Gario
#38
L'avant-poste était sauvé, les efforts des hélions et des hommes-bêtes payaient : Gario n'avait pas prit feu et seul l'auberge était endommagé, les centaures et les elfes se repliaient en subissant des pertes au moins aussi importantes que celles engendrées par l'assaut meurtrier des peuples de Pelethor.

Ombre au tableau, le destin du capitaine Malachim capturé et emmené loin du désert. Déjà, les autorités de Babylios discutaient de la valeur du garde. Quel prix avait une vie dans cette guerre ?
Les plus humains se préparaient à négocier et à céder pour certaines exigences, d'autres renfermaient leurs cœurs, ne voulant pas céder au chantage et à la terreur des chevaux et des longues oreilles. Au même instant, ces mêmes ravisseurs se réalisaient que cette homme ne vaudrait certainement pas la mythique masse d'Aletheria et que leur action semblait vaine en apparence.
L'attaque n'était néanmoins pas dépourvue de réaction; la volonté de brûler Gario rouvrait des blessures, celles provoquées par Eltiri. La haine emplissait les pensées des hommes-bêtes et des hélions.

A la nouvelle Eltiri, la fête de l'amitié se préparait. Hommes et femmes venaient participer à cette double célébration : leur alliance et la renaissance du village.
On pouvait cependant se douter que les derniers événements alimenteraient nombres de conversations. La fête de l'amitié paraissait d'avance se teinter de colère, de mépris, de remords et des envies de vengeance.
L'alcool aidant, nul doute qu'une décision serait prise en ce temps et en ce lieu.

En attendant, L'avant-poste Gario était défendu.

Citation :Fin de l'attaque de Gario, plus de restriction sur les convalescences.
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