16-05-2014, 19:55:22
Depuis le jour du départ vers Korri, Aioros, jusque là jovial et encore dans l'euphorie d'avoir retrouvé [son] pote l'ours, vivait un phénomène intérieur qui aurait pu le troubler si le phénomène en lui même n'annihilait ce trouble.
Pendant le trajet parfois,il lui semblait que la déesse lui parlait, qu'une litanie s'emparait de lui. Les battements de son cœur suivaient alors la voix qui le dirigeait et l'accaparait. Son trot, habituellement courts et lent, dépassait les galops tactiques du reste de "la chevauchée + guests" et il fut le premier à dépasser le ruisseau qui borde Korrikiki.
La litanie qui le menait n'était pas exactement la déesse, ce qu'en fait Aioros vivait était une résurgence de sa jeunesse. il commençait à se souvenir de la prière de combat secrète des sagittaires du temple. (La diction mentale de cette prière demande tellement de concentration et d'efforts, qu'elle est impossible à retranscrire...désolé)
"Korri ! Korrikiki ! " chantait-il sur une partition de son "invention" dont la ressemblance assumée avec une célèbre mélodie paillarde fit se cabrer sa petite "folle du dessert" qui de dégoût décida de participer à la défense de l'attaque au lieu de participer à l'attaque de la défense.
Aioros, bien que toujours jovial et potachant sans cesse avec [son] pote l'ours, n'en demeurait pas moins sous l'emprise de la litanie guerrière qui l'aiguillonnait et se retrouva en une après midi seul avec Chinkatchook au milieu du camp de tentes auquel l'odeur de mort et les volutes fumées acres donnaient de l'épaisseur. Avec une fumée comme celle-ci, le campement des animaux maudits prenait de l'envergure et tout les deux-jambes du coin allaient rappliquer pour savoir qui fait un barbecue dans la forêt.
"Nox'Ubah !!" cria-t-il en sortant du bois qui borde le terrier alors encore intact.
Les flèches qu'il tira sur un des gros loups en armure, gardiens impressionnants pour un camping sans taverne, se fichèrent toutes dans son bouclier. Aioros s'arrêta, se lécha les doigts et repris sa position de tir.
et ils continua à prier en confiance pour la mort de ses ennemis.
En regardant attentivement les flammes, il s'aperçu qu'elles étaient bleues.
Un feu rédempteur.
Pendant le trajet parfois,il lui semblait que la déesse lui parlait, qu'une litanie s'emparait de lui. Les battements de son cœur suivaient alors la voix qui le dirigeait et l'accaparait. Son trot, habituellement courts et lent, dépassait les galops tactiques du reste de "la chevauchée + guests" et il fut le premier à dépasser le ruisseau qui borde Korrikiki.
La litanie qui le menait n'était pas exactement la déesse, ce qu'en fait Aioros vivait était une résurgence de sa jeunesse. il commençait à se souvenir de la prière de combat secrète des sagittaires du temple. (La diction mentale de cette prière demande tellement de concentration et d'efforts, qu'elle est impossible à retranscrire...désolé)
"Korri ! Korrikiki ! " chantait-il sur une partition de son "invention" dont la ressemblance assumée avec une célèbre mélodie paillarde fit se cabrer sa petite "folle du dessert" qui de dégoût décida de participer à la défense de l'attaque au lieu de participer à l'attaque de la défense.
Aioros, bien que toujours jovial et potachant sans cesse avec [son] pote l'ours, n'en demeurait pas moins sous l'emprise de la litanie guerrière qui l'aiguillonnait et se retrouva en une après midi seul avec Chinkatchook au milieu du camp de tentes auquel l'odeur de mort et les volutes fumées acres donnaient de l'épaisseur. Avec une fumée comme celle-ci, le campement des animaux maudits prenait de l'envergure et tout les deux-jambes du coin allaient rappliquer pour savoir qui fait un barbecue dans la forêt.
"Nox'Ubah !!" cria-t-il en sortant du bois qui borde le terrier alors encore intact.
Les flèches qu'il tira sur un des gros loups en armure, gardiens impressionnants pour un camping sans taverne, se fichèrent toutes dans son bouclier. Aioros s'arrêta, se lécha les doigts et repris sa position de tir.
et ils continua à prier en confiance pour la mort de ses ennemis.
En regardant attentivement les flammes, il s'aperçu qu'elles étaient bleues.
Un feu rédempteur.