16-06-2014, 18:59:57
Bleu, ce rêve-ci était bleu. D'un bleu à la fois profond et soyeux, doux et chaud. Mentes se sentait léger, léger comme une plume et avait l'impression de s'envoler tel une feuille d'automne portée par le vent. Durant un instant son environnement devint plus sombre mais presque aussitôt il fut éclairé d'une douce lumière inégale. Des taches de lumière dansaient tout autour de lui, modulant ce bleu parfait en une myriade de délice visuel.
Le rêveur était hors de tout, hors de l'espace et du temps, hors de la pesante réalité et des soucis de tous les jours mais aussi hors du bonheur. Ce rêve était étrangement perturbant, rien n'y était négatif mais il n'était pas pour autant positif. Après une éternité à les observer, le jeu des marques scintillantes était devenu lassant.
Mentes était reposé, et prêt à aller plus loin. Alors il se laissa tomber et plongea plus profondément dans sa rêverie. Il passa du bleu, au rouge, au jaune puis à l'ocre, il coulait dans un océan de couleurs et de souvenirs de rêve passé. Les couleurs défilaient de plus en plus vite devant lui mais le kaléidoscope de couleur s'arrêta brusquement. Le rêveur était revenu à son point de départ, au fond de son océan d'un bleu si unique. Il y eu soudain un minuscule changement devant ses yeux. Quelque chose avait changé, ce n'était plus un sol immaculé qui se trouvait devant lui. La chose qui se trouvait devant lui pivota. Pivota avec une lenteur qu'on croirait impossible. Tellement lentement que le temps semblait s'être figer. Mais le temps s'accéléras tranquillement et Mentes fit bientôt face à une superbe statue. D'un bleu plus sombre et moins contrasté que le reste du rêve, la statue imposait le respect. Elle représentait une femme vêtue d'une robe tenant une harpe dans ses mains.
Alors que le rêveur s'agenouiller devant l'incarnation de son rêve des rêves. La statue se mit à bouger, aussi lentement qu'elle avait pivoté au début puis de plus en plus rapidement. Elle avait une noblesse et une douceur que n'avais j'avais vu le rêveur. Sa lenteur ne faisait que la rendre plus majestueuse encore. Sa robe se mit à scintiller lentement, quelque éclat de lumière par-ci puis par-là quand elle se mit à ondoyer puis à changer de couleur toujours en lenteur et en douceur. De bleu sombre elle devint violette puis d'un rouge plus sombre qu'une lune de sang et enfin d'un carmin qui détonnait avec le reste du rêve. .
Alors que les courants marins agitaient la robe, la déesse onirique se leva et posa sa harpe.
Mentes n'était pas pressé, mais dans une extase calme car il se trouvait au voisinage de son rêve de toujours. Puis une pensée traversa son esprit, quel était son désir le plus profond, Nemärie ou l'onirisme qu'il avait toujours cherché. Il n'avait qu'à peine commencé à y réfléchir que la statue se mit à parler.
"Nous nous reverrons. " dit-elle d'une voix douce et mélodieuse avec une expression de désappointement sur le visage.
Mentes se réveilla, paisible et à la fois en colère devant la statue réel. Il se leva tranquillement, contenant sa rage et sa déceptions pour la place libre à la sérénité qui l'envelopper désormais. Il se tourna lentement vers l'elfe archère qui était également venue voire la statue. Elle portait un solide plastron sylvestre, et semblait intrigué par la statue. Cela devait être également une aventurière venue pour cette sombre histoire de meurtre. Mentes se rappela soudainement qu'il avait déjà rencontré et combattu à ses côtés.
"Vennta, j'imagine que vous êtes également venus à propos des rumeurs qui sont arrivés à notre belle capitale. Je suis arrivé il y a un petit moment et je suis déjà allé faire un tour sur la berge pour voir si il n'y avait pas de trace de quoi que ce soit d'anormal."
