18-10-2014, 11:35:57
L'un après l'autre, les hélions et les hommes-bêtes tombaient. Miraak l'avait prévu. Il avait donné son avis quand à la conduite à suivre, en revenant de sa mission en éclaireur avec ses compagnons. Mais les dirigeants l'avaient ignoré, se contentant d'évacuer les civils. Et ses frères d'arme ne supportaient pas d'accepter des ravages qui pouvaient être évités. Naïveté sans aucun doute.
Miraak n'était pas un naïf. Il avait eu assez à faire à la majorité de ces centaures et de ces elfes qu'il voyait là pour connaitre leurs compétences et leur organisation. Ainsi que leur fanatisme aveugle.
Conformément à ses avis, au moins ceux là avaient été écoutés, les combattants hélions et homme-bêtes s'étaient donc réunis au sud de Gario pour se préparer. Ils avaient surveillé le train des civils évacués, au moins une opération que Miraak pouvait apprécier, dans Babylios ils seraient peut-être en sécurité. Peut-être. Puis les adeptes des arcanes de la troupe avaient commencé à incanter leur magie, la plupart des autres priaient les dieux. Miraak lui étudiait les lieux pour tenter d'établir un plan stratégique qui les sortirait de l'impasse. En vain évidement.
Les premiers ennemis arrivèrent plus vite encore que prévu. Un centaure massif mais assez inoffensif bien connu fût le premier à charger et Miraak fût fier des siens qui, comme prévu, ne se laissèrent pas provoquer futilement et gardèrent leurs armes au fourreau. Mais bientôt ce furent les premiers vrai combattants ennemis qui arrivèrent. Et ils étaient soutenus par une quantité de magie phénoménale, le travail de nombreux magiciens. Ce fût vite un carnage.
La troupe coalisée des hélions et des homme-bêtes était trop peu préparée, à moitié mobilisée et désorganisée. Comment contrer en quelques jours une force levée pour la guerre ? Comment tirer des combattants des tavernes pour qu'ils soient immédiatement efficaces au front ?
D'un avis unanime, ceux restés debout après les premières frappes appelèrent au repli dans Gario. Radoc, son vieil ami, n'en était déjà plus. Il n'avait même pas eu le temps de tirer une flèche.
Gario ? Ce serait bientôt un tombeau. Mais l'honneur leur dictait de faire leur devoir. Face à la horde sauvage, on se souviendrait qu'ils avaient fait front.
- Puisse notre culture survivre aux dures journées qui s'annoncent...
Miraak courut vers les remparts. Décidé à ne faire qu'un avec les défenses, aussi longtemps qu'il le pourrait. Avisant un elfe devant les portes de Gario, il le percuta de plein fouet.
Miraak n'était pas un naïf. Il avait eu assez à faire à la majorité de ces centaures et de ces elfes qu'il voyait là pour connaitre leurs compétences et leur organisation. Ainsi que leur fanatisme aveugle.
Conformément à ses avis, au moins ceux là avaient été écoutés, les combattants hélions et homme-bêtes s'étaient donc réunis au sud de Gario pour se préparer. Ils avaient surveillé le train des civils évacués, au moins une opération que Miraak pouvait apprécier, dans Babylios ils seraient peut-être en sécurité. Peut-être. Puis les adeptes des arcanes de la troupe avaient commencé à incanter leur magie, la plupart des autres priaient les dieux. Miraak lui étudiait les lieux pour tenter d'établir un plan stratégique qui les sortirait de l'impasse. En vain évidement.
Les premiers ennemis arrivèrent plus vite encore que prévu. Un centaure massif mais assez inoffensif bien connu fût le premier à charger et Miraak fût fier des siens qui, comme prévu, ne se laissèrent pas provoquer futilement et gardèrent leurs armes au fourreau. Mais bientôt ce furent les premiers vrai combattants ennemis qui arrivèrent. Et ils étaient soutenus par une quantité de magie phénoménale, le travail de nombreux magiciens. Ce fût vite un carnage.
La troupe coalisée des hélions et des homme-bêtes était trop peu préparée, à moitié mobilisée et désorganisée. Comment contrer en quelques jours une force levée pour la guerre ? Comment tirer des combattants des tavernes pour qu'ils soient immédiatement efficaces au front ?
D'un avis unanime, ceux restés debout après les premières frappes appelèrent au repli dans Gario. Radoc, son vieil ami, n'en était déjà plus. Il n'avait même pas eu le temps de tirer une flèche.
Gario ? Ce serait bientôt un tombeau. Mais l'honneur leur dictait de faire leur devoir. Face à la horde sauvage, on se souviendrait qu'ils avaient fait front.
- Puisse notre culture survivre aux dures journées qui s'annoncent...
Miraak courut vers les remparts. Décidé à ne faire qu'un avec les défenses, aussi longtemps qu'il le pourrait. Avisant un elfe devant les portes de Gario, il le percuta de plein fouet.