10-06-2014, 21:15:57
Les problèmes ne viennent jamais seul. L'adage se vérifier une fois de plus, un meurtre étrange avait eu lieu sur les bords de la Loreline et des hélions reprenaient leur sordide affaire. Ce dernier problème inquiéter grandement Mentes. Non pas pour ce qu'il était en soi mais pour les conséquences qui allait suivre. Quel que soit le résultat de l'affaire les tensions entre Centaure et hélions seront grandement accentués. Comme en plus certains de ses compagnons se mêlerait au centaure, un pas de plus serait fait vers la violence et la souffrance.
Pourtant ce n'est pas dans cette direction que le mènerait ses pas. Il n'avait pas l'espoir de pouvoir enrayer l'immense machine qu'était la marche à la guerre mais n'y apporterait pas la moindre contribution. Il marcherait donc vers le nord pour y enquêter avec ses frères sur l'étrange meurtre qui y avait eu lieu.
Ses compagnons habituels de route Nomin, Darwi et Pelytna avaient décidé de prendre une autre direction. Ils épauleraient le peuple des fanatiques dans leur mission. Il ne craignait pas d'être seul, probablement bon nombre d'autre sylvain le rejoindrait pour ramener la paix et la tranquillité toute relative de Pelethor. L'événement provoquer pas mal de remous mais Mentes n'était pas tellement surpris. La chasse était naturel, et qu'un animal laisse la moitié d'un corps était malheureux mais rien de tellement inquiétant. La seul chose quelque peu dérangeante et la présence d'un prédateur inconnu. Cela pouvait perturber l'équilibre de la forêt et si cette dernière s'adapterait sans problème, rien n'empêcher de découvrir de prêt ce qui c'étais passer.
Mentes remontait silencieusement le cours de la Loreline, il finit par arriver dans le petit village dont il avait oublié le nom. Il le traversa sans parler, sans aller questionner les villageois. D'autre le ferait, il n'avait pas envie d'entendre les villageois déclarer leur peur. Peut-être un peu plus tard.
Il finit par arriver devant une tombe récente, sans doute celle du malheureux. Il accorda une pensée au malheureux et surtout à sa famille. Un peu plus loin une splendide statue, d'un bleue à la fois profond et brillant qui attraper sans difficulté l'œil et l'esprit de Mentes.
Ce dernier se plongea dans son monde intérieur. Nul n'aurait pu dire s'il était pensif ou totalement coupée du reste du monde.
Pourtant ce n'est pas dans cette direction que le mènerait ses pas. Il n'avait pas l'espoir de pouvoir enrayer l'immense machine qu'était la marche à la guerre mais n'y apporterait pas la moindre contribution. Il marcherait donc vers le nord pour y enquêter avec ses frères sur l'étrange meurtre qui y avait eu lieu.
Ses compagnons habituels de route Nomin, Darwi et Pelytna avaient décidé de prendre une autre direction. Ils épauleraient le peuple des fanatiques dans leur mission. Il ne craignait pas d'être seul, probablement bon nombre d'autre sylvain le rejoindrait pour ramener la paix et la tranquillité toute relative de Pelethor. L'événement provoquer pas mal de remous mais Mentes n'était pas tellement surpris. La chasse était naturel, et qu'un animal laisse la moitié d'un corps était malheureux mais rien de tellement inquiétant. La seul chose quelque peu dérangeante et la présence d'un prédateur inconnu. Cela pouvait perturber l'équilibre de la forêt et si cette dernière s'adapterait sans problème, rien n'empêcher de découvrir de prêt ce qui c'étais passer.
Mentes remontait silencieusement le cours de la Loreline, il finit par arriver dans le petit village dont il avait oublié le nom. Il le traversa sans parler, sans aller questionner les villageois. D'autre le ferait, il n'avait pas envie d'entendre les villageois déclarer leur peur. Peut-être un peu plus tard.
Il finit par arriver devant une tombe récente, sans doute celle du malheureux. Il accorda une pensée au malheureux et surtout à sa famille. Un peu plus loin une splendide statue, d'un bleue à la fois profond et brillant qui attraper sans difficulté l'œil et l'esprit de Mentes.
Ce dernier se plongea dans son monde intérieur. Nul n'aurait pu dire s'il était pensif ou totalement coupée du reste du monde.