28-02-2011, 23:38:34
Un garde revint en courant au temple, où Baram achevait de se remettre de sa blessure grâce aux soins attentifs du prêtre de Thori.
A l'arrivée du jeune homme, Baram II achevait la lecture d'un parchemin taché de sang, le regard sombre.
Semblant contenir à grand peine une émotion terrible, le Thain accueillit d'un regard le messager.
Le jeune soldat en sueur, presque encore un enfant, s'agenouilla devant le Seigneur des Seigneurs Nains et fit son rapport :
Majesté, un des assassins se trouve aux portes Est de la cité, aux prises avec un garde et Grundel. Les portes sont fermées il ne pourra pas passer mais je le crois capable de fuir et de se cacher dans la cité à la faveur de la nuit.
Un autre a été isolé dans le Grand Conseil et les guerriers tentent de le capturer sans le tuer.
Enfin un troisième est aux prises avec quelques autres guerriers, dont votre conseiller Orryk. Mais il n'était pas neutralisé au moment où je vous ai rejoint.
Que dois-je faire Majesté ?
Un des gardes du corps de Baram tendit une outre d'eau au jeune messager des gardes de Karad.
Ce dernier le remercia d'un sourire, bu quelques gorgées et reprit une posture convenable pour attendre les ordres de son Thain.
Retourne au conseil, trouve Oghren Fondelame, Zohran, Orryk Lourd-Martel et Grundel.
Dis-leur que je me rends au Conseil demain vers la fin du foyer.
Préviens l'Echevin du conseil que nous allons écourter mais achever la cérémonie.
Que les membres de la Maison Fondelame y sont les bienvenus. Ainsi que les aventuriers et mercenaires qui le souhaitent.
Nous aurons à parler à la suite de la cérémonie.
Fais enfermer les tueurs et préviens le bourreau.
Il va avoir du travail.
Allez.
A ce mot, le jeune nain se redressa, salua rapidement mais humblement le Thain et traversa le temple d'un pas leste, mais sans courir, afin de ne pas offenser Thuri.
A l'extérieur, il courut à toutes jambes, comme si le Roi des Elfes en personne galopait derrière lui.
A l'arrivée du jeune homme, Baram II achevait la lecture d'un parchemin taché de sang, le regard sombre.
Semblant contenir à grand peine une émotion terrible, le Thain accueillit d'un regard le messager.
Le jeune soldat en sueur, presque encore un enfant, s'agenouilla devant le Seigneur des Seigneurs Nains et fit son rapport :
Majesté, un des assassins se trouve aux portes Est de la cité, aux prises avec un garde et Grundel. Les portes sont fermées il ne pourra pas passer mais je le crois capable de fuir et de se cacher dans la cité à la faveur de la nuit.
Un autre a été isolé dans le Grand Conseil et les guerriers tentent de le capturer sans le tuer.
Enfin un troisième est aux prises avec quelques autres guerriers, dont votre conseiller Orryk. Mais il n'était pas neutralisé au moment où je vous ai rejoint.
Que dois-je faire Majesté ?
Un des gardes du corps de Baram tendit une outre d'eau au jeune messager des gardes de Karad.
Ce dernier le remercia d'un sourire, bu quelques gorgées et reprit une posture convenable pour attendre les ordres de son Thain.
Retourne au conseil, trouve Oghren Fondelame, Zohran, Orryk Lourd-Martel et Grundel.
Dis-leur que je me rends au Conseil demain vers la fin du foyer.
Préviens l'Echevin du conseil que nous allons écourter mais achever la cérémonie.
Que les membres de la Maison Fondelame y sont les bienvenus. Ainsi que les aventuriers et mercenaires qui le souhaitent.
Nous aurons à parler à la suite de la cérémonie.
Fais enfermer les tueurs et préviens le bourreau.
Il va avoir du travail.
Allez.
A ce mot, le jeune nain se redressa, salua rapidement mais humblement le Thain et traversa le temple d'un pas leste, mais sans courir, afin de ne pas offenser Thuri.
A l'extérieur, il courut à toutes jambes, comme si le Roi des Elfes en personne galopait derrière lui.