02-03-2014, 23:36:09
Aegon aperçu la lumière de la sortie de la caverne et se dirigea vers elle.
Il susurra :« Enfin, je commençais à en avoir marre de ces sales araignées puantes. »
Son groupe et lui découvrirent le cadavre d'un nain mutilées et froid, un diplomate de toute vraisemblance, était-ce la personne qui devait rencontrer notre champion? Et le sang à l'entrée de la grotte à qui était-il? Au nain ou à l'assaillant ? Et avait on tuée celui-ci en même temps que notre champion ou bien avant… Tant de question… Encore une fois le manque d'information sur la mission laissa planer encore des mystères sur la scène qu'il vit.
Il sorti enfin de cette grotte qui était grotesque, humide et mal éclairée. Et il comprit que ce périple dans cette grotte ne les avait avancés à rien, à part de faire part de la mort de l'émissaire nain à son peuple. Et il retourna à la recherche d'indices… Autant rechercher une aiguille dans son fourrage de foin.
Il commença à désespéré lorsque soudain un elfe sylvain apparut devant leur yeux, leur donnant des informations sur les bandits de la région. Même si le repos a était de courte durée il fut content de ne pas pourrir plus longtemps dans cette forêt.
A la l'orée du camp, trois groupes furent organisée rapidement et sans aucune contestation pour encerclé le camp de malfrat. Aegon se dirigea vers la porte nord en prenant attention de rester dans la forêt et à ne pas se faire repérer… Contrairement à d'autres centaures qui plus impétueux et imprudents, donnèrent l'alerte au camp ennemi.
Et alors les tentes du camp ennemi dégueuler un flot d'individu continu. Il s'avança un peu devant ceci pour protéger son escouade. Et c'est alors qu'une dizaine de massier le chargea. Aegon essaya de tous les contenir mais ce fut peine perdue, il recula petit à petit sous le torrent de coups qui le visèrent jusqu'à qu'il soit presque encerclé, et si cela n'était pas suffisant, des archers ennemis planqué dans leur satané camp faisaient pleuvoir une pluie de flèche sur lui. Il avala une potion pour gagner un peu de temps à son groupe…
Il savait qu'il n'allait pas tenir plus longtemps, c'est alors qu'il commença à prier Aletheria. Et par un miracle ou coïncidence, quelques instant plus tard, un cor de chasse résonna dans le camp et la moitié des scélérats firent une retraite. C'était une bonne nouvelle car cela voulait dire qu'un autre groupe de centaure s'en sortait mieux que le sien et ceci lui redonna espoir.
Il était toujours en vie, et remercia les prêtresses d'avoir béni son armure qui lui avait sauvé la vie. Mais le combat n'était pas encore finie, ils restaient encore des bandits devant lui, mais cette fois ci le nombre d'ennemi était gérable et ne recula plus d'un sabot. Le vent tourna en faveur des centaures les bandits perdirent un à un leur hommes et les centaures ne subissait plus aucune perte. Ils avancèrent petit à petit.
Quand soudain, l'air était devenue très sec et une violente tempête de sable s'abattit sur son groupe… dans les bois, et la supercherie lui éclata au visage : ce camp était contrôlé par ces infâmes hélions.
Aegon sentit son armure s'alourdir, elle qui l'avait sauvé mainte fois était maintenant un poids mort, et la cécité lui prendre ses yeux mais ceci n'allait pas le décourager pour faire la peau de ce maudit enfant du soleil. Il chargea l'humanoïde qui se révélait être une femme, de toutes façon pour Aegon cela ne changeais rien, un bon hélion et un hélion mort…
Après un long combat ses camarades russisèrent à la maitriser en la capturant dans un filet, rendant le mage ennemi inoffensif et ceci fit sortir Aegon de sa folie guerrière. Il comprit qu'il fallait malheureusement capturer ce mage du soleil.
Quand il vit la mage reprendre un peu de ses forces, il se dirigea vers elle. Il lui planta son sabot droit sur une de ses nombreuses plaies avec un sourire sadique tout en lui disant:
«Ne compte même partir, même dans tes rêves les plus fous. Et j'en serai heureux de poursuivre tes souffrances…»
Il se rendit compte de la disparition de Dorémi, un des trois mages centaures dont Nox et Shymella qui lui avaient permis de supporté les coups ennemies. Où était-il passé ?
