20-06-2014, 19:15:05
L'argent en poche, l'Hélion n'eut pas à se baisser pour récupérer le butin laissé par l'insecte géant, un compagnon impatient (ou peu confiant ?) s'en étant emparé.
Fronçant les sourcils, l'assassin suivit le groupe à travers un nouveau couloir.
A l'extrémité, un trou béant dans le sol.
Entre lui et le trou, un bon groupe prêt à en découdre.
Et au milieu, deux gobelours peu amicaux.
Rapidement, une belle entente s'organise : tandis que Farouk partait en éclaireur en se précipitant dans le trou au péril de sa vie, Miraak occupait le guerrier, les autres l'amusaient, certains torturant littéralement l'archer impuissant à courte distance.
Rapide et efficace, Farouk renseigna les autres sur la situation avec un esprit de synthèse que tous lui reconnaissaient maintenant.
En bas, au milieu d'une étendue d'eau souterraine, quelques Centaures peu méfiants fanfaronnaient, bouffis d'orgueil, semblant être arrivés par un autre trou béant et aussi incapables que Farouk de revenir sur leurs pas.
Ils devraient mourir.
Il y avait aussi une île avec un gardien armé, semblait-il, d'une arme légendaire.
La tactique était claire pour tout le monde : un groupe en avant en reconnaissance et pour occuper l'assassin de l'île, l'autre en soutien prêt à intervenir pour achever l'ennemi ou contrer les centaures qui pouvaient ruer d'un moment à l'autre.
Tour à tour, la compagnie se vide dans le trou béant au sol au fur et à mesure que la situation est maîtrisée.
Les compagnons restés en haut s'occupent comme ils peuvent, taquinant les gobelours, s'entrainant aux armes ou aux sorts et se reposant, prêts à intervenir.
Hanish avait du s'assoupir.
Lorsqu'il reprit ses esprits, il ne restait que quelques compagnons alentours.
Avait-il manqué à un appel ? Pourvu que son groupe ne se soit pas fait étriller en bas !
A l'écoute, quelques bruits de pas dans l'eau, des murmures... tout semblait en ordre et on devisait sur la nouvelle stratégie.
L'ennemi était à terre, défait.
Amer, l'assassin comprit qu'il n'y avait jamais eu d'appel.
Il lui sembla que d'aucuns avaient joué un jeu entendu d'avance ou saisi une occasion de se tailler une réputation sans penser un instant de plus aux autres.
Il se demanda ce qu'il en serait dans un raid au milieu d'ennemis mortels.
Peut-être que l'item était le but de certains ? Il devrait fouiner dans les livres dans les sous-sols de Babylios.
Ce qui adviendrait au groupe ne l'importait plus et il se signa en ayant une pensée pour son ami Farouk.
Puisse-t-il avoir survécu aux combats, il saurait alors trouver son chemin dans la nuit vers une sortie de ces dédales si il en existait une.
Il cracha dans le trou et fit demi-tour.
Fronçant les sourcils, l'assassin suivit le groupe à travers un nouveau couloir.
A l'extrémité, un trou béant dans le sol.
Entre lui et le trou, un bon groupe prêt à en découdre.
Et au milieu, deux gobelours peu amicaux.
Rapidement, une belle entente s'organise : tandis que Farouk partait en éclaireur en se précipitant dans le trou au péril de sa vie, Miraak occupait le guerrier, les autres l'amusaient, certains torturant littéralement l'archer impuissant à courte distance.
Rapide et efficace, Farouk renseigna les autres sur la situation avec un esprit de synthèse que tous lui reconnaissaient maintenant.
En bas, au milieu d'une étendue d'eau souterraine, quelques Centaures peu méfiants fanfaronnaient, bouffis d'orgueil, semblant être arrivés par un autre trou béant et aussi incapables que Farouk de revenir sur leurs pas.
Ils devraient mourir.
Il y avait aussi une île avec un gardien armé, semblait-il, d'une arme légendaire.
La tactique était claire pour tout le monde : un groupe en avant en reconnaissance et pour occuper l'assassin de l'île, l'autre en soutien prêt à intervenir pour achever l'ennemi ou contrer les centaures qui pouvaient ruer d'un moment à l'autre.
Tour à tour, la compagnie se vide dans le trou béant au sol au fur et à mesure que la situation est maîtrisée.
Les compagnons restés en haut s'occupent comme ils peuvent, taquinant les gobelours, s'entrainant aux armes ou aux sorts et se reposant, prêts à intervenir.
Hanish avait du s'assoupir.
Lorsqu'il reprit ses esprits, il ne restait que quelques compagnons alentours.
Avait-il manqué à un appel ? Pourvu que son groupe ne se soit pas fait étriller en bas !
A l'écoute, quelques bruits de pas dans l'eau, des murmures... tout semblait en ordre et on devisait sur la nouvelle stratégie.
L'ennemi était à terre, défait.
Amer, l'assassin comprit qu'il n'y avait jamais eu d'appel.
Il lui sembla que d'aucuns avaient joué un jeu entendu d'avance ou saisi une occasion de se tailler une réputation sans penser un instant de plus aux autres.
Il se demanda ce qu'il en serait dans un raid au milieu d'ennemis mortels.
Peut-être que l'item était le but de certains ? Il devrait fouiner dans les livres dans les sous-sols de Babylios.
Ce qui adviendrait au groupe ne l'importait plus et il se signa en ayant une pensée pour son ami Farouk.
Puisse-t-il avoir survécu aux combats, il saurait alors trouver son chemin dans la nuit vers une sortie de ces dédales si il en existait une.
Il cracha dans le trou et fit demi-tour.