01-06-2015, 17:39:26
Le jeune Sylvain arriva enfin dans la grotte. Il lui avait semblé être parti dans les premiers mais il dû reconsidérer la date du message écris par le Centaure. Devant lui, il y avait déjà une bonne dizaine de compagnons qui semblaient revenir d'une salle pour aller dans une autre.
Un elfe était sur le bas côté, la jambe droite dans un sale état. Prenant un ensemble de bandage dans son sac, il lui tendit sans un mot. Nul doute qu'avec cela et un peu de magie, il serait sur pieds dans à peine une journée.
Un autre du groupe, ou plutôt une autre, dis à l'envolée :
il reste un ours brun agonisant, si quelqu'un pouvait le finir, de préférence un débutant
Ilmyr resta quelques instants surpris par cette réflexion. Non pas qu'il se croyait supérieur à ses compétences. Il savait pertinemment qu'il n'avait pas l'expérience et la maturité de ses compagnons qui avaient déjà affronté de très nombreux dangers, dont des dragons et des hélions. Mais il trouvait que laisser une bête roder dans le dos du groupe était plutôt dangereux. Surtout un ours à l'agonie qui pouvait se montrer encore plus belliqueux et violent, n'ayant plus rien à perdre.
Prudemment, l'archer s'approcha du tunnel, l'arc bandé et une flèche prête à être décochée. Par chance, l'ours était en train de se lécher une plaie. Il en profita pour lui tirer dessus et l'achever. Bien que cela fût loin d'être héroïque, il préférait ce geste plutôt qu'à avoir à justifier aux autres qu'un ours les attaque au plus mauvais moment.
Mais bon, après tout les héros de roman ne sont pas réels et côtoyer le danger entraine forcément des dépits.
Un elfe était sur le bas côté, la jambe droite dans un sale état. Prenant un ensemble de bandage dans son sac, il lui tendit sans un mot. Nul doute qu'avec cela et un peu de magie, il serait sur pieds dans à peine une journée.
Un autre du groupe, ou plutôt une autre, dis à l'envolée :
il reste un ours brun agonisant, si quelqu'un pouvait le finir, de préférence un débutant
Ilmyr resta quelques instants surpris par cette réflexion. Non pas qu'il se croyait supérieur à ses compétences. Il savait pertinemment qu'il n'avait pas l'expérience et la maturité de ses compagnons qui avaient déjà affronté de très nombreux dangers, dont des dragons et des hélions. Mais il trouvait que laisser une bête roder dans le dos du groupe était plutôt dangereux. Surtout un ours à l'agonie qui pouvait se montrer encore plus belliqueux et violent, n'ayant plus rien à perdre.
Prudemment, l'archer s'approcha du tunnel, l'arc bandé et une flèche prête à être décochée. Par chance, l'ours était en train de se lécher une plaie. Il en profita pour lui tirer dessus et l'achever. Bien que cela fût loin d'être héroïque, il préférait ce geste plutôt qu'à avoir à justifier aux autres qu'un ours les attaque au plus mauvais moment.
Mais bon, après tout les héros de roman ne sont pas réels et côtoyer le danger entraine forcément des dépits.