaient des gens d'honneur, et ils ne tombaient pas sur leurs ennemis sans prévenir.
Il fut également décidé d'envoyer demain à l'aube un émissaire, le sage Thorard, dans le camp de leurs ennemis afin de discuter des modalités des hostilités.
Le lendemain, un peu après l'aube, le camarade Thorard revint au camp coruniste avec pour toute réponse des magicalistes quatre flèches fichés dans son armure. Bien que les modalités de négociation de l'ennemi étaient de fait assez peu évoluées, Biereforever sût déchiffrer le message de ses adversaires, et il en déduisit qu'il devait initier les hostilités sans délai.
En avant camarades ! Chargez ! Sus à ces chiens de magicalistes !
Le Grand-Pinte de l'Ordre, lui, avait fini ses affaires à Georgegrad, et il se dit qu'il ferait mieux de partir à la suite de ses camarades et de venir à leur rencontre sur le chemin du retour.
C'est ainsi que le Chancellier-Pinte se retrouva à mener une expédition en plein Ingemann. Il fut fort surpris, toutefois, lorsqu'il appris par ses éclaireurs que des chiens de magicalistes se trouvaient déjà dans la place. Que faisaient-ils là, quels intérêts avaient-ils dans la culture, eux, ces ignares ? Ils cherchaient, à n'en pas douter, à revendre au plus offrant les objets qu'ils trouveraient, poursuivant ainsi le seul et unique but des magicalistes : gagner de l'argent. Ce massacre du patrimoine naturel devait cesser, se dit le Vice-Président. Il faut chasser au plus vite ces immondices de ces terres.
L'expédition coruniste se rapprochait jour après jour du groupe de vils et cupides magicalistes. Lorsqu'un soir, à l'heure de la bière et de l'hydromel, il fut constaté que l'ennemi se trouvait assez proche pour envisager une confrontation dès demain, les corunistes s'installèrent, et allumèrent de grands feux afin d'avertir leurs adversaires de leur présence. En effet, contrairement aux magicalistes, les corunistes étaient des gens d'honneur, et ils ne tombaient pas sur leurs ennemis sans prévenir.
Il fut également décidé d'envoyer demain à l'aube un émissaire, le sage Thorard, dans le camp de leurs ennemis afin de discuter des modalités des hostilités.
Le lendemain, un peu après l'aube, le camarade Thorard revint au camp coruniste avec pour toute réponse des magicalistes quatre flèches fichés dans son armure. Bien que les modalités de négociation de l'ennemi étaient de fait assez peu évoluées, Biereforever sût déchiffrer le message de ses adversaires, et il en déduisit qu'il devait initier les hostilités sans délai.
En avant camarades ! Chargez ! Sus à ces chiens de magicalistes !
Le Grand-Pinte de l'Ordre, lui, avait fini ses affaires à Georgegrad, et il se dit qu'il ferait mieux de partir à la suite de ses camarades et de venir à leur rencontre sur le chemin du retour.