Il susurra :« Enfin, je commençais à en avoir marre de ces sales araignées puantes. »
Son groupe et lui découvrirent le cadavre d'un nain mutilées et froid, un diplomate de toute vraisemblance, était-ce la personne qui devait rencontrer notre champion? Et le sang à l'entrée de la grotte à qui était-il? Au nain ou à l'assaillant ? Et avait on tuée celui-ci en même temps que notre champion ou bien avant… Tant de question… Encore une fois le manque d'information sur la mission laissa planer encore des mystères sur la scène qu'il vit.
Il sorti enfin de cette grotte qui était grotesque, humide et mal éclairée. Et il comprit que ce périple dans cette grotte ne les avait avancés à rien, à part de faire part de la mort de l'émissaire nain à son peuple. Et il retourna à la recherche d'indices… Autant rechercher une aiguille dans son fourrage de foin.
Il commença à désespéré lorsque soudain un elfe sylvain apparut devant leur yeux, leur donnant des informations sur les bandits de la région. Même si le repos a était de courte durée il fut content de ne pas pourrir plus longtemps dans cette forêt.
A la l'orée du camp, trois groupes furent organisée rapidement et sans aucune contestation pour encerclé le camp de malfrat. Aegon se dirigea vers la porte nord en prenant attention de rester dans la forêt et à ne pas se faire repérer… Contrairement à d'autres centaures qui plus impétueux et imprudents, donnèrent l'alerte au camp ennemi.
Et alors les tentes du camp ennemi dégueuler un flot d'individu continu. Il s'avança un peu devant ceci pour protéger son escouade. Et c'est alors qu'une dizaine de massier le chargea. Aegon essaya de tous les contenir mais ce fut peine perdue, il recula petit à petit sous le torrent de coups qui le visèrent jusqu'à qu'il soit presque encerclé, et si cela n'était pas suffisant, des archers ennemis planqué dans leur satané camp faisaient pleuvoir une pluie de flèche sur lui. Il avala une potion pour gagner un peu de temps à son groupe…
Il savait qu'il n'allait pas tenir plus longtemps, c'est alors qu'il commença à prier Aletheria. Et par un miracle ou coïncidence, quelques instant plus tard, un cor de chasse résonna dans le camp et la moitié des scélérats firent une retraite. C'était une bonne nouvelle car cela voulait dire qu'un autre groupe de centaure s'en sortait mieux que le sien et ceci lui redonna espoir.
Il était toujours en vie, et remercia les prêtresses d'avoir béni son armure qui lui avait sauvé la vie. Mais le combat n'était pas encore finie, ils restaient encore des bandits devant lui, mais cette fois ci le nombre d'ennemi était gérable et ne recula plus d'un sabot. Le vent tourna en faveur des centaures les bandits perdirent un à un leur hommes et les centaures ne subissait plus aucune perte. Ils avancèrent petit à petit.
Quand soudain, l'air était devenue très sec et une violente tempête de sable s'abattit sur son groupe… dans les bois, et la supercherie lui éclata au visage : ce camp était contrôlé par ces infâmes hélions.
Aegon sentit son armure s'alourdir, elle qui l'avait sauvé mainte fois était maintenant un poids mort, et la cécité lui prendre ses yeux mais ceci n'allait pas le décourager pour faire la peau de ce maudit enfant du soleil. Il chargea l'humanoïde qui se révélait être une femme, de toutes façon pour Aegon cela ne changeais rien, un bon hélion et un hélion mort…
Après un long combat ses camarades russisèrent à la maitriser en la capturant dans un filet, rendant le mage ennemi inoffensif et ceci fit sortir Aegon de sa folie guerrière. Il comprit qu'il fallait malheureusement capturer ce mage du soleil.
Quand il vit la mage reprendre un peu de ses forces, il se dirigea vers elle. Il lui planta son sabot droit sur une de ses nombreuses plaies avec un sourire sadique tout en lui disant:
«Ne compte même partir, même dans tes rêves les plus fous. Et j'en serai heureux de poursuivre tes souffrances…»
Il se rendit compte de la disparition de Dorémi, un des trois mages centaures dont Nox et Shymella qui lui avaient permis de supporté les coups ennemies. Où était-il passé ?