En effet Mentes avait commencé par longer la rive, en observant si il ne pouvait pas trouver un cadavre animal présentant les mêmes blessures ou des traces laissés par un animal inhabituel. Bien qu'il fût un bon chasseur ses talents avaient ses limites. Ils regrettaient qu'un druide ne soit pas présent pour aller se renseigner auprès des animaux. Ce genre de pouvoir devait être bien pratique.
Le rêveur était hors de tout, hors de l'espace et du temps, hors de la pesante réalité et des soucis de tous les jours mais aussi hors du bonheur. Ce rêve était étrangement perturbant, rien n'y était négatif mais il n'était pas pour autant positif. Après une éternité à les observer, le jeu des marques scintillantes était devenu lassant.
Mentes était reposé, et prêt à aller plus loin. Alors il se laissa tomber et plongea plus profondément dans sa rêverie. Il passa du bleu, au rouge, au jaune puis à l'ocre, il coulait dans un océan de couleurs et de souvenirs de rêve passé. Les couleurs défilaient de plus en plus vite devant lui mais le kaléidoscope de couleur s'arrêta brusquement. Le rêveur était revenu à son point de départ, au fond de son océan d'un bleu si unique. Il y eu soudain un minuscule changement devant ses yeux. Quelque chose avait changé, ce n'était plus un sol immaculé qui se trouvait devant lui. La chose qui se trouvait devant lui pivota. Pivota avec une lenteur qu'on croirait impossible. Tellement lentement que le temps semblait s'être figer. Mais le temps s'accéléras tranquillement et Mentes fit bientôt face à une superbe statue. D'un bleu plus sombre et moins contrasté que le reste du rêve, la statue imposait le respect. Elle représentait une femme vêtue d'une robe tenant une harpe dans ses mains.
Alors que le rêveur s'agenouiller devant l'incarnation de son rêve des rêves. La statue se mit à bouger, aussi lentement qu'elle avait pivoté au début puis de plus en plus rapidement. Elle avait une noblesse et une douceur que n'avais j'avais vu le rêveur. Sa lenteur ne faisait que la rendre plus majestueuse encore. Sa robe se mit à scintiller lentement, quelque éclat de lumière par-ci puis par-là quand elle se mit à ondoyer puis à changer de couleur toujours en lenteur et en douceur. De bleu sombre elle devint violette puis d'un rouge plus sombre qu'une lune de sang et enfin d'un carmin qui détonnait avec le reste du rêve. .
Alors que les courants marins agitaient la robe, la déesse onirique se leva et posa sa harpe.
Mentes n'était pas pressé, mais dans une extase calme car il se trouvait au voisinage de son rêve de toujours. Puis une pensée traversa son esprit, quel était son désir le plus profond, Nemärie ou l'onirisme qu'il avait toujours cherché. Il n'avait qu'à peine commencé à y réfléchir que la statue se mit à parler.
"Nous nous reverrons. " dit-elle d'une voix douce et mélodieuse avec une expression de désappointement sur le visage.
Mentes se réveilla, paisible et à la fois en colère devant la statue réel. Il se leva tranquillement, contenant sa rage et sa déceptions pour la place libre à la sérénité qui l'envelopper désormais. Il se tourna lentement vers l'elfe archère qui était également venue voire la statue. Elle portait un solide plastron sylvestre, et semblait intrigué par la statue. Cela devait être également une aventurière venue pour cette sombre histoire de meurtre. Mentes se rappela soudainement qu'il avait déjà rencontré et combattu à ses côtés.
"Vennta, j'imagine que vous êtes également venus à propos des rumeurs qui sont arrivés à notre belle capitale. Je suis arrivé il y a un petit moment et je suis déjà allé faire un tour sur la berge pour voir si il n'y avait pas de trace de quoi que ce soit d'anormal."
En effet Mentes avait commencé par longer la rive, en observant si il ne pouvait pas trouver un cadavre animal présentant les mêmes blessures ou des traces laissés par un animal inhabituel. Bien qu'il fût un bon chasseur ses talents avaient ses limites. Ils regrettaient qu'un druide ne soit pas présent pour aller se renseigner auprès des animaux. Ce genre de pouvoir devait être bien pratique.